News Koh Lanta le choc des héros
Et oui un seul car les sportifs ont une fois de plus échoué à l'épreuve d'immunité et se sont donc retrouvés au conseil; où chacun a donné un vote différent, Taig nouveau venu a décidé de voter contre Franck Leboeuf qui a lui même voté pour etre éliminé à cause de ses problèmes de dos. Le champion de foot qui était le plus sympa et drole des candidats arrete donc le jeu, la grande star qui a assuré quasiment toute la promo de l'émission n'ira donc pas plus loin et n'a donc pas gagné...
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ITW TV MAG Frank Leboeuf : « Dur pour tout le monde »
L'ancien footballeur a quitté Koh-Lanta : le choc des héros après quatre jours d'aventure
Après quelques jours seulement, Frank Leboeuf a quitté l'aventure de Koh-Lanta : le choc des héros. Touché au dos suite à un accident de la route, le champion du monde 98 de football a souffert durant cette épreuve hors du commun en Nouvelle-Calédonie. Il s'en explique pour TVMag.com. Entretien.
Frank Leboeuf, vous attendiez-vous à sortir aussi vite du jeu ?
Non, j'étais vraiment motivé pour aller jusqu'au bout. Mais des douleurs persistantes au dos m'ont obligé à quitter l'aventure. Il fallait l'accepter au nom du groupe et de l'équité sportive. Il ne s'agissait pas de ne penser qu'à soi mais de faire gagner notre équipe de sportifs. Comme j'étais blessé et que j'avais mal, il valait mieux que ce soit moi qui parte. J'avais mal au dos depuis le début, j'étais sûr de ne pas pouvoir être à 100%.
Est-ce que vous allez mieux aujourd'hui ?
Oui, mieux même s'il m'arrive encore de souffrir parfois. Sur cet accident, quelqu'un m'est rentré dedans par l'arrière alors que j'étais à l'arrêt à un feu rouge. Il est arrivé complètement bourré à 80 km/h et il m'a éjecté à plusieurs mètres de mon véhicule. J'ai eu du bol que personne n'arrive à l'intersection parce que j'aurais pu y passer. J'en garde des séquelles. Les douleurs ne sont pas quotidiennes mais parfois, elles reviennent.
Dès les premiers jours, on vous a vu beaucoup souffrir du manque d'alimentation...
Non pas spécialement, je prenais les choses au second degré. Bien sûr, nous en avons tous souffert mais j'ai un peu exagéré pour rigoler. C'était difficile pour tout le monde. Personne n'était habitué à rester une journée sans manger.
On a beaucoup parlé de vous cette semaine et de cette phrase confuse lâchée à la radio. Est-ce que c'était pour semer le trouble avec humour ?
Pas du tout, j'ai simplement dit que ça allait être difficile de gagner face à des mecs de 25 ans. Je n'ai jamais dit que j'avais gagné Koh-Lanta, je ne suis pas stupide. Ce n'était ni une vérité, ni un trait d'humour. Ca me fait bien rire de voir tous ces médias dire que j'ai gaffé alors qu'aujourd'hui, je suis sorti du jeu. On se permet de faire du buzz avec une radio de merde qui a balancé cette phrase. Ce qui est malheureux, c'est qu'elle a piégé tout le monde.
Comment est-ce que vous vous étiez préparé pour participer à Koh-Lanta ?
J'ai fait beaucoup de sport. Je ne suis plus sportif de haut niveau mais je fais attention à mon corps. J'avais pris deux kilos en plus. Mon seul problème, c'est que j'ai eu cet accident de voiture un mois et demi avant mon départ. Je pensais que j'étais rétabli après avoir eu les traitements nécessaires. Ca allait beaucoup mieux en partant mais dès le premier jeu, on s'est un peu labouré le dos avec Jamel en aidant Betty à escalader les palissades. Comme nous n'étions pas suffisamment chauds, j'ai morflé dès le premier jour. Ca n'a fait qu'empirer par la suite.
Est-ce que vous vous attendiez à ce que ce soit aussi difficile ?
On sait que l'on va souffrir mais on ne mesure pas l'amoncellement de difficultés. Il faut vraiment le vivre pour le comprendre. Le manque de sommeil n'était pas très grave. Le manque de nourriture a dû s'arranger après mon départ puisque nous venions d'avoir le feu.
Vous avez déclaré avoir été gêné par la présence des cameramen...
Ce n'est pas évident à gérer parce que sans caméra, vous allez être libéré et ne plus trop faire attention à ce que vous dites. Avec les caméras, on fait davantage attention forcément. J'étais parti avec l'idée de me retrouver face à la nature sans trace de modernité. Mais ils étaient là et il fallait bien puisque c'est une émission télé.
Comment s'est passée l'entente avec les autres candidats de votre équipe ?
Super bien, je ne les connaissais pas forcément tous bien. On avait la possibilité de parler et d'être écouté par tout le monde. Chacun avait le droit de s'exprimer même si nous n'étions pas tous d'accord sur la façon de faire. Les discussions étaient intéressantes.
TV MAG par Damien Mercereau
ITW TELE LOISIRS
Frank Leboeuf en avait plein le dos(08/04/2010)
L’ancien champion du monde de foot avait les nerfs assez solides, et l’esprit adéquat. “C’est le dos, qui m’a lâché…”
BRUXELLES A priori, Frank Leboeuf partait avec une longueur d’avance. Un champion du monde (1998) et d’Europe (2000) de foot sur Koh-Lanta devrait dribbler les épreuves avec la même aisance que Grégoire allumant un feu ou Freddy construisant une cabane. Pourtant, le footeux, reconverti dans la comédie (il est en ce moment au théâtre avec L’intrus , où il “s’éclate tous les soirs” ), a quitté la Nouvelle-Calédonie après seulement deux émissions. Voici pourquoi.
Déçu d’être parti si vite ?
“Forcément déçu, mais c’est le jeu. J’aurais adoré rester plus longtemps, mais j’accepte. Puis, je n’ai tenu que cinq jours, mais c’était les cinq jours les plus durs : deux éliminés, pas de feu, rien à manger. Le reste de l’aventure pour les sportifs, ce sera de la tarte ! (Rires)”
Au moins, votre intégrité est rétablie : vous n’avez pas vendu la mèche comme le buzz tendait à le laisser croire…
“Quel buzz ? Il n’y a pas de buzz ! Juste le manque d’honnêteté d’une petite radio où je regrette d’être passé, et qui a laissé croire que j’avais gaffé. Ce que je déclarais, c’est simplement que c’était dur pour un mec de 40 balais de gagner contre des gars de 25 ans. Ce que j’ai dit, c’est que je ne me suis jamais cru porter la coupe avant d’avoir joué le match. Point barre ! Puis, franchement, pourquoi j’aurais lâché une telle bombe si je savais que trois jours plus tard, j’étais dehors ? C’est absurde…”
N’empêche qu’on pensait qu’un champion du monde ferait plus long feu que ça…
“Je suis parti suite à une décision collégiale. On s’était mis d’accord, avant le conseil. J’avais vraiment très mal au dos. Un bon mois avant l’émission, un mec bourré m’avait percuté, en voiture, à 80 à l’heure. Verdict : sinistre total et traumatisme crânien. Ainsi que, également, douleurs dorsales. Qui se sont réveillées pendant l’aventure, après avoir porté du bois avec Djamel et Gwendal… C’est devenu intenable, voilà pourquoi j’ai préféré stopper. La santé, c’est sacré.”
Vous n’auriez pas pu continuer ? Un footballeur joue parfois sous infiltration, quand il souffre…
“Pas moi. Jamais de ma vie je n’ai reçu d’infiltration. C’est de la drogue, rien de moins. J’ai toujours pris soin de mon corps et, à 42 ans, je ne vais pas changer…”
Qu’est-ce qui vous a attiré, dans Koh-Lanta ?
“Des retrouvailles avec la nature. J’étais venu chercher l’aventure. Sur ce plan, tant physiquement qu’humainement, j’ai été servi. Par contre, côté bouffe, j’ai cherché, mais j’ai rien trouvé !”
C’était la faim le pire ennemi ?
“Complètement. J’ai eu beaucoup de mal. Les crustacés crus, je vous jure que c’est immonde.”
C’est utile, le passif de champion de foot, sur Koh-Lanta ?
“Absolument… pas. On n’a pas joué au ballon, là-bas !”
Qui va gagner ?
“Difficile à dire. Surtout que là, comme je suis sur scène les soirs d’émission, j’ai très peu l’occasion de la suivre. J’espère que mes potes sportifs vont relever la tête. Sinon, je suis admiratif d’un mec comme Grégoire. Il a la classe du vainqueur.”
Interview > Alexis Carantonis © La Dernière Heure 2010
Frank Leboeuf à TV GRANDES CHAINES : "Denis Brogniart m'a presque fait pleurer"
Le footballeur champion du monde est un des héros de cette édition très spéciale. Rencontre.
Comment vous êtes-vous retrouvé dans cette aventure ?
Suite à une proposition de la production. J’ai tout de suite été ok sur le principe car j’aime bien l’émission, mais il y a eu bien sûr des tractations… Je crois qu’ils voulaient absolument un Bleu de 1998. J’ai suivi le programme en France mais j’ai également vu la version américaine puisque je vis à Los Angeles depuis quatre ans. Koh-Lanta est un jeu de télé-réalité d’un autre genre. Je trouvais intéressant de partir sur une île déserte sans ordinateur ni télé et retrouver une certaine pureté d’esprit.
Pensiez-vous avoir droit à un traitement de faveur ?
Pas du tout, au contraire : je m’attendais à être plus mal traité que les autres. Voire souffrir un champion, voilà ce qui peut être marrant pour le téléspectateur. Alors je m’attendais à tout sauf à un traitement de faveur. Et j’ai été servi ! Participer à Koh-Lanta, c’est pire qu’être un survivant parce qu’il y a des interdits. Un jour, j’ai vu passer un bateau de touristes. Je les ai appelés, je salivais déjà à l’idée qu’ils puissent nous donner un peu de nourriture, mais lorsqu’ils se sont approchés du rivage, l’équipe de production les a virés !
La production a-t-elle été trop intransigeante selon vous ?
C’est le jeu. Mais un jour, Denis Brogniart m’a presque fait pleurer. J’avais déplacé tout le campement 100 mètres plus loin avec l’aide de Djamel car on avait envie de s’installer ailleurs. On a tout porté sur le sable alors qu’on était fatigués et qu’on n’avait rien dans le ventre. Lorsqu’on a eu fini, Denis est arrivé et nous a demandé de redéplacer le campement à son endroit d’origine. Il a évoqué de l’herbe sèche, du vent, et il craignait qu’on mette le feu. J’ai eu les larmes aux yeux. Je n’ai rien dit, je me suis exécuté, mais j’avais vraiment les boules !
Qu’est-ce qui a été le plus difficile à gérer pour vous ?
Le manque de nourriture. Il faut dire que d’habitude, dès le réveil, c’est petit café et croissant. Là, rien de chez rien ! Même les quelques fruits que nous avons trouvés étaient empoisonnés !
On vous voit souffrir physiquement… Les entraînements de l’équipe de France étaient-ils aussi durs ?
C’était bien pire, surtout lorsqu’on était en préparation d’avant saison avec nos clubs. Il m’est arrivé de courir, de vomir et de continuer à courir. Pour arriver à 5 % de matière grasse dans le corps, il faut pousser au maximum ! Ce jeu n’a rien à voir avec mon passé de sportif. J’ai certes beaucoup souffert en Nouvelle-Calédonie, mais j’ai arrêté ma carrière il y a cinq ans. Et même si je me maintiens en forme, je ne suis plus au même niveau, c’est la loi de la nature. On a quand même pu montrer sur une épreuve qu’en tant que sportifs, on avait le mental et la puissance et qu’on pouvait ratatiner les anciens candidats. Eux avaient l’avantage de connaître les épreuves.
Comment vous êtes-vous préparé pour ce jeu ?
J’ai pris 3 kilos, histoire de faire des réserves et j’ai fait fait mes séances de musculation et de tennis habituelles par semaine. Jusqu’à ce que j’ai eu un accident de voiture, un mois et demi avant le début du tournage. Un conducteur ivre m’a percuté à 80 km/h alors que j’étais arrêté à un feu rouge. J’ai échappé à la mort, mais j’ai eu des séquelles, notamment des maux de tête et des douleurs au dos et à l’épaule. Ce qui m’a pas mal fait souffrir pendant le jeu.
Qu’est-ce qui vous a aidé dans cette aventure ?
Le fait d’avoir pratiqué un sport collectif et donc d’accepter les autres, en partageant des belles choses et des moments plus durs comme une défaite. La plupart de mes coéquipiers avaient fait un sport individuel et ne connaissaient donc pas le fait de perdre à plusieurs. C’était amusant de voir leur réaction car ils essayaient tout de suite de pointer le coupable.
Vous êtes un peu le rigolo de la bande, vous l’êtes aussi dans la vie ?
Oui, j’ai toujours essayé de prendre la vie comme une fête. Je ne me suis jamais considéré comme une star, je ne sais même pas ce que ça veut dire. J’ai pratiqué mon sport avec la plus grande honnêteté possible et j’ai atteint des sommets que je n’aurais jamais imaginé atteindre, peut-être parce que je croyais en moi.
Si c’était à refaire, vous repartiriez ?
Non. C’était super et on sort toujours changé d’une telle expérience. Mais les caméras et les micros, qui étaient vraiment trop près de nous, m’ont gêné pour profiter pleinement de mon aventure. J’aurais aimé que tout ça soit planqué dans les arbres. Il fallait même demander pardon aux cameramen pour passer dans certains chemins ! Et puis on les voyait s’arrêter de travailler pour aller manger et revenir… ça fait chier !
Vous allez bientôt monter sur les planches parisiennes. Koh-Lanta, c’est un bon coup de pub finalement ?
Ce n’était pas prévu comme ça… La pièce – L’intrus, une comédie policière au théâtre du Temple – devait démarrer en février. Elle a été retardée et la diffusion de l’émission a, elle, été avancée. Je serai donc sur scène dès le 23 mars et je ne pourrai pas voir les épisodes de Koh-Lanta. J’espère juste que je ne passerai pas trop pour un con…
K.L. http://www.tv-grandes-chaines.fr
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |