News Pékin Express

Ils se sont confiés à Télé-Loisirs
Leur élimination
Maxime : On l’a très bien vécu, à notre grande surprise !
Hélène : Il y a déjà eu l’épisode 4 à Zanzibar où on commence à fatiguer. Je pense qu'on ne s'est pas assez préparés mentalement. On est venus un peu comme des touristes pour vivre une expérience folle. Ce n'est pas comme Judith et Étienne où c'est leur rêve ou comme certains binômes qui vont être prêts à tout. Nous, on s'est dit : advienne que pourra. Et je pense qu'on a senti, quand on est allés en duel final, que potentiellement, on allait sortir. Et dans tous les cas, on était déjà super fiers de notre parcours. On aurait aimé aller plus loin.
Maxime : On vit une expérience un peu déconnectée de la réalité habituelle. Mais notre objectif, de base, c’était de ne pas sortir à la première étape ! On a été complètement fiers de notre parcours et on ne s’attendait pas à être le binôme à abattre. Quand on a démarré l’aventure, on a eu un avantage qui nous a propulsés en haut du Kilimandjaro, ça c’était déjà incroyable et derrière, on a senti que les candidats pensaient qu'on avait siroté des cocktails. On a vécu l’expérience un peu différemment, à part la privation d'oxygène (rires).
Des candidats redoutés
Hélène : On arrivait toujours premiers ou deuxièmes.
Maxime : On démarrait souvent assez fort. Et ça, je trouve que quand on voit l'émission, ça se ressent moins. On a senti sur tous les petits moments d'intercourse qu'on était un petit peu le binôme à abattre. Ça a été une grande surprise et en même temps, une petite fierté parce qu'on ne s'y attendait pas du tout.
Vous avez attribué le passager mystère à Esmeralda et Mattéo, pourquoi ?
Maxime : Notre constat, c'était que les passagers mystères aidaient plus qu'autre chose. On avait remarqué qu’ils arrivaient souvent en fin de classement. Pas nécessairement derniers, mais souvent en fin de classement. On l'a vraiment pris en se disant : on va leur faire une fleur, ça ne peut que les aider. Parce que nous, on l'a vécu comme ça.
Bruno Solo, leur passager mystère
Maxime : On a fait une belle performance parce qu'on a réussi à arriver premiers alors que trouver un véhicule pour trois avec le caméraman en plus, ce n'était pas une mince affaire. On s'est paumés avant d'arriver. Donc, on était persuadés de ne pas être dans les premiers. Le lendemain, ça a été plus compliqué parce qu'il y a eu le drapeau rouge qui a mis un coup de stress à tout le monde, y compris Bruno. Mais au-delà du petit moment où ça s'est chauffé, on a réussi à tous s'apaiser. On a réussi en tant que trinôme à ne pas arriver derniers et c'était notre objectif sur l'étape. Et à partir de là, c'était cool.
Il n’y a eu aucun clash entre vous, comment l’expliquez-vous ?
Hélène : Plus on avance dans l'âge et plus on se rend compte que ce n'est pas la solution, ce n'est pas ça qui va faire avancer.
Maxime : Surtout dans une compétition où il faut rester focus. Il fallait garder notre sang-froid, quoi qu'il arrive.
Hélène : C'est-à-dire que s'il y en a un qui lâche, l'autre prend la relève.
Maxime : Et il y a des moments où on n'était pas d'accord. Par contre, on se le disait en se respectant l'un et l'autre sans se faire de mal.
Depuis la fin du tournage, où en êtes-vous dans votre relation ?
Maxime : On s’est demandé en mariage !
Hélène : On va se marier !
Maxime : Et on a des petits projets assez clichés de vie…
Hélène : Le package maison, bébé.
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |