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Luc & Clémence échouent dans le sprint final de l'étape 8 de Pékin express + ITWS [MAJ]

Ce fut un épisode de Pékin express 6 riche en stress, tensions et sport ce mercredi 8 juin 2011 sur M6. Un 8e numéro encore fort long 2h45 mais tres prenant et rythmé pour une fois puisque les candidats étaient soumis à une course à l'amulette avec des épreuves à chaque fois dans le but de gagner une immunité..

Les jeunes mariés ont ainsi été les premiers immunisés mais au final après beaucoup de sport, de chutes, d'accidents, c'est Clémence et Luc son mari qui ont affrontés Ingrid et Nicolas dans le sprint final. Une fois de plus c'est le couple de retraités Luc et Clémence, qui a terminé dans les derniers, mais pas de repechage ce soir l'étape était éliminatoire comme chaque fois dorénavant et ont donc été éliminés... Les sympathiques jeunes eux restent en course.

Un épisode où l'on sera cependant consterné devant l'amateurisme de m6 pour caser ses pubs puisqu'ils les mettent en plein milieu de phrases suivies au retour pub d'une longue rediffusion de ce que l'on avait vu précédemment...

RESUME COMPLET DE L'EPISODE ICI AVEC VIDEOS


LEURS ITWS PAR LA PRESSE ET LE NET
A M6.FR L'interview de Luc et Clémence
Au moment du classement final, pensiez-vous être éliminés face à Ingrid et Nicolas ?
Clémence : Lors du sprint final, nous avions 40 minutes d’avance sur Ingrid et Nicolas, mais à cause d’une erreur de notre part, on a perdu beaucoup de temps.

Luc : On était sûr d’être derniers ! Le véhicule qui nous conduisait nous a laissé en bordure de route, près du marché où devait se dérouler l’ultime épreuve. Mais il semblait fermé et il y avait peu de lumière, alors nous n’avons pas vu le drapeau. Dans le doute, on a demandé à notre chauffeur de nous conduire vers un autre marché, un peu plus loin à Zanzibar. On est arrivé en plein centre ville devant un grand marché qu’on pensait ouvert. Sur place, on a vite compris notre erreur ! Mais le temps de trouver un autre véhicule et de revenir, c’était trop tard. Ingrid et Nicolas avaient déjà commencé la mission.

Qu’avez-vous ressenti à l’annonce de votre élimination ?
Luc : On était attristé ! On s’en veut à cause de cette erreur. Ingrid et Nicolas ont eu la chance d’être déposés juste à côté du drapeau. Quant à nous, la voiture nous a laissé un peu plus loin sur la route et on n’a pas réussi à trouver le drapeau Pékin Express. Dans le stress, on a commis une grosse erreur.

Clémence : Mais on s’est tout de même battu jusqu’au bout. On s’est surpassé ! Les deux premiers jours de l’étape, on était très performant, mais comme d’habitude, c’est l’auto-stop qui a posé problème ! Avec notre avance, on aurait gagné, c’est sûr ! C’est très frustrant, mais c’est le jeu.

Au cours des épisodes, on découvre des tensions entre vous ou même avec Laetitia et Dianéba. Que s’est-il passé ?
Luc : Avec le stress de la course, on est excédé. En Tanzanie, on a attendu 4h sur une route de croisement. On était à bout. Ca énerve !

Clémence : Plusieurs fois en Tanzanie, Luc m’a vraiment irritée. Mais nous étions fatigués, stressés et nous en avions marre. C’est pour cela qu’il nous arrivait de crier.
Luc : Pour l’épreuve des équipes mixées, je suis le seul à avoir joué le rôle du ralentisseur. Dianéba était énervée, mais je ne faisais que respecter les règles !

Clémence : Luc a été la cible des mauvaises critiques parce qu’il a tout fait pour arriver dernier. Mais c’était le but du jeu non ?
Luc : Les tensions avec les filles se sont arrangées, mais Dianéba pense toujours que je lui en veux.

Pékin Express est une aventure difficile physiquement et moralement. En étant les doyens des candidats, pensiez-vous aller si loin dans la course ?
Luc : On aurait voulu aller beaucoup plus loin ! On calculait nos chances de réussite en fonction des autres binômes. A chaque étape on se disait « On peut battre telle équipe ». Mais la course réserve bien des surprises ! Jean-Pierre et François ont failli être éliminés au Kenya, mais ils ont été sauvés de justesse à cause d’une erreur de Nathalie et Julie.

Clémence : Nous, on évitait surtout d’être les derniers. On essayait de maîtriser la course à notre façon. Mais vu les tensions à la fin, on aurait pu s’entretuer ! (rires)

Qu’est-ce qui vous motivait tout au long de la course ?
Clémence : Le jeu par lui-même. Le fait de gagner des étapes, d’aller le plus loin possible, de se surpasser. Nos enfants étaient très fiers de nous ! On a essayé de leur montrer le bon exemple à travers cette aventure.
Luc : Le drame pour nous aurait été de partir dès la première étape. On a tout fait pour éviter l’élimination ce jour là.

Qu’est-ce qui a été le plus difficile ?
Luc : Le stop et le manque de maitrise de l’anglais. Les deux premiers jours de l’étape en Tanzanie, on s’en sortait bien. Mais après on a enchaîné les mauvaises surprises ! Panne d’essence, erreur de destination, etc. A chaque fois il y avait un problème ! Mais le plus dur était de ne pas pouvoir maîtriser la situation. Parfois, on pensait être les premiers, et d’un coup, notre véhicule se faisait prendre dans un embouteillage. On ne pouvait rien faire ! On subissait. C’est terrible et éprouvant !

