News Pékin Express

La revue de presse de Pékin express la route des grands fauves [MAJ 6/7]

Nouvelle rubrique de revue de presse consacrée cette fois à l'émission tout terrain de M6 : PEKIN EXPRESS 6 diffusée dès avril 2011 sur la Route des Grands fauves. L'émission va avoir comme l'an dernier pas mal de couverture presse avec de nombreux articles dans la presse, voici pour commencer ceux parus pour annoncer cette nouvelle saison..

Pékin Express : En Afrique, ça va être chaud !
A quelques semaines du démarrage de Pékin Express, Stéphane Rottenberg livre des anecdotes sur cette aventure hors du commun.
Ils vont en baver ! Cette année, plus que les autres encore, les candidats de Pékin Express devront se dépasser pour traverser le continent africain. Au programme de cette aventure : 10.000 kilomètres à parcourir entre l’Egypte et l’Afrique du Sud, avec, en poche, un euro par jour et par personne.
Des pyramides égyptiennes aux sommets du Kilimandjaro en passant par la savane où vivent les grands fauves, les équipes devront survivre à des conditions extrêmes. Cette aventure a été tout aussi éprouvante pour la production et son animateur Stéphane Rottenberg. Habituée à gérer les imprévus – pluies diluviennes en Inde ainsi qu’un retard dans la livraison du matériel technique avant le début du tournage en Amérique du Sud – la petite troupe a cette fois-ci dû affronter la révolution en Afrique.

Emeutes
Arrivée en Egypte juste après les émeutes en Tunisie, l’équipe a dû faire face à la surveillance d’une police touristique. « Ils étaient entre dix et cinquante policiers à nous suivre au quotidien avec des flingues. Ils prétextaient veiller à notre sécurité. Nous avons compris, par la suite, que les enjeux étaient tout autres », explique l’animateur avant d’ajouter : « Pour la première fois dans l’histoire de Pékin Express, les candidats n’ont pas eu le droit de dormir chez l’habitant en Egypte. Nous avons contourné cette règle en instaurant un quartier libre. Avant de rejoindre le campement alloué par les autorités locales entre 22 et 23 heures, les participants devaient se faire inviter à dîner chez les locaux. Nous avons finalement compris que ce qui posait problème aux autorités, c’était que les habitants puissent s’exprimer ouvertement devant les caméras. »
Une aventure périlleuse que l’équipe n’est pas près d’oublier. « Nous avons dû modifier la feuille de route dès le début du périple. Il nous est arrivé d’avoir l’impression de tourner en rond puisque nous ne pouvions pas avancer en ligne droite », précise Stéphane Rottenberg. L’équipe a également dû éviter certains pays comme le Soudan. Pas de doute, cette nouvelle saison de Pékin Express promet bien des surprises…

Un casting haut en couleur
Pour cette nouvelle saison, la production a misé sur des tandems détonants. Pour la première fois, des ex, des frères survoltés, des bourgeois décalés, des demi-sœurs au grand cœur, des retraités ambitieux, une mère et une fille fusionnelle, des jeunes mariés, ou des gens qui ne se connaissaient pas avant l’émission feront tout pour progresser le plus rapidement possible dans l’aventure. Clash et émotion en perspective.

Pas de tricherie sur Pékin Express
En 2008, Philippe Bartherotte, journaliste sur l’émission accusait la production de privilégier certains candidats en leur payant à l’occasion des voitures, facilitant ainsi les victoires d’étape ou les éliminations. Le journaliste avait alors décidé de porter plainte contre la chaîne de télévision. Il a été débouté jeudi.
FRANCE SOIR 27 Mars 2011

Pékin express version saga Africa : LE PARISIEN 26 Mars


Pékin Express : Et si c’était la fin ?
Le programme de M6 entame sa septième saison. Mais après l’échec de Familles d’explorateurs, les jeux d’aventures ne sont-ils pas à bout de souffle ?
Non, l’échec de Familles d’explorateurs, sur TF1, ne remet pas en cause le genre des jeux d’aventures ! C’est ce qu’affirme Thierry Guillaume, producteur de Pékin Express sur M6. « Il faut du temps pour installer une nouvelle marque. Lorsqu’on voit chaque année le succès de Koh-Lanta et de Pékin Express, ce type de programmes a forcément de l’avenir. » Confiant, le producteur n’en est pas moins réaliste. Objectif avoué au bout de sept saisons : surprendre les candidats et les téléspectateurs. « Si le concept reste le même, nous avons décidé d’instaurer de nouvelles règles. Dès la première étape du jeu, les candidats pourront être immunisés, lors d’une épreuve, en remportant le dossard vert. Et pour la première fois, ils seront séparés de leur binôme pendant toute une étape. Ils devront s’en sortir seuls pour éviter l’élimination », précise le producteur.
Prêts pour une 8e saison

Avec de tels aménagements et malgré la concurrence – Pékin Express devra faire face à Esprits criminels sur TF1 –, l’équipe espère être à la hauteur de la mission que lui a confiée M6. « Quand on tourne une émission d’une telle envergure, on n’a pas envie de décevoir les gens qui nous ont fait confiance, précise Stéphane Rottenberg. » Surtout, il ne faut pas enregistrer l’émission de trop et déjà anticiper la suite. « Nous réfléchissons déjà à la 8e saison, lance Thierry Guillaume. Il n’est pas exclu que l’on reparte avec d’anciens participants de l’émission ou des people. » Et pour prouver que les jeux d’aventures sont toujours dans l’air du temps, il ajoute : « La production réfléchit déjà à d’autres projets qui reposeraient sur les mêmes valeurs que Pékin Express : l’évasion, l’aventure et l’humain. »
FRANCE SOIR 20/4

En route pour l'Africa express : LE PARISIEN 20/4/2011



Dans « Pékin Express », Nicolas « n'est pas parti pour faire acte de présence »
Il se savait baroudeur dans l'âme. Sa participation à « Pékin Express » n'en a été que la confirmation. Pour ses 30 ans, Nicolas, un graphiste lillois s'est lancé un défi : concourir dans la célèbre émission télévisée pour vivre une expérience inédite. En janvier, il s'est envolé vers l'Afrique, sur la route des grands fauves.

« Rien que d'avoir participé, c'est une première victoire. » Plus de deux mois après la fin du tournage de l'émission, Nicolas ne semble pas être descendu de son nuage. « J'ai vécu tellement de choses intenses. J'en garde un super souvenir. » Pourtant, au départ, le pari était loin d'être gagné. « C'est la troisième fois que je tente ma chance.
Mais cette année, j'ai fait les choses à fond. Je voulais vraiment être sélectionné. » Quelques semaines après avoir envoyé sa candidature, il est retenu pour passer les castings avec son frère jumeau, avec qui il voulait vivre l'aventure. En octobre, c'est la surprise. « On m'a appelé pour me dire que j'étais sélectionné, sans mon frère. Je n'ai pas hésité, même sans lui je voulais tenter l'expérience. » Et quitte à jouer, autant mettre tous les atouts de son côté. Musculation, footing... « J'aime me tenir en forme, mais là j'ai redoublé d'efforts. » Pendant trois mois, c'est avec un sac de 15 kilos remplis de livres et dictionnaires qu'il part travailler. « Pour reproduire les conditions du jeu. J'ai bien fait, la première fois que je l'ai mis sur les épaules, je suis tombé en arrière !
» , plaisante t-il.

En janvier, il s'envole enfin vers l'inconnu. Il ne découvre sa destination que trois jours plus tard. L'Afrique et sa première étape, plus précisément Gizeh, en Égypte. Une grande première pour Nicolas qui ne s'étonne donc pas de voir des militaires armés partout dans la ville. « La révolte a éclaté cinq jours après notre départ, mais déjà la tension était palpable. Nous n'avons pas pu dormir chez l'habitant. Ça a aussi compliqué les voyages en auto-stop. La production ne nous a pas avertis pour ne pas nous inquiéter. On l'a échappé belle. » Ce jour-là, c'est une double surprise qui attend Nicolas : il découvre Ingrid, une belle angevine avec qui il partage l'aventure. « On a tout de suite été sur la même longueur d'ondes, même si évidemment parfois, les nerfs craquent. D'ailleurs, ça n'a pas loupé... » Pour le reste, nous n'en saurons pas beaucoup plus. Secret de tournage oblige. Ce qu'il retient de cette incroyable aventure ? « Surtout la rencontre avec les locaux. Je suis resté en contact avec l'un d'eux qui nous a beaucoup aidés. » Une expérience dont il est ressorti plus confiant et plus ouvert. « J'ai envie de vivre plus intensément la vie, d'aider mon prochain et de découvrir d'autres civilisations.
» Cet été, sans les caméras, il s'envolera d'ailleurs pour le Pérou, avec un sac à dos pour seul bagage. En attendant, ce soir, c'est derrière son poste de télévision qu'il revivra cette folle aventure. •
LA VOIX DU NORD 20 AVRIL 2011 PAR CÉCILE DEBACHY


Deux Argenteuillais en course pour « Pékin Express »
Le célèbre raid télévisé est diffusé ce soir surM6.Karimet Leïla, un couple du Val-d’Oise, font partie du casting. En 2006, deux Val-d’Oisiens avaient déjà gagné le jeu.

EGYPTE, janvier 2011. S’il leur était proposé de repartir, Karim et Leïla, malgré les difficultés de l’épreuve, seraient prêts à reprendre leur baluchon. | (DR)

Il jure qu’il irait « la chercher au bout du monde ». De retour de « Pékin Express », la course d’aventure de M 6 dont le premier épisode est diffusé ce soir, Karim et Leïla, 28 ans chacun, sont « plus amoureux que jamais ». Le principe de ce jeu de téléréalité est de rallier différentes étapes à travers plusieurs pays avec en poche seulement un euro par jour et par personne.
Les jeunes mariés installés à Argenteuil depuis deux ans avaient pourtant des projets d’enfant quand ils se sont inscrits au jeu de téléréalité sur un coup de tête. « Je suis un grand fan de Pékin Express, souligne Karim. Un soir, on regardait ensemble un épisode de la saison dernière et on a commencé à plaisanter, on s’est mis à rigoler. Et puis Leïla a téléchargé les documents et on s’est inscrits. » Au départ, le couple n’y pensait pas plus que ça : « Il y avait des milliers de candidatures, relève Karim. Et puis la production nous a appelés chacun de notre côté pour un entretien téléphonique. » Le couple a passé le premier filtre et commencé à se prendre au jeu. « Au fur et à mesure, on s’est dit qu’il fallait vraiment saisir l’occasion si elle s’offrait à nous. On a décidé de différer nos projets de bébé pour se lancer dans l’aventure. »

Inoubliable
En juillet, le couple a réussi le premier casting. « On ne connaissait pas les critères, il fallait juste rester soi-même et évoquer nos motivations, nos points communs et nos faiblesses. » A l’issue du troisième, ils ont finalement été retenus pour cette sixième édition. Ils se sont envolés le 7 janvier pour une destination inconnue, sans savoir que la production avait choisi cette année le continent africain, et sans informer leurs proches de leur participation au jeu. Ce responsable d’une boutique de vêtements et cette éducatrice spécialisée ont « juste pris un congé sans solde et dit à [leurs] familles [qu’ils] partaient en vacances ».
Le premier jour, l’annonce des étapes sera pour eux une « vraie surprise ». « L’Egypte, le Kenya, la Tanzanie, le Lesotho, l’Afrique du sud… ce sont des pays qui font rêver », confie Karim. Il n’a pas été déçu : « Si on me proposait de repartir, je dirais oui tout de suite! »

Passionné par la Thaïlande, il n’en est pas à son premier voyage « sac à dos ». « Leïla est plutôt hôtel tout compris et n’est pas sportive, mais elle m’a surpris! » Il assure que la compétition et les conditions de vie « précaires » n’ont pas provoqué de tensions entre eux. « On était tellement dans la course… Ce qu’on retient, ce n’est pas seulement le voyage mais le jeu inoubliable, des situations jamais vécues : en une journée, on passe du rire aux larmes devant la gentillesse et l’hospitalité des gens. »

Impossible toutefois d’en savoir plus sur l’aventure : chacune des douze étapes fait l’objet d’un épisode à l’issue duquel une équipe est éliminée et les candidats sont tenus au secret pour préserver le suspense. « On est peut-être restés une semaine, peut-être deux mois… » Karim ne peut rien dévoiler.
LE PARISIEN 20AVRIL 2011 Aurélie Foulon


Résumé du 1er épisode LE PARISIEN 21 AVRIL



Nicolas Equipe célibataire inconnus, seul Nordiste ce soir dans l'émission « Pékin Express »

Il rêvait de vivre « une folle aventure », une expérience inédite, sortir de son train-train quotidien. Pari réussi pour Nicolas, un graphiste de 30 ans. Ce soir, il sera l'unique représentant de la région dans l'émission « Pékin Express ». ...

Le principe : traverser un continent en binôme, avec une série d'épreuves, en sollicitant la population locale, le tout avec un euro par personne et par jour. Un défi de taille pour ce Lillois, baroudeur dans l'âme, mais qui n'avait jamais vraiment franchi le cap de l'aventure. « Je suis fan de l'émission depuis sa création. Y participer, c'était me lancer un gros défi, voir si j'étais capable d'y arriver », explique-t-il.
Cette année, c'est en Afrique que s'est déroulée l'émission. Quarante-cinq jours d'un tournage composé de douze étapes, dont l'Égypte, le Kenya, la Tanzanie et l'Afrique du Sud. « Je n'avais jamais été en Afrique. C'était une grande première. »
En pleine révolution
Un tournage qui n'a pas été de tout repos pour le Nordiste et qui aurait bien pu ne jamais se faire. « Nous avons commencé à tourner en janvier, en Égypte, quelques jours seulement avant la révolution. Il y avait plein de militaires armés dans les rues mais nous ne savions pas pourquoi car nous étions vraiment coupés du monde. Plus tard, nous avons appris que la révolte avait éclaté cinq jours seulement après notre départ. »
Les événements auraient pu lui jouer des tours, lui qui est d'ordinaire calme et réservé. « Ça compliquait le jeu. Par exemple pour les voyages en auto-stop. Il y avait beaucoup de contrôles qui nous ralentissaient. Du coup, je m'énervais facilement contre les militaires ! Avec le recul, je me dis que si j'avais su je n'aurais peut-être pas dû », plaisante-t-il.
Des anecdotes nombreuses, dont il ne peut pour le moment presque rien dévoiler (secret de tournage oblige), mais dont il garde un souvenir unique, « incroyable, intense et inoubliable. Sur place les émotions sont réellement décuplées. On revient changé, on se recentre sur ses valeurs. Je suis moins individualiste, j'ai envie de découvrir les autres. En fait, si je pouvais, je repartirais dès maintenant ! » •
LA VOIX DU NORD mercredi 20.04.2011, 05:20 - CÉCILE DEBACHY


Les voilà enfin en Afrique
L'édition 2011 de « Pékin Express », le jeu d'aventures diffusé sur M6, part sur la route des grands fauves, avec trois candidats de la région - deux Palois et un Périgourdin - dans ses bagages.
En 2010, Stéphane Rotenberg, le directeur de course, confiait son souhait de présenter « Pékin Express » en Afrique. Vœu exaucé. Après l'Europe de l'Est, l'Asie et l'Amérique du Sud, les 20 candidats de l'édition 2011 devront traverser l'Égypte, le Kenya, la Tanzanie, le Lesotho et l'Afrique du Sud afin de remporter les 100 000 euros dévolus au binôme gagnant.
« Je connaissais un peu l'Afrique du Sud mais j'ai découvert à cette occasion l'Afrique noire », souligne l'animateur Stéphane Rotenberg. « Les téléspectateurs verront enfin la vraie Afrique avec sa nature sauvage et ses paysages à couper le souffle, et non pas l'image que l'on véhicule depuis longtemps. »

Duo palois explosif
« Au niveau logistique, les Africains sont bien mieux organisés qu'on ne le croit. Par contre, comme prévu, nous n'avons pu faire d'étapes en continu. Certains pays devant être traversés avaient une situation politique encore trop instable. »

À commencer par le premier, l'Égypte, car, sans le savoir, l'énorme équipe de tournage et les concurrents se sont retrouvés au milieu des premiers soubresauts de la révolution qui a ébranlé le pays. « Les autorités ont empêché les candidats de trouver un hébergement chez l'habitant. Ce régime en fin de vie nous a pourri la nôtre », explique Stéphane Rotenberg.
Trois régionaux participent à cette épopée télévisuelle : les deux amis François et Jean-Pierre, originaires de Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques, ainsi que César, de Neuvic, en Dordogne.

