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Pekin Express - L'épopée des Maharadjas, Émeline et Clément réagissent à leur énorme défaite en finale : C'était le destin !!!

C'est une finale cauchemardesque qu'ont vécu Émeline et Clément ce samedi 19 octobre dans Pékin Express, L'épopée des maharadjas 2024, ils ont en effet perdu et vu s'envoler leur gain maximum de 100 000€, les vainqueurs le papy et son petit fils ayant gagné avec 0€

Interrogé par Télé-Loisirs les animateurs de camping ont réagi à leur défaite


Leur participation
Émeline : Après l'élimination de l'année dernière, on voulait absolument aller plus loin que notre saison précédente mais sans se dire qu'on n'allait pas faire de cadeaux aux autres. On voulait surtout prendre une revanche sur nous-mêmes.
Clément : On abordait cette nouvelle aventure complètement différemment. On n'a pas été appelés la veille pour le lendemain, alors on avait un petit peu plus de temps pour se préparer mentalement et physiquement. Et surtout, je connaissais l'émission, ce qui n'était pas le cas pour mon premier Pékin Express.
E : C'était incroyable. En fait, c'était rigolo parce que la première fois, Clément ne connaissait pas trop Pékin Express. Donc, c'était moi qui étais vraiment surexcitée. Et là, cette fois-ci, c'est Clément qui était surexcité.
C : J'avais hâte de repartir. On avait des choses à prouver parce que lors de la dernière saison, on n'était pas parti de la manière dont on le souhaitait.


Les autres binômes
E : À l'issue de notre saison, on a reçu plein de messages des anciens candidats et il y en a avec qui on a accroché tout de suite. J'étais déjà allée voir Rose-Marie. Je parlais régulièrement à Jean-Claude. Et Fabrice, un petit peu aussi. Mais on n'avait pas le droit de parler de notre participation, c'était une surprise de les retrouver.
C : On a quand même tenté de faire des pronostics mais Emeline a été meilleure que moi (rires). Pour ma part, je ne connaissais aucun des autres binômes, à part via les réseaux sociaux et de ce que me disait Emeline. Fabrice et Briac me faisaient déjà énormément rigoler.


En difficulté lors des premières étapes.
E : Ce n'est plus le même niveau que la saison classique. La concurrence était beaucoup plus rude. Quand on arrive, on se dit qu'on sait comment faire mais tout le monde a déjà fait Pékin Express, donc le niveau était beaucoup plus élevé. Il fallait appréhender cette nouvelle concurrence et c'est ça qui était dur.
C : On a aussi mis du temps avant de se mettre dans la course. Jusqu'au moment où on s'est dit : "On était dans le haut du tableau sur notre premier Pékin Express et là, on se retrouve dans le ventre mou alors qu'on est des compétiteurs, ça ne nous allait pas." Je pense que les quarts-de-finale où Emeline tient trois heures avec son bras levé et notre duel final ont été un déclic.


La finale
E : C'est un moment suspendu dans le temps. Quand Stéphane donne le départ du dernier sprint, j'ai les larmes aux yeux. On a trop d'émotions parce qu'on se dit qu'on a tellement envie de gagner. Et en même temps, j'étais déjà nostalgique que l'aventure soit terminée. C'était très compliqué de rester concentré, la pression est horrible à gérer.
C : Ça n'a rien à voir avec tout ce qu'on a vécu avant parce que souvent on est stressé, mais le moment du sprint final, c'est une pression que l'on peut avoir qu'en finale de Pékin Express.


La défaite
E : C'est facile de se cacher derrière la chance... On n'a pas appelé cela de la chance mais plutôt le destin. On a eu l'impression que quoi qu'on fasse, le destin était contre nous. Peut-être qu'on a été mauvais aussi, mais c'est comme ça qu'on essaie de se réconforter.
C: Avec des "si" on referait le monde, on referait toute la finale. Mais d'un autre côté, la fin est belle. Parce qu'on aime beaucoup Jean-Claude et Axel, même si bien évidemment on aurait voulu aller encore plus loin.

E : Je crois qu'on s'arrête et Clément me dit : "Emeline, on a commencé en courant, on finit en courant". Mais je suis super triste. Avec les problèmes en stop, on se rendait bien compte qu'on avait pris beaucoup de retard, mais en fait, on y croyait quand même.
C : Je crois que je ne réalise pas. Je pense énormément à Emeline, parce que toute cette aventure part d'elle. Et je me dis que je n'aurais pas réussi à l'amener au bout du chemin. Et puis, je réalise de plus en plus et j'ai eu du mal à l'accepter.

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Par : Nico

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