News Pékin Express

Mais alors qu’une équipe semble bénéficier d’un avantage certain pour remporter la course, l’un des candidats va faire une terrible chute qui va nécessiter l’arrêt de la course. Tout est alors remis en cause... Au bout d’eux-mêmes, au bout du monde, qui va remporter cette cinquième saison de “Pékin Express” ? Yousra & randa ou Cécila & Matthieu ? Réponse mardi soir sur M6. Attention Cécilia risque de beaucoup gonfler dans son mode cinéma haute tension...

Seules les 3 premières équipes arrivées à l’estancia de Los Algarrobos pourront participer à une épreuve d’immunité extraordinaire qui les verra participer aux jeux traditionnels et folkloriques des Gauchos. Un jeu qui va leur réserver bien des surprises avec notamment la découverte d’un petit animal peu connu mais plein d’énergie: le tatou ! Comment nos candidats vont ils s’en sortir face à ce petit animal qui n’en fait qu’à sa tête ? Mais cet épisode de “Pékin Express” va réserver aux candidats une autre surprise mémorable. Une règle va venir tout bouleverser et va instaurer un jeu de chat et de souris entre les équipes. En effet Nicolas et Frederic qui ont terminés derniers mardi dernier, seront les équipes cachées...

Sixième étape de “Pékin Express : la route du bout du monde”, ce mardi 18 mai 2010 où les candidats partiront à la découverte des mystères de l'Ile de Pâques. Lors de cette 6e étape, les équipes de concurrents vont découvrir une nouvelle règle dans “Pékin Express” qui va leur mener la vie dure : la Balise infernale. La balise des candidats va en effet sonner à n’importe quel moment de la course les obligeant à quitter immédiatement leur véhicule.

Ils ne pourront reprendre la route et avancer que lorsque cette balise sonnera à nouveau : quelques minutes… et parfois même quelques heures plus tard ! Cette nouvelle règle va jouer avec les nerfs des équipes déjà mis à rude épreuve à ce stade de la compétition.Toutes les équipes ont un seul et même objectif : partir pour l’île de Pâques, un lieu irréel à 3 700 km des côtes chiliennes, célèbre pour ses Moais, des statues de 4 mètres de hauteur dont on ignore encore aujourd’hui l’origine. La compétition va faire rage puisqu’une seule équipe aura le privilège de découvrir ce site incroyable.

Si tous les candidats n’auront pas la chance de fouler cette île hors du temps, certains pourront se consoler en découvrant une ville mythique à l’architecture étonnante : Valparaiso, le fief du poète Pablo Neruda. Ils devront s’affronter dans une épreuve d’immunité unique, qui les verra utiliser les ascenseurs typiques de la ville.

Il faut faire vite car la dernière équipe arrivée à Santiago du Chili, aux pieds de la Cordillère des Andes, sera éliminée et ne verra pas le 3e pays traversé par la course : l’Argentine.

La traversée est éprouvante pour les candidats qui doivent puiser dans leurs réserves pour avancer sous une chaleur étouffante. Une étape où, pour atteindre l’arrivée, mental et solidarité auront un rôle primordiale, avec à la clé des surprises et une situation inédite dans Pékin Express. L’un des candidats très marqué par cette épreuve, craque, s’effondre, et menace d’abandonner... Comment va se gérer cette crise au sein d’un binôme ou l’un n’a qu’une envie : rentrer à la maison, et l’autre un seul but : poursuivre l’aventure. Ce dernier va-t-il réussir à convaincre son partenaire de rester dans la course, ou à son plus grand désespoir devra-t-il se résigner à abandonner à son tour ?

Pour cette étape, les équipes vont découvrir l’univers fascinant mais effrayant de la mine dans la ville fantôme Humberstone, un lieu hallucinant : autrefois site incontournable de la culture du salpêtre, aujourd’hui abandonné par ses habitants depuis 50 ans. Gare, hôtels, commerce, école, piscine olympique… sont complètement déserts comme si les habitants avaient disparu par enchantement.
C’est dans ce décor irréel que les candidats vont devoir se repérer au risque de prendre un sérieux retard pour la suite de la course.

Huitième jour de course et dernière étape en Équateur. Les équipes de concurrents vont être réveillées aux aurores au son d’un feu d’artifice tonitruant. Elles vont devoir rejoindre au plus vite l’aéroport local où les attend une destination de légende, les îles Galápagos et sa faune extraordinaire : tortues géantes, otaries joueuses, iguanes et autres fous à pattes bleues. Mais toutes les équipes n’auront pas la chance de fouler le sol de ces îles mythiques. Pour certains, la déception risque d’être grande…

Les équipes qui n’auront pas le privilège d’aller aux îles Galápagos devront se remobiliser et partir sur les routes. Des routes qui vont permettre aux candidats de découvrir un nouvel aspect de l’Équateur. Car après la jungle et les hauts sommets, cap vers l’océan. Mais avant d’y parvenir, sur des centaines de kilomètres ils devront traverser d’immenses bananeraies, et ramener le plus gros régime de bananes possible afin de se qualifier pour une épreuve d’immunité des plus étonnantes sur le port de Machala, le pôle commercial le plus important du pays.

Manque de sommeil, hygiène primaire, difficultés à se faire comprendre, routes impraticables, rien n’est épargné aux candidats : certains candidats atteignent déjà leur point de rupture et envisagent d’abandonner. Fort heureusement, l’esprit d’aventure, la solidarité entre les différentes équipes et l’hospitalité du peuple équatorien vont permettre de dépasser les difficultés.
Après cette ascension éprouvante, la course reprend ses droits.

Sur cette 2e étape, les stratégies et les affinités entre binômes se dessinent : si certains sont là pour le partage et la rencontre et se mettent parfois dans des situations de quiproquos particulièrement comiques, d’autres montrent déjà un réel esprit de compétition. La dernière équipe arrivée à Cuenca sera éliminée.

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