Les deux Palois ont tout pour étonner : François est un baroudeur, sportif, alors que Jean-Pierre n'a jamais voyagé et ne pratique aucun sport. Et pourtant ces deux-là forment un duo explosif et efficace. « Ils vont marquer les esprits. Il n'y a pas une once de calcul en eux, ils ne trichent pas », fait remarquer Stéphane Rotenberg. « Ils ne vont pas faire l'unanimité auprès des téléspectateurs. Ils gueulent quand ils ont envie de gueuler, caméra ou pas. Mais ils ont un sens tactique inné et vont être dans le jeu d'entrée. D'ailleurs, ce n'est pas pour rien qu'ils ont explosé lors du casting de sélection. »

César, lui non plus, ne passera pas inaperçu avec son physique impressionnant (1,78 m pour plus de 100 kilos). Mais il ne faudra pas trop s'attarder sur son apparence. César, d'origine antillaise, passionné d'arts martiaux, assume pleinement sa mégalomanie mais c'est un grand sensible. Il n'est pas aussi compétiteur que Denis, restaurateur vosgien, qui fera équipe avec lui. Ceux-ci sont, de par leurs physiques et leurs milieux, très différents. Le Périgourdin philosophe beaucoup sur ses valeurs et ses origines. Cette aventure africaine sera pour lui, d'une certaine façon, un retour aux sources.

Moins sportifs
Au programme de ce « Pékin Express », les pyramides égyptiennes, les rives du lac Victoria et celles de l'océan Indien, des rencontres avec les peuplades masai, bantoues et zouloues, les mines d'or d'Afrique du Sud aux plages du Cap pour les meilleurs.

Cette année, les concurrents ont la particularité d'être moins sportifs que les années précédentes. Mais ils parient sur d'autres qualités, comme l'humour, la convivialité ou la solidarité, pour espérer rejoindre Le Cap, destination finale de l'aventure.
SUD OUEST 20 AVRIL 2011


Montpellier Dianeba, 25 ans, relève le défi de "Pékin Express"

"Pékin Express, je l’ai suivi chaque année. J’ai toujours eu envie de me lancer dans l’aventure, c’était une sorte de défi." Défi relevé pour Dianeba. Cette Montpelliéraine de 25 ans est l’une des candidates de la nouvelle édition de Pékin Express, course effrénée à la découverte de différents pays avec, pour seule ressource, 1 par jour et par personne.

Pour la sixième saison du jeu télévisé diffusé sur M6, à partir de mercredi, la production oriente les 20 candidats "sur la route des grands fauves" avec, pour point de départ, l’Égypte. Les binômes traverseront le Kenya, la Tanzanie et le Lesotho, et finiront leur course à Cap Town, en Afrique du Sud. Un périple au bout duquel les vainqueurs seront récompensés par 100 000 .
"A Montpellier, je travaillais dans l’animation et la communication. Quand mon contrat s’est terminé, j’ai décidé de me lancer, précise Dianeba. En binôme avec ma demi-sœur Laetitia, je voulais me prouver jusqu’où je pouvais aller." Avec le continent africain en trame de fond, cette jeune Française d’origine sénégalaise ne pouvait qu’être ravie de ce premier voyage.
"L’Afrique était un signe. Je savais que les gens étaient accueillants et que comprendre leur culture pouvait me donner un plus. Quand le bandeau qu’on avait sur les yeux est tombé et que l’on a découvert les pyramides, c’était extraordinaire." Malgré ces affinités africaines, l’aventure n’en a pas moins été compliquée...

"Au début, j’ai cru mourir de faim, se rappelle Dianeba. Mais le plus dur était sans aucun doute les déplacements en stop. Je m’étais préparée physiquement à dépasser mes limites mais pas à l’attente." Autre difficulté de cette édition 2011, l’instauration d’une nouvelle règle : la division des binômes. Dur, dur de se retrouver seul dans la savane ou sur les routes africaines. "Je ne regrette pas d’avoir fait l’émission, on en revient grandi. Vivre l’Afrique ça m’a fait relativiser ma vie d’ici."
Le retour à Montpellier n’a d’ailleurs pas été facile pour cette fille pourtant joviale. Mais l’aventure ne s’arrête pas là pour Dianeba. Qui ne peut en dire plus. Elle continuera tous les mercredis soir sur sa télévision.



Pékin Express se frotte à l'Afrique
Après avoir traversé l'Europe, l'Asie et l'Amérique, la nouvelle saison de Pékin Express s'empare du continent africain pour la première fois. En 45 jours, dix couples de candidats vont parcourir 10.000 kilomètres et cinq pays: l'Egypte, le Kenya, la Tanzanie, le Lesotho, avant de rejoindre l'Afrique du Sud. LeJDD.fr était à la conférence de presse de présentation de la nouvelle saison qui débute le 20 avril sur M6.
Quand le continent africain, "sûrement le plus méconnu de tous", relate Stéphane Rotenberg, a été évoqué pour la nouvelle saison de Pékin Express, la production a fait les gros yeux à l'animateur du jeu. Mais il y pensait depuis la première année. Et de nombreux courriers des téléspectateurs réclamaient cette destination. M6 a relevé le défi.

Cette année, ils étaient plus de 30.000 personnes à vouloir participer. Les candidats sélectionnés, âgés de 19 à 62 ans, sont moins sportifs que les années précédentes. Mais cela n'enlève rien à leur détermination de se surpasser. Un couple de retraités, des frères survoltés, des bourgeois décalés, ce sont des candidats hauts en couleurs et en fantaisie que propose le jeu… La nouveauté cette année, c'est un couple de divorcés qui veut prouver que l'on peut rester amis. Ceux que tout oppose promettent du spectacle: César, videur de boîte de nuit, barracuda passionné d'arts martiaux, et Denis, un cuisinier qui se définit lui même comme "mi-homme, mi-sapin."
"On a malheureusement trop souvent une vision misérabiliste de ce continent"
Au nom de la sécurité, les autorités égyptiennes ont interdit aux candidats de dormir chez l'habitant. Une consigne habilement contournée par la production, qui arrêtait les courses plus tôt, pour permettre aux équipes de passer la soirée avec des habitants, avant de retrouver un camp qui leur était alloué pour la nuit. "On a trouvé très étonnant que l'on nous dise que ça pouvait être dangereux de dormir chez l'habitant. Avec le recul, on comprend mieux: ils ne voulaient pas que les gens parlent. Ceux qui nous ont dit cela ne sont plus en place aujourd'hui", révèle Stéphane Rotenberg.

La production sait gérer les difficultés. "Il y a un mythe sur la grande dangerosité de l'Afrique. Certains pays sont très instables, certes, mais si c'est vraiment dangereux, nous n'y allons pas! Surtout, il y a là-bas une magie et une douceur exceptionnelles. Ça peut être parfois beaucoup plus dangereux dans certains faubourgs de Washington que dans certains pays d'Afrique!", explique l'animateur. "Tout le monde est tombé amoureux de ce continent. Personne ne voulait rentrer. L'Afrique est vraiment merveilleuse! A certains endroits, on dirait que le temps s'est arrêté, à d'autres, c'est très moderne, et les gens sont incroyablement émouvants. C'est un continent très riche en culture et en histoire, contrairement à ce que l'on peut penser. On a malheureusement trop souvent une vision misérabiliste et catastrophique de ce continent", ajoute-t-il. Il espère donc enlever bon nombre de clichés de l'esprit des gens à travers cette "folle" aventure.
JDD 20 AVRIL 2011

Damien et Noella : Leur seconde lune de miel : ICI PARIS Avril 2011



Télévision : deux Palois ont pris le « Pékin Express »... en Afrique
François Genevet et Jean-Pierre Bouvée participent au jeu d'aventures de M6
Le directeur de course du célèbre jeu de M 6, ne tarit pas d'éloges sur eux : « Ce sont tout simplement des personnages extraordinaires. Sur les 140 candidats que j'ai côtoyés lors des sept précédentes éditions de "Pékin Express", François Genevet et Jean-Pierre Bouvée sont sortis du lot. Ils viennent de milieux aisés et pourtant ils sont simples, accessibles, pas comme les Parisiens ou bien d'autres venant de grandes villes. Ils sont d'une intelligence évidente et ont montré tout au long de l'épreuve un charisme, des qualités de cœur authentique ». De quoi faire rougir les deux amis palois.

Amis depuis 11 ans
Jean-Pierre et François se sont connus il y a onze ans, pour le mariage de ce dernier : « Mon épouse et moi-même avions déposé notre liste de mariage dans le magasin de Jean-Pierre ». Ils disposent chacun d'un magasin dans le centre-ville de Pau : rue du Maréchal-Joffre pour François où il vend des produits à base d'huile d'olive et rue de Foix où Jean-Pierre exerce son métier de décorateur d'intérieur.

Le binôme est originaire de Pau. François a beaucoup bourlingué jusqu'en 2005 à l'inverse de Jean-Pierre : « Ma femme est claustrophobe et donc n'a jamais voulu prendre l'avion ».
« Pékin Express », François y pensait depuis quelques années déjà. Il avait même postulé avec son frère afin de participer à l'épreuve se déroulant en Amérique du Sud. Hélas, une blessure bloqua l'avancée de leur candidature. Traverser l'Égypte, le Kenya, la Tanzanie, le Lesotho et l'Afrique du Sud avec 1 euro par jour et par personne restait un challenge envoûtant pour les deux Palois.
Jeune papa de son deuxième enfant, un petit Gaspard de 15 mois, François reçu le blanc-seing de son épouse pour participer à l'édition 2011. Les motivations de Jean-Pierre sont bien différentes. N'étant pas un routard dans l'âme, il a voulu prouver à ses deux enfants qu'il avait la motivation nécessaire pour participer à une telle aventure.
« Jean-Pierre a un sens inné de l'esthétique et il est très réfléchi ce qui nous a bien servis pendant l'épreuve, précise François. Avec ma capacité d'adaptation et mon relationnel aisé, nous nous sommes bien complétés. »

De l'Afrique, ils ne connaissaient pas grand-chose : « Nous avons découvert un continent exceptionnel. Nous avons des contacts merveilleux avec les habitants. Les Africains sont des gens adorables. Nous avons beaucoup de leçons à prendre d'eux. Nous avons traversé des paysages très variés. »

Révolution égyptienne
Et l'actualité dans tout ça ? Les Palois se sont donc retrouvés lors du tournage dans les prémices de la révolution égyptienne. Étant complètement déconnectés du monde extérieur, ils n'ont appris le changement en Tunisie qu'en discutant avec leur chauffeur au Caire. Ce dernier leur promettant la même issue pour son pays dans les jours suivants. Il ne se trompait pas.
Leurs meilleurs souvenirs furent de se retrouver devant les pyramides dès le début de l'aventure, ainsi que l'entraide avec leurs adversaires : « Lors de la première épreuve, nous avons dû préparer nos sacs à dos dans la précipitation et Jean-Pierre avait omis de prendre caleçons et chaussettes. Les autres équipes nous ont aidés » se souvient François.
SUD OUEST 20 AVRIL 2011

LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA SAISON 5
Pékin Express E1 : "Luc et Clémence vont aller loin"
Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5 : Frédéric et Jessica. S'ils ont échoué en demi-finale de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010, les deux Marseillais restent très attachés au programme de M6. Pour LaProvence.com, ils ont accepté de suivre le parcours de Clémence et Luc dans cette 7e saison et de commenter chaque semaine leur progression.

Jessica n'habite plus Marseille. Elle a repris ses études à Paris, tandis que Fred a gardé les commandes de son bar, près de la Timone. Après avoir relevé les défis de la saison 5, il "s'attache aujourd'hui à relever le challenge le plus difficile l'émission (lui) aura proposé : la reconquète du coeur de Jessica". Car les ex "amoureux du net" sont séparés. Mais restent unis par une aventure qui les a marqués à vie.

"Quand j'entends ce générique, j'en ai des palpitations, des frissons, voire un déchirement, parce qu'on est plus dans la course. Je ne suis que téléspectateur cette fois-ci... Mon enthousiasme se tranforme en admiration pour ces nouveaux concurents", confie Fred. "J'ai pleuré devant ma télé en voyant les larmes des nouveaux candidats", reconnaît Jessica, tout aussi émue au coup d'envoi de cette course à travers l'Afrique.
Lâchés en pleine forêt amazonienne au départ de leur périple en Amérique Latine, le couple qui a crée le buzz par ses empoignades poétiques a pu assister au "largage" en plein centre-ville du Caire des nouveaux candidats : "C'est rude, commente Jessica. Quel stress ils ont dû ressentir !". Et ce n'est que le début d'une épopée qui les conduira d'Egypte en Afrique du Sud, en passant par le Kenya, la Tanzanie et le Lesotho : "Un parcours superbe", s'enthousiasme Fred.
Concernant leurs "successeurs" dans l'aventure, le couple de retraités Luc et Clémence, difficile pour le moment de se faire un avis sur leur capacité à se hisser vers les sommets : "On ne les a pas trop vus lors de cette première étape, explique Jessica, mais selon moi c'est plutôt bon signe : ça veut dire qu'ils vont aller loin dans l'aventure". Le couple a selon la jeune femme toutes les cartes en main pour faire une belle aventure. "Ils me font penser à Solange et Hervé, les retraités de la saison dernière, mais en "made in Marseille", sourit-elle.

"Ils sont avant tout de véritables compétiteurs, impatients d'en découdre avec cette 'route des grands fauves', ajoute Frédéric. Ils dégagent de la sérénité. Clémence est pétillante, Luc a un gros tempérament. Mais attention aux baisses de moral ! Premiers de la première épreuve sportive, ils etaient bien placés pour se qualifier pour l'épreuve d'immunité, mais malchance et mauvaise orientation ont eu raison de leur classement. Résultat, ils arrivent 9es sur 10 au troisième jour de course et ils évitent de peu l'élimination. Ils ont eu très chaud ! Ils devront vite se ressaisir car la route sera longue..."

S'il est encore "un peu tôt" pour distinguer un favori dans ce programme, Jessica a déjà ses chouchous : "Noëlla et Damien m'ont fait rire. C'est un couple atypique. Même s'ils ont été éliminés hier soir, je pense qu'on sera amené à les revoir au cours des prochaines étapes... Le couple des jeunes mariés (Karim et Leïla) m'a plu aussi. Il l'a engueulée d'entrée de jeu, ça m'a fait penser à Fred et moi". Doit-on s'attendre à de nouvelles perles cette saison, comme le célèbre "Molière de mon cul !" de Jessica l'an dernier ?
Anthony Jammot LA PROVENCE 21 AVRIL 2011



LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA
Pékin Express E2 : "Les Marseillais ne sont pas encore entrés dans le jeu"
Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le parcours de leurs "successeurs", Clémence et Luc, dans cette 7e saison en Afrique, et de commenter chaque semaine leur progression.
Deuxième épisode et deuxième frayeur pour les Marseillais de l'aventure, Luc et Clémence. Le couple de retraité a une nouvelle fois frôlé l'élimination au terme du parcours égyptien, arrivant devant les seules Laëtitia et Dianéba : "J'ai eu très peur pour eux, raconte Jessica. Ils m'en ont donné mal au ventre. Ils l'ont encore échappé belle...". "Ils sont résignés, mais pas abattus", analyse Fred, qui place cette nouvelle contre-performance sous le signe d'une "orientation approximative" et d'une fâcheuse "panne de voiture".
Cette dernière étape avant l'Afrique noire a été éprouvante pour les deux aventuriers, tant physiquement que moralement : "On les a découverts, aux côtés de locaux, très touchés, remarque Frédéric. Ils ont partagé un moment fort et privilégié avec une vieille femme égyptienne vivant dans des conditions très précaires. 'Une vraie leçon de vie', comme l'a confié Clémence".

"Ils ont vécu leur première expérience à la fois très forte et très difficile, poursuit Jessica. Ils ont touché du doigt cette pauvreté extrême, comme nous avons pu la rencontrer l'an dernier à Quatros Esquinas en Equateur, mon pire souvenir. Nous étions rentrés dans une pièce avec des cochons d'Inde partout, puis dormi au milieu d'une douzaine d'enfants. Au niveau émotionnel, je me suis reconnue en Clémence quand elle s'est mise à pleurer. Ces conditions sont terribles".
Difficile dans de telles situations de rester concentré sur la compétition. Mais d'après Frédéric, c'est pourtant ce que les deux retraités vont devoir faire rapidement : "Toujours pas de qualification pour les épreuves d'immunité, pas de victoire d'étape, un bilan très mitigé à ce stade de la course... On ne les sent pas encore rentrés dans le jeu et leurs performances se font attendre, juge-t-il. On vous attend au Kenya avec plus de mordant".

Retrouvez jeudi prochain sur LaProvence.com une nouvelle chronique de Frédéric et Jessica
Anthony Jammot LA PROVENCE 28 AVRIL 2011


Qui aurait cru à ce duo : LE PARISIEN 4 MAI 2011


Pékin Express : "La prochaine étape, ils vont déguster"
Chaque semaine, Frédéric et Jessica (en médaillon) décryptent le parcours de Luc et Clémence, ici en train de courir avec une jeune Kenyane.

Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le parcours de leurs "successeurs", Clémence et Luc, dans cette 7e saison en Afrique, et de commenter chaque semaine leur progression.
Séparés, Frédéric et Jessica vivent cette nouvelle saison de Pékin Express chacun de leur côté. Fred, qui s'est lié d'amitié pour les deux nouveaux candidats marseillais. C'est donc de chez Luc et Clémence qu'il a suivi cette troisième étape de "La route des grands fauves" : "Leur maison se trouve au bout d'un sentier s'enfonçant dans une pinède du côté de la Treille. Quand je pousse la porte, la table est dressée divinement et un silence de cathédrale règne à l'intérieur : l'épisode de Pékin Express avait déjà commencé", raconte l'invité de la soirée.
"Pour cette première étape en Afrique noire, les voilà au Kenya. D'abord, un vote qui voit Laetitia et Dianeba réintégrer l'aventure, alors que la voix de Luc et Clémence allait contre elles. Puis l'apparition du drapeau noir, qui voit ses futurs détenteurs être relégués d'une place au général : l'angoisse se lit sur les visages des concurrents", se souvient celui qui avait "survécu" à ce défi l'an dernier.

"Nos retraités entament la course en se terminant en tête des différentes épreuves imposées jusqu'au jeu d'immunité, poursuit-il. Mais une mauvaise stratégie afin d'éviter le drapeau noir va les recaler à la 7e place. Heureusement, ils héritent finalement de deux amulettes (leurs premières) après l'élimination de Julie et Nathalie.... Comme quoi, le malheur des uns fait le bonheur des autres. Sur le point de partir, on s'échange un regard complice : leur qualification est un peu la mienne..."

Jessica, elle, a passé la soirée entre amis, à Paris où elle vit désormais. Pas le temps de regarder le programme en entier, mais suffisamment pour savourer la qualification des Marseillais : "Clém et Luc l'ont encore échappé de justesse, mais je suis contente qu'ils poursuivent, commente-t-elle. Les paysages vont devenir de plus en plus beaux et j'espère que la difficulté va s'accroître".
"Je suis ravie que les soeurs aient été repêchées, poursuit-elle. Si j'étais dans l'aventure, c'est ce que j'aurais fait. En revanche, je suis dégoûtée que la mère et la fille aient échoué, d'autant plus qu'elles avaient le dossard vert en guise de joker, mais qu'elles ont choisi de ne pas l'utiliser". La demi-finaliste 2010 se languit la quatrième étape, dont le teaser diffusé par M6 annonce son lot de surprises : "J'attends la semaine prochaine avec impatience car je sens qu'ils vont passer à table et déguster un repas plutôt... abject !"
LA PROVENCE 6 MAI 2011


Pierre et Isabelle : La vie de couple sans le sexe : TELE LOISIRS Mai 2011




LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA - 4e étape
Pékin Express : "Clémence et Luc sont des compétiteurs"

Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le parcours de leurs "successeurs", Clémence et Luc, dans cette 7e saison en Afrique, et de commenter chaque semaine leur progression.
Nos deux retraités ont-ils décidé de montrer les dents pour survivre dans l'aventure ? C'est ce qu'on aurait pu croire en voyant le couple de Marseillais resservir allègrement en pattes d'insectes et intestins d'animaux les demi-soeurs Laëtitia et Dianéba, celles-là mêmes qu'ils avaient choisi de ne pas repêcher lors de la 2e étape... Ou bien en voyant Luc se muer en ralentisseur-limite mauvais joueur, jusqu'à en faire pleurer cette dernière ?

Mais on ne la fait pas à Fred, qui a directement vécu le décalage entre le réel et la surprise du montage l'an dernier : "J'ai été indigné de voir comment les images font passer Luc et Clémence pour des gens peu scrupuleux alors que ce sont avant tout des compétiteurs", assure-t-il. Les deux Marseillais, qui n'ont toujours pas gagné d'étape, ont en effet décidé de se reprendre en main cette semaine. Pas de ballottage cette fois, mais une qualification presque tranquille pour la suite du voyage.
Pas de vilain acharnement de leur part donc, seulement l'expression de leur volonté d'aller au bout. Fred, qui apprend à les connaître depuis la fin du tournage de l'émission, partage au plus près leur périple, dans les mauvais moments comme dans les bons : "J'ai souffert avec eux pendant ce petit déjeuner très spécial qu'ils ont dû engloutir et durant ce trek au cœur du Massaï Mara sous 40 degrés (2h et demi pour nos retraités !). Enfin, j'ai été heureux de les voir vivre ce moment chez une famille massaï, dans une accueillante manyata, et se laisser aller aux coutumes locales (concours de jet de lance pour Luc et artisanat local pour Clémence)".

Mais les difficultés n'étaient pas terminés pour autant pour les doyens de la saison : "Quel frisson de revoir cette douloureuse épreuve des équipes remixés alors qu'un an auparavant, Jessica et moi en avions réchappé après un effort colossal de sa part dans ce désert d'Atacama au Chili et qui a forcé mon respect à jamais", se souvient Fred.
Et Jessica de poursuivre : "Si le safari est un grand moment magique pour tout le monde, que j'aurais tant aimé faire, le mix des équipes est l'une des parties les plus dures de Pékin Express. C'est terriblement angoissant et déstabilisant, Nous, nous avons eu la chance de ne pas subir cette épreuve... Cette année, tout le monde a joué le jeu et je dois dire que c'était très drôle".

La jeune aventurière de la 5e saison a trouvé en cette étape ses nouveaux poulains : "Denis m'a terriblement émue à ce moment-là, perdu sans son César, ça m'a fait beaucoup de peine. J'ai eu très peur qu'ils soient éliminés tous les deux, je me suis beaucoup attachés à ce binôme. J'aimerais que Luc et Clémence, mais aussi Denis et César aillent le plus loin possible, ce sont mes chouchous". Et de conclure, empreinte d'un joyeux sadisme qui respire le vécu : "Vivement la semaine prochaine, j'attends le handicap !"
Anthony Jammot LA PROVENCE 13 MAI


Laeticia et Dianeba dans LE PARISIEN //// Laurence et Albert de la saison dernière monte une assoc : Tele loisirs



LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA - 5E ÉTAPE
Pékin Express : "Pour l'instant, c'est plutôt Relax Express"
Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le parcours de leurs "successeurs", Clémence et Luc, dans cette 7e saison en Afrique, et de commenter chaque semaine leur progression.

Cette cinquième étape, la dernière au Kenya, Fred l'attendait avec impatience : "Parce qu'elle allait être animée par la balise infernale, que de souvenirs, sourit-il. Nous avions remporté l'épreuve avec brio l'an dernier avec Jessica, après une course effrénée". "Sauf que nous, c'était dans la journée, pas le matin, à la fraîche", souligne Jessica, pour donner un peu plus d'éclat à leur exploit.
Un exploit qui avait conduit les amoureux de l'époque à la mythique île de Paques : "C'était le plus beau des bonus, un moment inoubliable, tatoué sur notre peau pour toujours", se souvient Fred. "Des instants magiques", comme le confirme Jessica.

L'an dernier, les deux Marseillais n'avaient pas eu à embrasser des girafes pour obtenir leur récompense : "Et tant mieux, parce que c'est rigolo à voir, mais quand même dégueulasse", commente Jessica. Pourtant, c'est sûrement la seule épreuve de cette nouvelle aventure qui rebuterait la jeune femme : "Cette saison est moins sportive, regrette-t-elle. Ils n'ont pas encore eu de trek alors que nous, nous les avions enchaînés. Pour l'instant, c'est plutôt 'Relax Express'."
Mais il vaut peut-être mieux, finalement, que les difficultés se fassent attendre, tant les Marseillais de 2011 ont tiré la langue depuis le top départ : "Cette fois, Luc et Clémence sont arrivés deuxièmes et poursuivent leur route vers la Tanzanie", nuance Fred, qui continue à avoir "confiance en eux". Même s'il s'étonne que "la production ne s'attarde pas sur leur bonne prestation". "C'est sûrement parce qu'ils vont aller loin", rappelle Jessica.

Et que les retraités marseillais "survivront" donc au premier trek en Afrique, à 4000 mètres d'altitude sur le Kilimandjaro ? "J'ai un peu peur pour eux, car ils vont enfin goûter à la difficulté de Pékin Express, prévient Jessica. Le trek, c'est le dépassement de soi-même. Dans cette épreuve, il n'y a plus de favori, tout le monde sera en difficulté".
LA PROVENCE 22 MAI 2011


Les dangers dans Pékin express : le parisien 25 mai 2011



les Palois de Pékin Express goûtent à la célébrité
Les deux candidats palois de l'émission phare de M6 sont régulièrement arrêtés dans la rue. Une célébrité qu'ils apprécient parce qu'ils savent qu'elle sera éphémère.
Les deux commerçants font partie des favoris de la course. Ils reçoivent chaque jour des marques de sympathie.
"Je viens de Lille et quand je suis arrivée à Pau pour des vacances, je me suis dit que ça serait vraiment rigolo de rencontrer les deux candidats de Pékin Express », s'amuse Marie, 29 ans, en train de poser pour la « photo souvenir » avec Jean-Pierre Bouvée et François Genevet, croisés par hasard dans le quartier du château. « Avec ce cliché, c'est mon copain qui sera jaloux car il adore aussi ces deux candidats ! »
Depuis le début de l'émission de M6 le 20 avril dernier, regardée chaque mercredi par trois à quatre millions de téléspectateurs, les deux copains palois se sont habitués à être ainsi sollicités dans la rue ou dans leurs commerces du quartier Joffre. Ils prennent visiblement plaisir à raconter leur aventure aux curieux. « On ne va pas faire la gueule alors que les gens nous abordent gentiment. Et puis on sait très bien que tout cela est éphémère », confie François Genevet. Tous les jours, dix à quinze personnes, majoritairement des enfants franchissent la porte de son magasin d'huiles d'olive pour lui demander un autographe. « J'ai même une mamie qui m'a offert un éléphant en verre, en souvenir de notre photo qui nous a permis de remporter une épreuve lors d'une précédente émission au Kenya ».

« Une image très positive pour la Ville »
« Il m'arrive aussi de signer des autographes quand je vais aux Halles, à des matches de la Section Paloise, ou de l'Élan », témoigne Jean-Pierre Bouvée. « A chaque fois, on nous félicite car les Palois nous disent que l'on donne une image très positive de la ville. Et Je suppose que ceux qui ne nous aiment pas ne viennent pas nous voir ! » Les curieux hésitent en revanche un peu plus à franchir les portes de la boutique de ce décorateur d'intérieur de la rue de Foix. Son collègue, qui travaille face à la vitrine voit pourtant défiler bien des curieux. « Certains viennent quand il fait chaud et quand notre porte reste ouverte pour me demander de rencontrer le fameux candidat », s'amuse Samuel, architecte d'intérieur.

500 fans sur Facebook
Les deux amis enchaînent également les interviews pour les magazines télé et sont sollicités par les anciens de l'émission Pékin express pour participer à des soirées de solidarité en faveur d'associations caritatives. Ils répondent également aux nombreux messages de sympathie sur leur page Facebook consultée par quelque 500 fans et s'amusent des paris que leurs connaissances organisent sur le lieu de travail. Mais les deux compères essaient aussi de garder du temps pour leur famille qui ne les a pas vus durant cinq semaines. Chaque mercredi, ils tiennent à regarder l'émission en petit comité et la pimentent d'anecdotes pour leurs épouses et leurs enfants. « Ils sont tous très fiers de nous et nous disent de profiter de ce petit moment de gloire. Dans la cour de récréation, mon plus jeune fils joue même avec ses copains à des jeux dérivés de Pékin express », s'amuse Jean-Pierre Bouvée, papa d'Auguste, 10 ans, et d'Édouard, 16 ans.

Seul regret des deux Palois : avoir été catalogués par l'émission comme les « bourgeois décalés » alors qu'ils se seraient plutôt vus comme les « copains du Sud-Ouest décalés ». « Heureusement avec l'émission, on a pu prouver que l'habit ne fait pas le moine ».

Pour la septième étape, les candidats de Pékin express restent en Tanzanie. Ils devront, cette fois, rejoindre Dar es Salam
« Cette épreuve était peut-être la pire, très difficile pour les nerfs », assurent Jean-Pierre Bouvée et François Genevet. « On peut vous dire qu'il y aura de l'électricité dans l'air dans l'émission de mercredi soir et beaucoup de coups de gueule. Tout le monde était très fatigué et il a fait très chaud en Tanzanie. Même l'équipe qui filmait était épuisée », se souviennent les deux amis. « Mais il y a eu aussi des moments très drôles dans cette épreuve. »

Lors de la précédente émission, les Palois avaient fini quatrième et François Genevet avait failli craquer et jeter l'éponge. « Ce n'est pas un pays facile pour pratiquer l'auto-stop et on a eu bien du mal à prendre la route. Nous étions les derniers à être partis et, en plus, nous avons raté l'épreuve d'immunité malgré nos ampoules aux mains pour allumer un feu ! » Sous l'effet de la pression et de la fatigue, François avait alors décidé de ne plus bouger alors que la course devait s'achever. « Heureusement Jean-Pierre a fini par me raisonner. De toute façon, on a toujours crevé l'abcès quand cela n'allait pas. Mais je reconnais que je n'ai pas un caractère facile », sourit ce compétiteur dans l'âme.

Jean-Pierre Bouvée et François Genevet ont donc dû faire face à plusieurs déceptions dans cette dernière épreuve. Reste à savoir jusqu'où sont allés les deux amis pour l'émission. Il reste encore six étapes jusqu'en Afrique du Sud et les deux compères sont tenus au secret le plus complet par la production, qui tient à maintenir le suspense. Mais vu leur sourire quand on les tanne pour en savoir plus, il y a fort à parier qu'ils seront sur le petit écran pendant encore un bout de temps.
larepubliquedespyrenees 2 JUIN 2011 Par Bénédicte Mallet



LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA - 6e étape
Pékin Express : "Que c'est bon de les voir souffrir"
Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le parcours de leurs "successeurs", Clémence et Luc, dans cette 7e saison en Afrique, et de commenter chaque semaine leur progression.

Pour ce premier trek de l'aventure africaine, nos chroniqueurs ont sué avec les candidats dans l'ascension du Kilimandjaro. "Que c'est bon de les voir souffrir, quel moment intense !", savoure un Fred dont le sadisme n'a d'égal que les efforts fournis l'an dernier. "Je les ai vus souffrir et j'ai souffert avec eux, reconnaît elle-aussi la demi-finaliste 2010. L'altitude, ça joue sur l'organisme jusqu'à vous rendre fou. Moins on a d'oxygène, plus les efforts semblent considérables. Vous pouvez alors envie de "bombarder", de tout donner au départ de l'étape. Mais vous vous rendez vite compte que ce n'est pas possible..."


La jeune femme, qui avait enchaîné les randonnées épiques en Amérique du Sud, s'est revue un an en arrière, en Amérique Latine, quand la prise de hauteur avait bien failli avoir raison de sa détermination : "J'ai eu très mal à la tête, se souvient Jessica. Je me sentais tellement mal que le directeur de course m'avait même proposé d'abandonner. Heureusement, on était redescendu pour traverser le désert d'Atacama au Chili et j'ai tenu. Mais ça reste un très mauvais souvenir".

Fred, lui aussi, avait serré les dents. Mais il avait bravé une à une les étapes avec son amoureuse de l'époque jusqu'à l'Argentine. Séquence nostalgie pour le Marseillais : "Notre Kilimandjaro à nous, c'était le Chimborazo en Equateur, un monstre de 5 000 mètres qui semblait insurmontable. Mais on l'a fait. On s'était surpassé dans la douleur, on a dû chasser les doutes et vaincre les larmes, tellement l'effort avait été violent. La souffrance était indescriptible, mais j'avais puisé dans mes réserves dans les yeux de mon fils. Au sommet, je venais de réaliser que j'avais livré le plus dur des combats que la vie m'avait proposé..."

Admirative des performances qu'elle a pu observer mercredi soir, l'ancienne candidate marseillaise continue de saluer le courage de ces successeurs, comme Karim et Leïla - qui ont décidé de braver la montagne alors qu'ils avaient gagné de le droit de l'éviter - ou encore Denis et César, ces "chouchous", mal embarqués et finalement sauvés par l'enveloppe noire "non éliminatoire". Et de s'émouvoir des conditions souvent précaires de la Tanzanie : "Plus ils avancent dans l'aventure, plus la pauvreté est grande. On ne peut pas être préparé à ce contexte. Les habitants sont seuls avec leur galère. Quand on assiste à ça, ça donne vraiment envie de pleurer".
LA PROVENCE 24 MAI



LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA - 7e étape
Pékin Express : "L'étau se resserre pour Clémence et Luc"
Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le parcours de Clémence et Luc, dans cette 7e saison en Afrique, et de commenter chaque semaine leur progression.
Cette dernière étape en Tanzanie, dans laquelle les sept équipes encore en lice devaient parcourir 700 km en trois jours pour rallier Dar es Salam, Fred l'a vécue avec "beaucoup d'émotion" : "Le partage avec les autochtones a été très poignant et m'a rappelé les merveilleuses rencontres que nous avons faites avec Jessica, se remémore-t-il. Pékin Express, c'est avant tout des moments volés, des rencontres inattendues... Ces fous rires et ces larmes qui jalonnent notre parcours, ce sont des sentiments qui restent gravés dans le coeur".

"Quand je vois César, le grand sage, pleurer en rencontrant les tout jeunes Africains, je pleure moi aussi, reconnaît Jessica. Ce sont des moments profondément touchants, comme celui où Luc et Clémence se sont rendus dans l'école pour apprendre aux enfants à compter jusqu'à 10. Le lien qui se crée à ce moment-là est très fort, d'autant plus que les petits se sont montrés très intéressés et assidus".

Mal embarqué une nouvelle fois, le couple marseillais a profité de ces instants uniques pour s'imprégner au mieux de la culture et des coutumes locales. Des images qui ont titillé les souvenirs de Fred : "Quand ils ont donné leur cours de français, ça m'a tout de suite renvoyé à ce moment dans la ville de Calama où pour pouvoir dormir et manger, j'ai dû donner un cours de Ju-jitsu pour le plus grand bonheur des dizaines de combattants du village venus pour l'occasion. Inoubliable !"
Dans cette étape placée sous le signe de la sorcellerie où les équipes devaient apporter une poule devant un mage, les similitudes avec la saison dernière n'ont pas échappé à nos anciens candidats : "Cette épreuve, nous en avions souffert avec "notre" lama récalcitrant au Chili. Ce n'était pas évident d'attraper un animal sauvage, surtout quand le sort désigne le plus farouche, ça nous avait valu 10 minutes de pénalité avant le trek de 40 km dans le désert d'Atacama, "les boules" !". "J'aurais préféré cavaler après une poule, c'est moins lourd, sourit Jessica. Et de préciser : "Même si, avec la force de Fred, je n'ai pas eu d'efforts trop à faire...".

Alors qu'il ne reste que deux pays à traverser et six équipes en compétition (Pierre et Isabelle ont été éliminés), les demi-finalistes 2010 adressent un message à leurs successeurs : "Ils vont devoir se méfier de la prochaine étape, celle des multi-immunités, prévient Jessica. On joue sa place non plus sur le troisième jour de course mais dès le premier jeu. Nous, nous avions gagné notre sésame à la deuxième épreuve. Mais après, l'étau se resserre et la pression complique tout". "Attention Luc et Clémence, vous côtoyez trop souvent l'élimination, avertit Fred. Pour réussir le pari d'aller jusqu au bout, il faut hausser son niveau de jeu, chose que nos deux retraités ont du mal à faire. Mais ne soyons pas mauvaise langue, je reste convaincu qu'ils peuvent y arriver".
Anthony Jammot LA PROVENCE.COM



LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA - 8e étape
Pékin Express : "L'élimination, une blessure qui ne cicatrise jamais"
Fin de l'aventure pour Luc et Clémence, les retraités marseillais, tombés aux portes de l'Afrique du Sud. Un tandem qui va cruellement manquer à nos chroniqueurs...
Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le parcours des binômes de cette 7e saison en Afrique.
Après huit étapes et trois pays traversés, le parcours des retraités marseillais s'est stoppé à Zanzibar, en Tanzanie. "Cruelle élimination après l'erreur fatale de Luc, qui n'a pas vu le drapeau Pékin Express sur le bon marché et qui a voulu en rejoindre un autre. Ils ont vraiment perdu bêtement", commente Jessica, frustrée. "Ils ont vécu des dizaines de belles rencontres sur quelques milliers de kilomètres, tempère Fred. Et au bout du compte, on a découvert deux personnages haut en couleur".

"Lui, truculent, elle, pétillante et sensible, poursuit-il. Dans l'aventure, je les ai aimés. Lors de notre première rencontre, je les ai adoptés". "Luc a une répartie pas possible, sourit Jessica, elle aussi conquise. Clémence est d'une grande sensibilité. La voir craquer à la fin de leur étape, sur les vélos, ça m'a retournée. Ils n'ont pas volé leur beau parcours".
"Cette étape des multi-immunités est redoutable, analyse Jessica. Dès le départ, j'ai senti qu'ils allaient sortir. C'est très dur de repartir pour une épreuve quand tu viens de perdre la précédente et que la pression monte. Pourtant, ils avaient su diriger les ânes avec brio. C'est dommage car je les sentais au même niveau que les autres. Leur âge n'était pas un handicap, c'était même un atout lorsqu'il s'agissait de prendre du recul sur certaines situations".
"Leur élimination m'a renvoyé un an en arrière quand notre aventure s'était arrêtée aux portes de la finale, se souvient Fred. Je sais ce qu'ils ont dû ressentir lorsque Stéphane Rotenberg leur a demandé de lui remettre leur balise... A ce moment-là, je me suis senti triste de n'avoir pu amener Jessica en finale, et puis mes pensées se sont tournées vers mon fils Vici-enzo, qui ne verrait pas son papa victorieux de la saison 5".

"On vit l'élimination deux fois, poursuit l'ancien candidat marseillais. La première quand on vous l'annonce, la deuxième quand on se voit à la télévision. Personnellement, je l'ai vécue une nouvelle fois avec le départ de Luc et Clémence. Même si cette aventure reste incroyable, l'élimination dans Pékin est une blessure qui ne cicatrise jamais..."
Alors qu'il ne reste plus que cinq équipes en course, Jessica et Fred ont décidé de poursuivre leurs chroniques jusqu'à la fin de cette Route des grands fauves. "Ils vont manquer dans la suite de cette aventure, conclut Fred. Mon attention se porte maintenant sur Denis et César, nous verrons bien comment ils s'en sortiront malgré leurs différences". La jeune femme, elle, est sceptique quant aux chances des "inconnus que tout oppose" : "Je vois une demi-finale entre les frères belges, le couple Karim-Leïla, et Jean-Pierre et François. Les autres me semblent un ton en dessous".
Anthony Jammot LA PROVENCE.COM





LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA - 9E ÉTAPE
Pékin Express : "Sans amour, il n'y a pas d'horizon"

Fans de Pékin Express, vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en 2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le parcours des binômes de cette 7e saison en Afrique.

Ils auront vu l'Afrique du Sud. Pas longtemps, mais ils l'auront vue. Denis et César, chouchous de Jessica et de nombreux téléspectateurs, ont été éliminés au terme de la 9e étape de "La route des grands fauves". "Une épreuve vraiment sympa avec le jeu des équipes couplées, commente la jeune femme, même si je suis super triste de les voir partir".

Pour elle, "la complicité, la complémentarité et l'humour" du tandem était "tout simplement remarquable", même si elle s'attendait à les voir partir avant les demi-finales. "Ils m'ont fait à la fois rire et pleurer, confie-t-elle. Voir César se noyer et appeller son ami au secours la semaine dernière, c'était bouleversant. Et parfois, l'attachement de Denis à "son" César dépassait ce qu'on peut attendre d'une telle aventure : c'était presque devenu sa femme", s'amuse Jessica.