Quel est votre meilleur souvenir de l’aventure Pékin Express ?
Clémence : Le Kilimandjaro. C’est un lieu mythique et c’était l’objectif qu’on s’était fixé. Lorsque Stéphane Rotenberg nous a annoncé le parcours en Afrique les premiers jours, on s’est dit qu’il fallait absolument qu’on monte sur le Kilimandjaro. Avoir été choisi par Karim et Leila pour faire le trek était un honneur. Mais le fait de l’avoir gravi jusqu’au bout, sans trop de difficultés – malgré le mal des montagnes – était un grand moment pour nous.
Luc : Le lever de soleil sur la montagne était magnifique. On s’en souviendra toujours.

L’aventure Pékin Express vous a-t-elle permis de découvrir chez l’autre des facettes de sa personnalité que vous ne connaissiez pas ?
Clémence : Luc avait un comportement différent. Je le connaissais calme, calculateur. Il ne faisait des efforts que pour quelque chose qui en valait la peine. Mais là, il s’est surpassé ! Je l’ai vu tellement excédé et impliqué dans le jeu, qu’il m’en est presque « tombé les bras » ! Moi qui suis généralement impulsive et « violente », j’étais plus détendue et calme que Luc. Il y a eu un renversement de personnalité.

Luc : Je me suis dis qu’avec ses origines italiennes, Clémence allait être déchainée, mais c’était plutôt l’inverse. Je me suis découvert l’âme d’un grand compétiteur ! Mais à aucun moment nous n’avons enfreint les règles du jeu. On voulait gagner, mais en respectant les concurrents et sans tricheries. C’était prioritaire !

D’après-vous, quels étaient les points forts et les points faibles de votre équipe ?
Luc : Pour nos points forts, je dirais la complicité et la franchise. Il n’y avait pas de tabous avec nous. Et notre maturité nous a permis de ne pas avoir de conflits avec les autres équipes. Garder une bonne entente dans le groupe était un élément important. On avait l’intention de se trouver des amis et on en a trouvé !
Nos points faibles étaient la communication avec les locaux et l’auto-stop.

Clémence : On m’a traité de pleurnicheuse aussi ! Ce que je regrette, c’est de ne pas avoir su convaincre les conducteurs de l’enjeu de la course. Certaines équipes ont réussi à détourner des véhicules pour qu’ils les emmènent où elles voulaient. Mais nous n’avons pas su négocier avec les chauffeurs. On répétait toujours la même phrase en anglais qu’on avait répété des centaines de fois !

Qu’est-ce que l’aventure Pékin Express vous a apporté ?
Clémence : On a vu comment vivaient les autres et on s’est rendu compte de la chance qu’on a, en France. On était déjà convaincu, mais ce voyage nous a donné des leçons. Pékin Express était un beau challenge et une belle aventure. Au final, on est très content de nous.

Seriez-vous prêts à recommencer l’aventure ?
Clémence : OUI ! C’était merveilleux. On était ravi de participer à l’émission. Aujourd’hui, on repartirait avec plaisir, mais on réviserait notre anglais avant d’y retourner !
Luc : La course était pleine de surprises ! Chacun a joué le jeu. On ne s’attendait jamais à ce qui allait se passer.
Clémence : On fait maintenant parti d’une grande famille, et avec tous les candidats, on collabore avec « Solidarité Express », une association pour venir en aide aux familles africaines. C’est en quelque sorte un prolongement de l’aventure, donc pour nous, ce n’est pas tout à fait fini !
M6


A TELE LOISIRS : Luc : "Je ne sais pas qui est ce Luc que j'ai vu dans Pékin Express"
Clémence et Luc ont été interrogés par TELE LOISIRS expliquent qu'ils assument tous les deux l'échec de la dernière epreuve qui leur a couté leur place, mais Clémence a été surprise par le comportement de son mari : "C'est vrai, j'ai découvert des facettes de lui qui m'étaient inconnues. Luc n'est pas quelqu'un qui s'emporte, il est très posé, il ne s'énerve pas. " et Luc lui même ne se reconnait pas : "Je ne comprends pas, je ne sais pas qui est ce Luc que j'ai vu à la télévision. Le Luc que je connais est hyper zen, tranquille. Ce Luc était à fond dans le jeu, il n'avait qu'une idée, c'était de passer à l'étape suivante et de continuer l'aventure. Je me suis découvert une âme de compétiteur. "

Leurs problèmes pour eux dans l'aventure :la maitrise de l'anglais mais ce n'est pas tout "En plus, on a un physique ingrat. Je ne suis pas le genre de personne qu'on croise dans la rue et qu'on veut aider. Je suis pas vraiment le mec super sympa et gracieux qu'on veut inviter chez soi. " dit Luc ; Clémence der ajouter :" Il était incisif. Je lui ai dit : "Tu te vois pas, quand tu demandes les choses, on dirait que tu agresses ces gens "".
Luc : 'C'était à cause de la fatigue, de la chaleur, de la baisse de moral. Quand je pétais les plombs, c'était souvent qu'on avait déjà arrêté 50-70 voitures sans succès. "

Pour Luc : "Le montage exacerbe un peu ma nature. Sur la totalité de l'aventure, je ne suis pas tout le temps comme ça. On a retracé les traits de ma nature qui ne sont pas les meilleurs. Dans l'étape des équipes mixées, je n'ai pas eu de chance, j'étais le seul à jouer mon rôle de ralentisseur, j'étais le mauvais de service ce jour-là. En plus, je tombe avec Dianéba qui était trop tendre et trop jeune. Elle aurait dû me bouffer le cerveau. " et de préciser qu'il n'est pas en conflit avec elle
Propos recueillis par Thomas Robert

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Par : Nico

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