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Les interviews du présentateur & candidats de Pékin express 5 [MAJ 6/7]

Découvrez toutes les interviews dans la presse du présentateur de PEKIN EXPRESS 5 La route de l'extreme, donnée à l'occasion de la saison 2010 par Stéphane Rotemberg

Chloé LAVALY EN ITW
Même si vous avez été éliminée lors de la cinquième émission de la saison, vous avez dû regarder la finale de Pékin Express, sur M6, avec un oeil particulier...
Et comment. D'autant que j'étais à Clermont-l'Hérault, avec plusieurs autres candidats, pour la regarder. Dont bien sûr, Cécilia et Mathieu, les finalistes. Même si je connaissais évidemment le résultat, j'étais très heureuse de leur victoire. Ils ne sont pas comme l'émission les a montrés, ils sont très gentils. Cécilia est d'ailleurs devenue une très bonne amie, je vais régulièrement à Montpellier.

Vous n'avez pas eu quelques regrets, tout de même, de ne pas avoir été au bout de l'aventure ?
Si, bien sûr. J'étais très émue, je m'y voyais presque. J'aurais tellement aimé aller jusqu'au bout, voir toute l'Amérique du Sud. C'était même presque dur à regarder. Mais c'est comme ça (elle a été éliminée, parce que son équipière qu'elle ne connaissait pas, a abandonné, Ndlr). Cela reste une très belle aventure, avec de beaux souvenirs. Et puis, cela a amené un peu de popularité. Lors de cette soirée, nous n'avons pas arrêté de signer des autographes.

Et maintenant, vous avez des projets ? On parle d'un Pékin Express avec d'anciens candidats, comme TF1 l'a fait pour Koh Lanta...
Il n'y a rien de concret pour l'instant. Mais cela finira bien par arriver...
Recueilli par L. T. MIDI LIBRE


ITW de Youssra avant la finale au quotidien LA PROVENCE du 29/7



Yousra et Randa : « Nous sommes moins sages qu’à la télé »
Les deux sœurs du jeu d’aventure de M6 reviennent sur leur difficile parcours à travers l’Amérique du Sud. Confidences.
Trekking, vélo, canoë, on vous aura fait tout faire cette année…
Randa : Et plus ça va, pire c’est. A Buenos Aires, j’ai dû danser le tango, jouer au foot et guider des chiens les yeux bandés. Les gars qui imaginent les épreuves doivent franchement se marrer !
Yousra : D’ailleurs, je ne me suis pas gênée de dire à Stéphane Rottenberg que les équipes avec lesquelles ils travaillait étaient sadiques. Les épreuves sont tellement improbables que ça nous travaillait. Parfois, on passait nos soirées à essayer d’imaginer ce qui nous était réservé pour le lendemain.

Qu’est-ce qui est le plus dur dans Pékin Express ?
Y : Le moral qui fait du yoyo.
R : C’est à cause de la fatigue. Au bout d’un moment tu es vraiment à fleur de peau. Sinon, pour la nourriture, on a eu de la chance. Les familles avaient pitié de ma sœur ! [Rires]
Y : Ils trouvaient que j’étais trop mince. Du coup, on se faisait gaver et je pense que nous sommes les seules à avoir pris du poids pendant le voyage.

L’émission renvoie-t-elle une image fidèle de vous ?
R : Je pense, oui. En revanche, je trouve qu’on a l’air trop sages. Dans la vie, on est toutes les deux adeptes du deuxième degré et on n’est pas les dernières à faire des blagues.
Y : Sauf qu’avec la barrière de la langue, on n’osait pas trop s’aventurer sur ce terrain. On avait peur d’être blessantes ou que les gens pensent qu’on se moquait d’eux.

Qu’avez-vous appris l’une sur l’autre durant cette aventure ?
R : Derrière ses airs fragiles, Yousra m’a prouvé qu’elle pouvait être encore plus forte que je ne l’imaginais. Elle a su s’imposer quand c’était nécessaire. Heureusement, car en ce qui me concerne, je suis invariablement dans la négociation.
Y : Moi qui suis censée être plus sociable et spontannée, je me suis rendue compte que ma sœur se débrouillait encore mieux que moi dans les conditions extrêmes dans lesquelles nous étions. Il faut dire que quand on me chamboule mon quotidien, je suis un peu paumée.
J. B. TELE GRANDES CHAINES

Solange et Hervé - "Pékin Express nous a ouvert les yeux"
Propos recueillis par Gaëlle Guitard 18/05/10 à 10h30
Solange et Hervé sont les fringants sexagénaires de Pékin Express. Face aux jeunes aux dents longues, ils font preuve d’un bel esprit sportif et d’un grand fair-play. Dans la vie comme dans le jeu, c’est Solange la plus bavarde. Mais Hervé n’est pas en reste lorsqu’il s’agit d’évoquer leurs projets.
France-Soir Vous vous êtes inscrits pour montrer à vos petits-enfants que vous étiez encore vaillants ou pour vivre des choses extraordinaires ?
Solange Les deux ! On voulait surtout faire une cassure entre nos années de travail et la retraite et montrer à nos petits-enfants qu’à 60 ans on n’est pas foutus. Ils passent leur temps devant les ordinateurs… Ils ne sont pas sportifs comme nous.
F.-S. Que pensent-ils de vos performances alors ?
S. Ils sont épatés. Lorsqu’on a gagné l’immunité, ils nous ont sauté au cou, comme si on avait gagné le jeu !

F.-S. Comment vous êtes-vous préparés ?
S. On est déjà sportifs, mais on a doublé les doses. Vélo, piscine, canoë…

F.-S. Qu’est-ce que cette émission a changé dans votre vie ?
S. A Thoiry, malheureuse, on ne peut pas sortir ! On nous félicite même à Genève !

F.-S. Quels étaient vos rapports avec les autres binômes ?
S. Nous avons fait le jeu pour l’aventure, les jeunes sont là pour l’argent.
Hervé Ils ont pris des congés sans solde et ils n’ont pas beaucoup de sous… Ils veulent gagner, c’est normal.

F.-S. Que pensez-vous de l’attitude de Cécilia et Mathieu (le couple sportif), qui sont manipulateurs et peu fair-play ?
S. Le fait d’avoir le drapeau rouge (qui peut stopper les autres équipes, NDLR) les a peut-être excités… Ils ont fait de l’antijeu : ils voulaient voir Sabine et Stéphanie (la tante et sa nièce) arriver en dernier. Si on avait eu le drapeau avec Hervé, on aurait plutôt attendu ceux qu’on voulait voir gagner.

F.-S. Les autres équipes ont-elles changé d’attitude en voyant que vous étiez de sérieux concurrents ?
S. Les jeunes nous appelaient « papi-mamie » au début, puis « tonton-tata » et enfin « Hervé-Soso »… Ils se sont rendu compte qu’on n’était pas si vieux ! Et puis on a gagné une amulette. Certains nous ont peut-être protégés pour la récupérer.

F.-S. A ce stade du jeu, imaginez-vous remporter la victoire ?
S. Non. On pense juste à atteindre le pays suivant. Ushuaia reste une utopie…

F.-S. Solange on n’entend que vous devant les caméras. C’est aussi comme ça dans la vie quotidienne ?
S. Je suis plus expressive qu’Hervé, je commente tout. Quand je vois le glaçon à transporter à Chimborazo, je demande où est le pastis !
H. Dans les familles, on parlait autant l’un que l’autre.

F.-S. Qu’avez-vous trouvé de plus difficile ?
S. Demander à manger à des gens qui n’avaient rien. J’attendais qu’ils nous le proposent, sinon je me serais contentée d’un abri.
H. Le stop, ça me gonflait un peu.
S. Oui mais on était complémentaires : moi j’ai la tchatche, Hervé le physique (rire).

F.-S. Comment vous êtes-vous rencontrés ?
H. C’est une vieille histoire…
S. On se connaissait déjà quand on était mariés. Vingt ans après, on était divorcés. J’ai quitté Mazamet pour travailler en Suisse, non loin de Thoiry où vivait Hervé. On a commencé copain-copain, on a fini couchés-couchés (rire).

F.-S. Vous êtes-vous surpris pendant le jeu ?
H. Non on se connaît par cœur.
S. On savait qu’on ne s’engueulerait pas. Si l’un des deux était fatigué, l’autre prenait le relais.

F.-S. Allez-vous repartir bientôt en voyage ?
H. L’an prochain, on compte retourner en Amérique du Sud pour revoir les familles qui nous ont hébergés.
S. On aimerait bien faire un geste pour eux. Peut-être leur acheter une machine à laver car ça nous a manqué là-bas. Depuis notre retour en tout cas, on prend tout le monde en stop. Pékin Express nous a ouvert les yeux.

Anne-Marie et Chloé, en froid
Malgré leurs trente-quatre ans de différence, les deux inconnues de l’aventure avaient trouvé leur rythme de croisière et remporté plusieurs étapes. Mais la doyenne a craqué. Anne-Marie, démotivée, a abandonné la semaine dernière, au détour d’un chemin chilien, laissant sa camarade en plein désarroi. Depuis, elles ne se sont adressé la parole qu’une fois, par l’intermédiaire de Stéphane Rotenberg, comme on l’a vu dans Pékin Express, ça continue. « Son abandon, je l’ai encore en travers », a déclaré Chloé. Anne-Marie s’en veut d’avoir brisé le rêve de la jeune maman (de Ryan, 4 ans) et elle regrette aussi de ne pas avoir chevauché en Patagonie. Dommage…
G. G. FRANCE SOIR 18 MAI 2010

ITW 6 9 DE NRJ

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Par : Nico

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