"Toutefois, les binômes Ludovic-Samuel , Karim-Leila et Jean-Pierre-François semblent plus taillés pour aller au bout", rappelle-t-elle. N'en déplaise à Ingrid et Nicolas, arrivés quatrièmes devant les malheureux "inconnus que tout oppose", le classement de la première étape sud-africaine confirme le pronostic de la demi-finaliste 2010. Qui n'a désormais plus de favori : "Maintenant, peu importe qui va partir, ce sera difficile ils sont tous très attachants".

De son côté, Fred aussi se régale à suivre cette 7e saison : "L'Afrique du sud et ses contrastes, j'en ai eu plein les yeux et les candidats nous ont livré de beaux duels, même si parfois la tension était à son paroxysme", analyse-t-il. A commencer par Denis et César, dont les prises de bec ont finalement été payées au prix fort...

"On en a vécu des coups de gueule violents avec Jessica durant des moments pénibles, se souvient-il. Mais ces colères souvent violentes et passagères n'étaient en fait que des cris du coeur, ce n'était pas la peur d être éliminés mais la peur de se désunir. On savait que le plus important était de rester soudés comme dans la vie, et notre amour l'emportait à chaque fois et nous remobilisait".

L'ex candidat marseillais insiste sur l'état d'esprit et les facultés mentales nécessaires pour aller jusqu'au bout de ce parcours éprouvant : "A ce moment-là du jeu, la pression monte d'un cran et on prend conscience de l'enjeu final, ça se précise et on commence à élaborer des stratégies un peu plus fines pour ne pas avoir de regret au moment de rendre sa balise".

"Jessica avait raison quand elle disait en début de chronique que Karim et Leila nous ressemblent dans la façon d'aborder Pékin Express, poursuit-il. J'arrive encore à ressentir ce soulagement que Karim éprouve à la fin de chaque étape quand il apprend son classement, je le sens protecteur envers sa femme comme je l'ai été envers Jess, j'en ai encore les larmes aux yeux tellement cette pression était lourde à supporter parfois".

Et de conclure, empreint de la nostalgie de l'aventure : "Pékin Express transforme un homme, c'est une vraie leçon d'humilité. Chaque épreuve passée auprès de Jessica m'a fait grandir un peu plus et m'a fait prendre conscience que sans amour, la route etait sans horizon".

L'horizon des quatre dernières équipes, lui, est tout tracé, à travers le Lesotho et l'Afrique du Sud, jusqu'au Cap de Bonne Espérance. "Il me tarde l'épisode de la semaine prochaine, quand les équipes se retrouveront seules, annonce Jessica. Je n'aimerais pas être à leur place : dans le teaser, on peut voir la détresse qu'ils ont de devoir avancer sans personne".

LaProvence.com Anthony Jammot

LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA - 10e étape

Pékin Express : "Quand le binome se désunit, c'est fini"

Fans de Pékin Express,
vous vous souvenez certainement du couple explosif de la saison 5, Frédéric et
Jessica, demi-finalistes de "La route du bout du monde", en Amérique du Sud en
2010. Pour LaProvence.com, les deux Marseillais ont accepté de suivre le
parcours des binômes de cette 7e saison en Afrique.



Les portes du Lesotho n'ont pas été faciles à ouvrir pour les trois équipes qui
y sont parvenues. "Larmes, cris et colères" ont jalonné un épisode où la
pression s'est faite ressentir comme jamais. Fredéric le conçoit : "Encore une
magnifique étape trés intéressante avec la dissolution des binômes pour la 1ère
fois dans l'aventure de Pékin Express, qui a rendu encore plus ardue la
qualification pour les demi-finales", analyse celui qui s'était hissé jusqu'à ce
stade de la compétition l'an dernier

 

 Bilan en demi-teinte pour «Pékin Express»

Les deux équipes qui s'affronteront dans «Pékin Express: la route des grands fauves» sont Jean-Pierre et François face aux frères belges Ludovic et Samuel. Une finale 100% masculine et sans concession. Les quatre hommes vont devoir donner tout ce qu'ils ont pour sortir des épreuves concoctées par la production: un saut en chute libre à 3000 mètres d'altitude, une chasse au trésor ou encore un numéro d'équilibriste avec des œufs d'autruches. Ces défis les mèneront du Cap de Bonne Espérance à la ville du Cap, en Afrique du Sud. Les vainqueurs empocheront 100'000 euros (122'000 francs suisses). «Pékin Express», mercredi 6 juillet sur M6, 20h45. De quoi leur redonner le sourire après leurs efforts. Mais tout le monde ne peut pas afficher de la satisfaction dans cette aventure. En premier lieu M6. Car cette année,«Pékin Express» n'a attiré en moyenne «que» 2, 5 millions de téléspectateurs, alors qu'ils étaient le double la saison dernière. Mais pas de quoi parler de flop comme l'a été «X-Factor» sur la même chaîne. M6 a déjà prévu de reprogrammer l'émission l'année prochaine. Les castings sont d'ailleurs déjà terminés. Tout n'est pas rose non plus pour les candidats. Karim et Leïla, les demi-finalistes, ont été insultés sur le Net. L'énervement de Karim lors de certaines épreuves lui a valu des commentaires laissant entendre qu'il maltraitait la jeune femme, laquelle a été qualifiée de «soumise». Les commentaires racistes à l'égard du couple ont également fusé.

20minutes 5 juillet, par Myriam Genier

 

 LA CHRONIQUE DE FREDERIC ET JESSICA - 11e étape

Pékin Express : "Karim et Leïla pourraient revenir et gagner"

 Pour Frédéric et Jessica, cette avant-dernière étape de la saison de Pékin Express avaient forcément une saveur particulière, un peu amère : "Je ressens très précisément les sentiments de Karim et Leila au moment où la sentence tombe, raconte Fred. Leur courage et leur vaillance étaient palpables, c'est un binôme très soudé qui part peut-être au plus mauvais moment. Mais c'est le jeu, même si c'est dur de l'accepter". Le Marseillais, nostalgique de son aventure sud-américaine, reconnaît qu'une demi-finale est toujours "très dure à aborder, la pression devenant extrêmement pesante à l'idée de monter sur la dernière marche" : "Ce n'est pas forcément la ténacité des candidats qui fait tout, le facteur chance y est pour beaucoup, regrette-t-il. Nous en avions fait les frais quand la police argentine nous a arrêtés, la fin était donc courue d'avance malgré notre départ très réussi. Echouer à la 3e place, ça fait mal. J'en garde toujours un goût amer au fond de moi, car je sais qu'on aurait pu gagner cette 5e saison, sans le moindre doute". Le retour de Karim et Leïla ? Karim et Leïla, dépassés par Jean-Pierre et François et Samuel et Ludovic au terme des épreuves du Lesotho, nourrissent-ils aujourd'hui les mêmes regrets ?

Les jeunes mariés ont naturellement accusé le coup au moment de rendre leur balise, symbole de la fin de leur périple. Mais selon Jessica, il n'est pas impossible qu'on les revoit mercredi, au cours de la grande finale en Afrique du Sud : "Karim et Leïla vont revenir, avance la jeune femme. Dans le teaser de la finale, on a pu voir que François s'est très sérieusement blessé à la jambe. Dans un tel cas, le règlement est clair : le binôme est éliminé par forfait". La malheureuse demi-finaliste 2010, qui atteste ne pas connaître l'issue du jeu, ne s'est encore jamais trompée lorsqu'il s'agissait de faire des pronostics sur cette "route des grands fauves". Depuis l'élimination de Luc et Clémence lors de la 8e étape, elle a prédit tous les départs un par un, et mise sur une vraie surprise en finale : "Je ne peux rien garantir, insiste-t-elle, mais j'ai le pressentiment que Karim et Leïla vont être réintégrés et qu'ils vont gagner. L'an dernier avec Fred, nous avons failli remplacer les soeurs après la blessure de Yousra. Mais je ne me serais vraiment pas vue reprendre la route dans ces conditions...". Ce coup-ci, Jessica préférerait assurément avoir tort : "Jean-Pierre et François contre Ludovic et Samuel, c'est la finale rêvée, affirme-t-elle. Je me suis encore plus attachée aux frères belges : ils sont drôles, sympas, ils ont bon fond, ils vivent l'aventure avec le sourire et c'est super agréable. Le contraste est grand avec la hargne affichée par Cécilia et Matthieu, les vainqueurs de l'an dernier. Même si j'aime beaucoup Jean-Pierre, les frères méritent de gagner". Rendez-vous mercredi soir pour voir si Jessica a de nouveau vu juste...

LaProvence.com Anthony JAMMOT