News Pékin Express

Ingrid et Nicolas avaient eux remporté leur première immunité mais César et Denis ont eux terminé derniers et ont donc été éliminés. Elimination logique vu qu'ils étaient souvent dans les derniers et qui va aussi faire plaisir à énormement de télespectateurs puisque Denis en a agacé plus d'un avec son comportement exhubérant , pénible, ce qui au passage en a amusé d'autres qui vont donc être déçu de leur éviction...
RESUME COMPLET ce jeudi


Interrogés par TELE LOISIRS Denis explique qu'au départ, il s'était inscrit avec un copain pompier à Nancy. "A ma grande stupeur, c'est lui qui n'a pas été retenu, alors qu'il était jeune et sportif. On m'a alors demandé si je souhaitais partir avec quelqu'un que je ne connaissais pas. Je n'ai pas réfléchi une seconde et j'ai dit oui.", tandis que Césarlui est arrivé seul. Denis explique ensuite qu'il pensait qu'ils seraient mieux logé que ça "J'étais un peu crédule au départ, je pensais que c'était une image qu'ils nous montraient, le fait qu'on habitait chez les gens, sans commodités, sans rien. Je croyais qu'après ils coupaient la caméra et qu'ils nous ramenaient dans un bel hôtel ! Mais en fait tout est réel dans cette aventure, je l'ai vite compris. "
Ils évoquent évidemment le clash du 9e épisode entre eux César : "C'est comme dans un couple... moi je le regrette de suite ! Il y a des moments de tension, de fatigue... Oui, je les regrette." et Denis de préciser : "Je me suis aperçu que je n'avais peur de rien ! J'aime mieux avoir à faire à un mec costaud comme César, lui dire ce que j'avais à dire, plutôt que de me trimballer avec un petit gringalet ayant peur de tout. Je m'excuse aujourd'hui de l'avoir bousculé, car César a horreur de ça."
Ils se sont liés d'amitié désormais précisent t'ils mais ne se sont pas encore revus en raison de la distance des lieux d'habitations : 800km mais ont prébvu de se revoir
Denis est pret à refaire une autre realtv avec César idem pour son camarade " On s'engueulerait encore plus, mais ce n'est pas grave ! Cette histoire a un goût d'inachevé...
Propos recueillis par Julien Thomas TELE LOISIRS


A l’annonce du classement final, et malgré le drapeau noir, pensiez-vous être éliminés ?
Denis : Oui, on le sentait. Sur ce parcours, on a eu beaucoup de difficultés. Nous étions persuadés d’être derniers, mais comme il y a souvent des rebondissements, on voulait tout de même y croire jusqu’au bout.
César : Après ce qui nous est arrivé sur la dernière épreuve, on savait pertinemment qu’on serait éliminé ce jour là.
Comment avez-vous réagi à l’annonce de votre élimination ?
César : Pour moi, tout allait bien. On a fait un très beau parcours dans Pékin Express, et je n’ai rien à regretter. J’ai vécu ce que je voulais vivre. Après, toutes les bonnes choses ont une fin. Malheureusement, l’aventure s’est terminée pour nous, mais on est heureux !
Denis : Moi j’étais déçu. J’espérais être sauvé par une nouvelle règle du jeu, comme Laetitia et Dianéba. J’aurais bien voulu visiter le Lesotho. Mais ce n’est pas pour cela que je me suis effondré à l’annonce de notre élimination.
Quelle équipe souhaiteriez-vous voir gagner la course ?
Denis : Ils en ont tous la possibilité. Pour moi, les « petits Belges », Samuel et Ludovic, peuvent facilement remporter la course. Karim et Leila se sont donnés à fond et ils ont eu beaucoup de chance. J’espère que la chance va continuer pour eux !
César : Cette aventure n’est pas un challenge de grand sportif ni d’intellectuel. Il faut surtout avoir de la chance. Avant de partir, j’ai dis à François que je l’imaginais arriver en tête. Il est vraiment capable de finir la course.
Denis : Je serais content aussi si les « bourgeois » remportaient Pékin Express, car ils ont fait la promesse de reverser l’argent d’une amulette à un enfant handicapé rencontré au Kenya.
Denis : Au début de l’aventure, vous souhaitiez participer à Pékin Express afin de prouver à votre entourage ce dont vous étiez capable. Avez-vous réussi à leur montrer ? Comment ont-ils réagi à la vue de votre parcours dans Pékin Express ?
Denis : Aujourd’hui, je peux dire que j’ai réussi à prouver ce que je voulais. Des jeunes comme des personnes âgées me félicitent tous les jours. Mon entourage savait que je n’étais pas un grand sportif, et ils sont très contents de mon parcours. Cela me touche beaucoup ! Cette course m’a vraiment changé. La rencontre avec César par exemple, je ne l’oublierai jamais.
César : Qu’est-ce qui vous motivait tout au long de la course ?
César : L’envie d’aider les autres. J’ai créé une association pour venir en aide aux enfants d’Haïti, mais j’ai très peu de moyens pour les aider. Grâce à Pékin Express, j’ai eu l’opportunité de rencontrer des familles d’Afrique dans le besoin, ou des enfants qui n’avaient pas de maison. J’essayais de les aider comme je pouvais, et je remercie l’émission de m’avoir permis de partir à leur rencontre.
Denis : Je rejoins César sur ce point là. Je lui avais promis que si on gagnait la course, je reverserais la totalité de mes gains à son association. Ce but me motivait pour la course, c’est pour cela que je suis déçu aujourd’hui de ne pas avoir été jusqu’au bout.
Vous n’auriez pas voulu faire l’aventure avec un autre binôme. Pourquoi ? Quel était son point fort et son point faible ?
Denis : C’est vrai qu’on est opposé, mais on a les mêmes valeurs : la rigueur et l’honnêteté.
Après, c’est sûr que notre niveau de stress est différent ! César est beaucoup plus détendu, mais justement, cela m’a reposé d’être avec quelqu’un comme lui. Et puis, on a tous les deux la même joie de vivre, et à chaque fois, cela me réjouissais de voir César heureux.
César : On a des valeurs communes, comme le respect ou l’honnêteté. Mais dans la vie, il y a toujours des hauts et des bas. On est des amis, on s’est compris et on se disputera toujours, comme des amis !
Denis : Nos disputes ne durent jamais très longtemps. On s’explique et on en discute. Je fais des promesses mais c’est vrai que parfois, dans la course, on s’emporte. Mais j’essaye de ne décevoir personne.
Seriez-vous prêts à recommencer l’aventure ?
Denis : OUI ! Que ce soit avec ou sans César, il y a plein de choses qu’on n’a pas eu le temps de découvrir encore.
César : Il y a toujours ce petit côté inachevé de la course. Si j’en avais la possibilité, j’y retournerais dès demain !
Qu’est-ce qui a été le plus difficile ?
Denis : Trouver le logement et la nourriture. J’étais un peu crédule au début. Je ne connaissais pas très bien l’émission, et je pensais que lorsque les caméras s’arrêtaient, toutes les équipes se retrouvaient dans un bel hôtel avec un repas. Mais pas du tout ! Tout est réel dans la course, et c’est à nous de nous débrouiller entièrement. Ce que j’ai aimé justement, c’est qu’il n’y avait aucune tricherie. Tout est vrai ! Même dans le classement, ce sont toujours les plus faibles qui s’en vont.
Pour le logement, je ne me suis jamais plaint ! J’étais à la fois content et surpris de vivre avec les familles. J’avais beaucoup de scrupules car ces personnes nous donnaient énormément, mais je ne pouvais rien leur rendre ! J’étais gêné et embêté. Cette expérience m’a complètement changé.
César : Moi j’ai eu peur de mon image. Je n’aime pas trop me regarder à l’écran, et j’appréhendais beaucoup l’image que j’allais renvoyer à la télévision. Maintenant, tout va bien, j’arrive à gérer tout cela.
Quel est votre plus gros regret ?
Denis : Je regrette de ne pas avoir été plus loin dans l’aventure. Je sais que je vais décevoir beaucoup de monde à la suite de notre élimination. Je ne regrette pas le fait de ne pas avoir gagné de l’argent, mais le fait de décevoir des gens. Après, lorsqu’on y réfléchit, des candidats sont partis bien avant nous. Avec César, on a quand même été très loin, alors on évite de regarder en arrière.
César : Il n’y a rien à jeter dans notre course. C’était une expérience incroyable. Mais je regrette le drapeau noir. On avait une petite chance de réussir, mais on a décidé de s’arrêter quelques minutes avant la fin de la course pour trouver un logement dans le village au lieu de continuer à avancer. Je ne vais pas revenir dessus car on a déjà eu une discussion avec Denis à ce propos. Sinon, je regrette de ne pas avoir fait le Kilimandjaro.
Quel est votre meilleur souvenir de l’aventure Pékin Express ?
Denis : De ne pas avoir déçu César ! Je sais que je suis son opposé sur le plan sportif, donc je ne voulais pas le décevoir.
César : Ce que je retiens, c’est l’humanité des gens. On a perdu cette façon de vivre ici, et en Afrique, on retrouve une forme d’humanité chez les locaux ou les familles qui nous ont accueillis. Mais l’une de mes plus belles rencontres à Pékin Express, c’est Denis. Je lui ai déjà dit…
Denis : …et cela me touche à chaque fois que tu me le dis ! J’en ai des frissons !
César : Je retiens aussi l’expérience gagnée grâce à Pékin Express. Tous les candidats se sont découverts à travers une telle course. A chaque épreuve, on était tous égaux, tous au niveau zéro avec les mêmes affaires, le même but, la même somme d’argent. On a appris à revivre. Au final, on est tous pareil, il n’y a pas de différences.
Les caméramans qui nous accompagnaient étaient talentueux, avec une expérience formidable. On n’en parle jamais, mais c’était très dur pour eux. Je me rappelle de l’épreuve dans les pyramides où il a fallu descendre et remonter avec tout le matériel. C’était difficile !
Et encore, avec Denis, je pense qu’on n’était pas les plus difficiles à suivre. Le caméraman qui suivait les Belges devait être sacrément rapide ! (rires)
Dans tous les cas, je remercie Pékin Express pour cette expérience.
Quelle épreuve vous a le plus marqués ?
Denis : Celle où on a remporté l’immunité. On était chacun sur un morceau de bois et on tenait en équilibre grâce à une corde. On n’avait pas le même poids, mais César m’a dit que ce n’était pas la force qui comptait, mais le mental. Il me l’a répété plusieurs fois, et c’est grâce à lui que j’ai pu tenir jusqu’au bout.
César : Des milliers de gens auraient aimé être à notre place. Pékin Express, c’est « énorme » ! Je ne suis pas déçu, tous les jeux étaient intéressants.
Allez-vous continuer à vous revoir ?
Denis : César est encore en plein activité, il a une société et son travail passe en priorité. En plus, 800 km nous séparent, donc c’est difficile de se voir. Depuis la fin de l’aventure, on ne s’est pas encore vu. Mais on va se revoir la semaine prochaine à Paris, et on a hâte !
César : Par contre, on se téléphone souvent. On est des frères pour la vie !
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |