News Pékin Express



Finalistes de Pékin Express, les deux tourtereaux originaires du sud-ouest répondent à nos questions … entre deux bisous !
Pensiez-vous figurer parmi les finalistes du jeu ?
Albert : Pas une seconde ! Ce qui nous attirait dans Pékin Express, c’était de partir à l’aventure. Mais comme on n’avait jamais vraiment voyagé ensemble, on ne savait pas si on allait être performants.
Laurence : Je n’étais vraiment pas sûre de moi. A vrai dire, j’appréhendais beaucoup. Surtout en ce qui concerne l’anglais. Mais cela ne nous a pas porté préjudice.
Vous étiez bien au-dessus du lot physiquement. N’avez-vous jamais craint que votre corps ne lâche ?
A. : Non, parce qu’on n’avait même pas le temps de se poser la question. Pendant la course, on était comme dans un état second et on ne ressentait pas la fatigue. De toute façon, Pékin Express, c’est seulement 10% de physique, 30% de tactique et 60% de mental. Et avec Laurence, on avait un moral d’enfer !
L. : Rien ne pouvait nous arrêter, même si j’avoue que j’ai eu peur lorsque Albert s’est entaillé la main avec une machette.
Comment gérez-vous votre soudaine notoriété ?
A : Très bien. Nous recevons beaucoup de témoignages de sympathie sur internet et dans la rue. Et pas que chez nous ! Même en vacances en Espagne, des Français nous ont reconnus et nous ont félicité.
L : Je ne pensais pas que tout cela prendrait autant d’ampleur. À certains moments, on ne peut plus faire un pas sans être apostrophé. C’est sympa, en parlant de notre périple, on a l’impression de revivre Pékin Express.
Une devise pour définir votre équipe ?
A. : Jamais l’un sans l’autre !
L. : Ça me va parfaitement !
TELE GRANDES CHAINES


Originaires de l’Aude, Laurence et Albert voyageaient pour la première fois. Une expérience enrichissante pour ce couple fusionnel qui envisage déjà de reprendre le sac à dos.
FRANCE-SOIR. Quelles étaient vos motivations pour participer à Pékin Express ?
LAURENCE. Avec Albert, nous sommes tombés sous le charme de l’émission l’année dernière. Tout nous plaisait dans le jeu : les rencontres, l’aspect sportif… Et c’était surtout l’occasion pour nous de voyager. Nous en avions toujours eu envie sans en avoir l’opportunité.
Pourquoi avoir choisi Albert comme partenaire ?
Nous avons pris la décision tous les deux. Je ne voyais personne d’autre que lui pour partager cette aventure.
Quelles étaient vos craintes ?
Nous n’en avions aucune l’un par rapport à l’autre. Avant le départ, je me suis demandé si je serai à la hauteur. J’avais peur de décevoir Albert.
Quels sont vos défauts et qualités respectifs ?
Je m’emporte rapidement, mais c’est ce qui me fait avancer. Albert, lui, est tenace et fort physiquement. La qualité de notre couple, c’est l’amour que l’on se porte l’un à l’autre.
Avez-vous découvert une facette de sa personnalité ?
Non. Nous entretenons une relation fusionnelle depuis cinq ans. Nous nous connaissons donc parfaitement.
Quel est votre souvenir le plus marquant ?
Globalement, toutes les rencontres avec les locaux qui nous ont accueillis chez eux tous les soirs. Malgré la barrière de la langue, nous avons entretenu des relations très fortes par des gestes et des regards avec ces familles. L’émission nous a donné envie de voyager. Nous avons prévu de refaire la route du jeu en rendant visite aux mêmes personnes.
Avez-vous eu une grosse frayeur ?
A Bangkok, nous étions persuadés être les derniers. Nous avons perdu pied dans cette grande ville, nous qui sommes habitués à la campagne. On se voyait déjà rentrer en France.
Si vous pouviez revenir en arrière, que changeriez-vous ?
J’essaierais de me contrôler plus et de moins m’énerver contre Albert. Mais dans le jeu, je trouve que nous n’avons pas été mauvais.
La présence de la caméra vous a-t-elle gênés ?
Nous l’avons très vite oubliée. Elle fait partie du binôme. Quand nous demandions une voiture, c’était toujours pour trois.
A quoi devriez-vous votre victoire ?
A notre rage. A la fin, nous avions 80.000 euros d’amulettes autour du cou. Avec nos soucis financiers, nous n’avions pas le droit de lâcher. Et nous sommes restés nous-mêmes pendant tout le jeu.
Et votre échec ?
A des détails. L’épreuve finale est très rapide. Il suffit de ne pas trouver le bon véhicule.
Edition France Soir du vendredi 10 juillet 2009



Dans Pékin Express, Caroline pense que : “L’émission ne reflète pas vraiment notre aventure” / M6
Caroline a failli renoncer à participer à Pékin Express. Elle se retrouve pourtant en finale avec Jean-Luc, qu’elle ne connaissait pas avant l’aventure.
FRANCE-SOIR. Quelles étaient vos motivations pour participer à Pékin Express ?
CAROLINE. J’avais suivi l’émission l’année dernière, je l’avais trouvé géniale. Je me suis inscrite pour cette saison avec ma meilleure amie, mais sa candidature n’a pas été retenue. Au début, je ne voulais pas y aller sans elle. La production a insisté, me disant que je faisais partie de la dream team.
Quand avez-vous rencontré Jean-Luc ?
Jusqu’au dernier moment, je ne connaissais pas mon coéquipier. Je ne savais pas si ce serait un garçon ou une fille… Ce qui m’a valu un moment de panique avant de partir. Je n’ai rencontré Jean-Luc qu’au Vietnam.
Quels sont vos défauts et qualités respectifs ?
Son côté fonceur a été tempéré par mon caractère réfléchi. Sa spontanéité nous a énormément servis.
Quel est votre souvenir le plus marquant ?
Aucune journée ne se ressemble. J’ai des tas de souvenirs ! Lorsque l’on a retiré nos bandeaux le jour de notre arrivée et que Stéphane Rotenberg nous a dévoilé le parcours, ça a été un choc. Et il y a des départs plus spectaculaires que d’autres, comme à Bangkok, du haut d’un immense building.
Avez-vous eu une grosse frayeur ?
Plusieurs. La plus belle lors de la finale avec les dragons de Komodo. J’étais tellement occupée à les regarder que j’ai failli marcher sur un serpent bien plus dangereux !
Si vous pouviez revenir en arrière, que changeriez-vous ?
Nous avons vécu des moments très positifs mais ils ne sont pas montrés dans l’émission. Je comprends qu’il est plus intéressant de montrer les clashes, mais l’émission ne reflète pas vraiment notre aventure.
La présence des caméras a-t-elle été un handicap ?
On y a fait attention les dix premières minutes. Ensuite, nous étions tellement concentrés que la production était parfois obligée de nous rappeler de ne pas aller trop vite pour que le cameraman puisse nous suivre.
A quoi devriez-vous votre victoire ?
A notre performance, notre réflexion et surtout une belle part de chance.
Et votre échec ?
Je ne connaissais pas Jean-Luc, nous n’avions donc pas la complicité des autres binômes. C’est un handicap supplémentaire. Nous avons gardé contact depuis. C’est la personne le plus à même de comprendre ce que j’ai vécu.
FRANCE SOIR 10 JUILLET Lisa Gougué

Ils sont finalistes ce vendredi de l'émission Pékin Express sur M6. Ferrals et le Lézignanais sont mobilisés et espèrent la victoire.
De loin, Laurence et Albert sont les plus «sportifs» des candidats engagés.Heureux. Laurence et Albert sont heureux. Ravis de l'aventure qu'ils viennent de vivre, dans le cadre de « Pékin express », l'émission de M6 dont la finale sera diffusée vendredi soir. Et vendredi soir, Ferrals le village où travaille Laurence organise comme ces trois derniers vendredis, une projection en direct de l'émission sur grand écran. Celle-ci aura lieu dans la salle de cinéma et pourra accueillir 120 personnes. « Nous avons quel que soit le résultat, prévu de boire la blanquette » explique Gérard Barthès le maire de Ferrals. La municipalité organisera par la suite une réception officielle des « finalistes ». Mais avant même que l'on ne sache si Albert et Laurence ne sont « que » finalistes ou alors grands vainqueurs de cette aventure, le couple audois candidat ne peut s'empêcher d'exprimer tout le bonheur qu'il a eu à participer à cette émission : « C'est vrai qu'on avait peur de l'image donnée à la télévision. Mais finalement, nous sommes super contents du rendu, et aussi des conséquences. Nous qui aimons le contact avec les autres, nous sommes abordés par plein de gens, qui discutent d'abord du jeu, puis du boulot et de bien d'autres choses. Et puis cela nous permet aussi de faire passer des messages. On va lancer une association bientôt ; récolter des vêtements pour les gamins du Laos. L'émission a été une ouverture pour plein de choses » ajoute Albert.
Laurence, quant à elle, est sur la même longueur d'onde qu'Albert : « On a vécu sereinement tous les deux. On est partis, et puis la tension est montée au fil de l'émission. C'est le jeu. Mais même dans les situations difficiles, on a su rester forts ensemble. On a surmonté ensemble les difficultés. » Pour Laurence aussi, plein de souvenirs se bousculent dans la tête : « il y a eu beaucoup de côtés très forts. Toutes ces familles, parfois très pauvres qui nous ont accueillis. Avec parfois des moments très brefs que je garde en mémoire, mais très intenses. Une image en particulier ? Celle où on se quitte à la quatrième étape au Cambodge, avec cette famille qui parlait anglais. Celle de cette vieille mamie qui a dormi à côté de nous ».
Des émotions fortes, donc pour le couple de candidats, qui a noté bien des adresses des personnes rencontrées : « On a l'intention de refaire le voyage »
Et aussi bien Laurence qu'Albert, le ressenti est le même : « il y a eu de gros moments de fatigue, mais au final, on n'en retire que du positif. Nous sommes vraiment enchantés de tout ».
Désormais le compte à rebours est parti, avant le grand moment de vendredi soir, sur M6, qui offrira peut-être aux candidats des Corbières une victoire méritée.
LA DEPECHE 9 JUILLET







Après avoir passé deux jours de repos dans un palace a Phuket Marcelle et Nicole reprennent la course. plus déterminées , que jamais Marcelle fait le point...
À ce stade du jeu. comment vous sentez-vous?
On est plus déterminées que jamais, On est aux trois quart de l'aventure et on commence à espérer atteindre ligne d'arrivée.
Si vous êtes en forme, c'est que vous venez de passer deux jours de rêve à Phuket ! C'était comment?
Assez perturbant au départ, Après avoir tant galéré et croisés des gens au mode de vie tout simple, on ne s'attendait pas a se retrouver dans un palace de 200m² avec tout le confort qui va avec ! Mais bon on s'est bien détendues ! On n'allait quand même pas cracher dans la soupe...
Avez-vous culpabilisé par rapport aux autres?
Bien sur on les imaginés à courir en plein Bangkok alors que nous étions en train de nous faire masser. Mais c'est le jeu et on a repris la course plus en forme que jamais !
Vous êtes restées en contact avec d'autres candidats du jeu ?
Oui avec quasiment tous, mais nous sommes surtout très proches de Hocine et Sébastien. Nous avons même fait un don de 1500€ à leur association, Apache. D'ailleurs on espère pouvoir leur donner encore quelques coups de mains financiers à l'avenir...
En démarrant le jeu, pensiez-vous aller aussi loin?
On espérait sans jamais le formuler ! Même si l'aventure devait s'arrêter ce soir on aurait déjà gagner en expériences et rencontres



Pour eux le montage est exclusivement forcé sur leurs clashs alors qu'il n'y a pas eu que cela entre eux loin de là même... Il évoque au passage l'exclu que nous vous annoncions mi mai et dont nous étions les seuls à vous le dire, son travail au festival de Cannes... (Reportage ici)

Une interview exclusive tvmag.com

Elle y évoque ce qui l'a poussé à faire l'aventure, ses relations avec Jean Luc et son parcours...


Pékin Express - Albert : “Anthony est quelqu’un de très mégalo” / M6
Le candidat sportif de l’émission revient sur son aventure et sur son altercation avec Anthony, un autre concurrent, survenue au moment du mélange des équipes. Ambiance.
Albert et Laurence attendaient avec impatience l’épreuve du trek dans la jungle. Pourtant, Albert va avoir recours à l’assistance médicale. Un handicap qui pourrait bien mettre en danger le couple sportif de l’émission.
FRANCE-SOIR. Vous doutiez-vous que l’aventure serait si éprouvante ?
ALBERT. Je me doutais que ça serait dur physiquement, mais je ne pensais pas être victime d’un accident. On attendait le trek depuis un moment avec Laurence. Etant les plus sportifs de l’émission, on était plutôt confiant. Malheureusement, je me suis ouvert la main avec une machette. J’ai fait tout le trek anémié et déshydraté. Laurence craignait que je fasse un malaise.
Pourtant, votre blessure ne vous a pas empêché d’avancer…
Pendant de telles épreuves, on oublie totalement la fatigue. J’aurais été déçu de ne pas arriver dans les premiers.
Comment vous êtes-vous préparé à Pékin Express ?
Avec Laurence, on fait déjà du sport trois à quatre fois par semaine, il n’y avait donc pas de raison que l’on s’entraîne davantage. Et puis on a su au dernier moment que l’on allait participer à l’émission. On n’a donc pas eu le temps de mettre en place une stratégie particulière. On est partis à l’intuition !
Quelle a été votre principale faiblesse sur l’aventure ?
Le manque de confiance en soi. Dans la vie de tous les jours, nous ne sommes pas des gens culottés. Lorsqu’il a fallu faire du stop, ça a été un peu compliqué. Laurence a mis du temps à s’investir. Quand elle s’est rendu compte qu’elle pouvait prendre des initiatives, elle a eu un déclic. On ne pouvait plus l’arrêter.
Qu’est-ce que Pékin Express a changé dans votre vie ?
Cette aventure nous a bouleversés humainement. Elle nous a donné envie de faire de l’humanitaire et de créer une association. Sur place, on a demandé aux habitants ce dont ils avaient besoin. On va leur envoyer un colis de vêtements. On va profiter des retombées de Pékin Express pour demander de l’aide autour de nous.
Auriez-vous pu participer à Koh-Lanta ?
Non, même si je suis assez friand du concept. L’avantage de Pékin Express, c’est que l’on peut partager cette aventure avec une autre personne. Pékin Express, c’est un peu notre voyage de noces à Laurence et à moi. C’est ce que l’on a toujours voulu faire. Je n’aurais jamais pu partir quarante jours sans elle. Et puis je ne suis pas en recherche de reconnaissance télévisuelle !
Pourtant les caméras sont bien présentes…
C’est vrai. Et si certains ont pu en jouer, avec Laurence on les a oubliées dès le premier jour. On était concentrés sur le jeu. Les gens qui nous connaissent nous ont trouvés 100 % naturels.
Vous êtes d’un tempérament plutôt calme. Pourtant, lors du mélange des équipes, vous vous êtes emporté contre Anthony…
C’est vrai. Contrairement à ce que certains ont pu croire, je ne voulais pas le frapper, juste lui faire peur. Anthony fait beaucoup de cinéma. Il a une conception particulière du jeu. Dès le premier jour, il lui tardait que les équipes soient mixées pour faire perdre un de ses concurrents. J’ai trouvé ça nul. On peut ralentir un candidat sans lui nuire. Tout le monde était dans cet état d’esprit, sauf lui. C’est quelqu’un de très mégalo !
Avez-vous eu le sentiment d’être trahi par le montage ?
Non, on savait à quoi s’attendre. La production nous avait prévenus qu’elle voulait des images chocs. Les téléspectateurs sont friands d’altercations. Quand je me suis emporté contre Anthony, je me suis dit : « Ça y est, je vais avoir le droit au zapping ! »
Avec Houcine et Sébastien, en revanche, la sportivité passe avant la compétition…
C’est vrai. On a beaucoup échangé avec les deux garçons durant toute l’aventure. La compétition n’exclut pas la sportivité. Avec Laurence, notre objectif n’était pas de remporter Pékin Express mais de traverser le plus de pays possible.
Regardez-vous les retransmissions de l’émission ?
Oui, en famille ou entre amis. Cette semaine, on a prévu d’aller dans un café. Le maire du village va également ouvrir le cinéma municipal durant les semaines à venir et diffuser l’émission sur grand écran.
Auriez-vous pu partir avec une autre personne que votre compagne ?
Absolument pas. Caroline m’a expliqué que la production l’avait poussée à participer à Pékin Express. On aurait pu me supplier, sans Laurence, je ne serais pas parti.
Edition France Soir du vendredi 5 juin 2009; Propos recueillis par Ingrid Bernard

Pékin Express, donne le départ de la cinquième étape ce soir sur M6. Les épreuves se font de plus en plus dures et les routes incertaines. Rebondissements assurés.
Jacky a parcouru les 10.000 kilomètres de Pékin Express, la route des dragons avec son sac à dos et sa fille Alexia. Une aventure qui a rapproché deux membres d’une même famille qui avaient du mal à communiquer. Entre un père autoritaire et une fille en pleine crise d’identité, la cohabitation pouvait sembler difficile mais les chiens ne font pas des chats et ces deux-là ont vécu une aventure humaine hors du commun.
FRANCE-SOIR. Pourquoi avez-vous tenu à faire l’aventure Pékin Express avec votre fille Alexia ?
JACKY. Ce n’était pas mon idée. C’est Alexia qui m’a proposé de participer à l’aventure. J’ai été très étonné, moi je ne suivais pas plus que ça cette émission. Je ne m’éternise pas devant la télé. Alexia pensait que j’étais le partenaire le plus efficace pour partir avec elle. Elle voulait me prouver des choses durant l’aventure. Ma fille a vécu une adolescence pas facile comme beaucoup d’ado et c’était l’occasion de nous rapprocher. Je jouais souvent les pères moralistes et elle voulait me montrer que ce que je lui disais n’était pas tombé dans l’oreille d’une sourde. Je lui répétais souvent que la vie n’était pas rose et qu’il fallait vivre certaines difficultés.
Pékin Express est une aventure difficile moralement et physiquement. N’avez-vous pas eu peur que la rudesse de l’épreuve ne vous divise ?
J’ai appréhendé mais je pense que c’est dans la difficulté qu’on voit la vraie nature des gens. Je suis un père stressé et directif mais durant Pékin Express j’ai toujours été à l’écoute d’Alexia. Je l’ai soutenue. J’ai pris beaucoup sur moi au grand étonnement d’Alexia d’ailleurs. Je lui ai dit que je serais toujours là pour elle parce que je l’aime. Je veux éviter qu’elle souffre et parfois je l’ai soulagé de quelques difficultés en portant son sac par exemple. Elle trouvait quand même le moyen de me reprendre. Je répliquais qu’elle était ingrate et elle ne répondait pas. Je pense qu’elle a pris conscience de beaucoup de choses et cela nous a rapprochés.
On a l’impression que c’était plus l’aventure d’Alexia que la vôtre…
Oui, c’était l’aventure d’Alexia mais je voulais aussi l’accompagner. J’ai eu Alexia à 23 ans, ce qui est plutôt jeune pour avoir des enfants et peut-être que je ne me suis pas assez occupé d’elle, alors j’ai voulu rattraper le temps.
Quel souvenir gardez-vous de ce périple ?
Je m’y suis retrouvé. Je suis fils d’immigrés espagnols et j’ai une certaine notion de la souffrance. Je n’ai pas eu des conditions de vie difficiles mais je n’étais pas un fils à papa. Je me suis senti bien dans Pékin Express. Même si ma famille est loin de moi, dans l’effort je puisais dans mon cœur pour me retrouver.
Edition France Soir du vendredi 29 mai 2009 Propos recueillis par Magali Vogel


Passant pour des gamins insupportables, les jeunes Parisiens engagés dans Pékin Express révèlent qu’ils ont en fait voulu déjouer une conspiration.
Pourquoi avoir participé à Pékin Express ?
Anthony : Pour avoir la chance de faire des rencontres extraordinaires. Et puis l’idée d’avoir un bandeau sur les yeux et d’être téléporté à l’autre bout de la planète sans savoir où j’allais atterrir me fascinait.
Christopher : Pour moi, c’était l’occasion de découvrir des pays en voie de développement. Et comme j’étudie l’architecture, je savais que j’allais pouvoir observer les constructions locales.

A : Avec Christopher, on savait pourquoi on était là. Il n’était pas question de faire de cadeau. En revanche, le soir après la course ou lorsqu’on partageait un véhicule avec d’autres concurrents, on se marrait bien. L’ambiance était bonne.
C : Venir en aide à certains concurrents, ça voulait dire ne pas en aider d’autres. Donc manquer de Fair Play. Pékin Express, c’est avant une compétition. Il ne faut pas l’oublier.
Anthony, dans l’épisode ou les binômes sont mixés, vous êtes particulièrement agaçant…
Anthony : C’est ce qui ressort à l’antenne. Mais la vérité c’est que j’ai simplement refusé de participer à une conspiration contre Corinne et Marlène.
Christopher : Les quatre équipes ont voulu manipuler Anthony. Ils lui ont mis une pression d’enfer. À sa place, j’aurais été encore plus intransigeant et j’aurais refusé d’avancer.
J. B. www.tv-grandes-chaines.fr 29 Mai 2009

Les deux candidats qui ne se connaissaient pas avant le jeu ont été interviewés par le magazine PUBLIC en ce mois de mai 2009 : Interview


Jacky et sa fille Alexia résident à Fonsorbes. À Fonsorbes, il est devenu une légende. Jacky Galiani, qui a participé à Pékin Express, diffusé ce soir sur M6, a vécu l'émission plus comme un pèlerinage humaniste que comme une simple course de télé-réalité. Marqué par son périple exaltant en Asie, il évoque son retour à la vie quotidienne.
Que vous a apporté l'épreuve Pékin Express ?
Cela m'a appris à relativiser. Notre société vit trop vite. En Asie la générosité règne, on s'ébahit encore devant les sourires d'enfants, cela change le regard. Nous avons tendance à conquérir le bonheur par le confort et le matérialisme, c'est individualiste. On passe à côté du vrai bonheur qui passe par le don de soi, l'entraide… Je sais que tout n'est pas rose là-bas mais je garde un bon souvenir de l'accueil.
Avec du recul, comment définiriez-vous cette aventure ?
Un pèlerinage, mais aussi un dépassement de soi-même. Cela a servi à nous auto-juger, nous surpasser.
Le retour à votre vie quotidienne a-t-il été difficile ?
Ce n'est pas évident de revenir à la vie quotidienne après avoir baigné dans une culture différente. Même si l'émission ne change pas fondamentalement un individu car elle est trop courte, elle laisse des marques.
Depuis la diffusion de l'émission, votre quotidien a forcément changé…
Oui. Les gens me reconnaissent dans la rue, c'est un plaisir. A la fin de l'émission, je n'avais pas mesuré l'impact de la médiatisation. Mais c'est agréable car beaucoup de gens m'encouragent. Avec ma fille, Alexia, nous sommes encore dans une bulle de bonheur. J'en profite, je sais que c'est éphémère.
Êtes-vous satisfait des images sélectionnées par M6 pour retracer l'aventure ?
Oui, j'appréhendais, mais les images traduisent vraiment la réalité. Je ressens parfois une certaine frustration quand certaines images fortes n'ont pas été diffusées, mais c'est normal, M6 ne peut pas tout diffuser.
Ce voyage a-t-il fait naître en vous de nouveaux projets ?
Je voudrais désormais partager de tels moments avec ma femme et mon autre fille de 15 ans. Nous avons aussi un projet humanitaire, qui me tient très à cœur, avec les autres candidats de l'aventure Pékin Express.
LA DEPECHE 15 MAI 2009

Albert est Lézignanais, agent de l'environnement plus particulièrement chargé de la surveillance du milieu aquatique ; Laurence est agent spécialisé en école maternelle. Tous deux sportifs, en couple, et désormais futures vedettes de télévision : ils apparaîtront en effet, à partir de ce soir, 20 h 40, sur M6, dans la nouvelle saison de l'émission « Pékin Express ». « Nous avions vu l'émission il y a deux ans et nous avons été subjugués. Nous sommes amateurs de voyages, mais n'avions pas les moyens de partir. Nous avons postulé pour l'émission de l'an dernier. Et nous avons fini dans le casting final, et avons raté de peu la dixième place. Nous avons repostulé cette année, et cette fois-ci, parmi 28.000 candidats, nous avons été sélectionnés. » explique Albert. « On nous a contactés en septembre dernier, et nous sommes partis en novembre jusqu'en décembre. Nous avons débarqué à la fin de la mousson.

La préparation ? « On fait déjà beaucoup de sport, tous les deux toute l'année, on était déjà prêts. Et psychologiquement, on s'était préparés avec notre famille pour notre aventure » ajoute Laurence.
Et que ce soit au bout du monde, ou à quelques mètres d'eux, Albert et Laurence ont su nouer des liens : « Mercredi 15 Avril , on était avec Simon (NDLR : le candidat Lézignanais de l'émission Koh-Lanta en 2008) » explique Albert. « Je le regardais bien entendu lorsque l'émission passait, il nous a invité déjà pour plus tard ».
Propos recueillis par Richard Lorente. LA DEPECHE 24/4

Alexia et son père Jacky forment un binôme soudé, en route vers Bali. Photo Patrick Robert/M6
Alexia arpente la « route des dragons » avec son père. La candidate de Pékin Express revient sur sa belle aventure.
La route du Vietnam à Bali est longue pour les candidats de Pékin Express. Alexia et Jacky forment un des binômes encore en lice. Le père et la fille se distinguent par leur sympathie. Alexia évoque sa passion qui est aussi son métier : elle travaille dans une agence de voyages à Toulouse.
FRANCE-SOIR. Pourquoi vous êtes-vous inscrite à Pékin Express ?
ALEXIA. Depuis toute petite, je rêve de faire le tour du monde. Pékin Express était pour moi l’occasion de vivre un voyage au sens où je l’entends, c’est-à-dire partir à la rencontre des gens avec un sac à dos.

Je voulais surtout voir du pays. Justement, le fait d’être filmée était le prix à payer. J’avais peur d’être gênée par la caméra. Finalement, je l’ai oubliée au bout de quelques heures.
Suiviez-vous les précédentes saisons ?
Oui, assidument ! C’est d’ailleurs en voyant l’appel à candidatures après une émission l’année dernière que je me suis inscrite.
Votre père a-t-il été difficile à convaincre ?
Oui, car il ne connaissait pas l’émission. Et il était persuadé que nous n’avions aucune chance d’être sélectionnés.
Pourquoi l’avoir choisi ?
Même si ce n’est pas la personne de mon entourage avec laquelle je m’entends le mieux, je savais qu’avec lui j’avais plus de chances. Il est débrouillard, sportif – plus que moi – et il va naturellement vers les autres. Le choisir était aussi une preuve d’amour.
Qu’est ce qui pourrait vous faire gagner ?
Je n’y suis pas allée dans l’idée de gagner. Mon but était de voir le plus de pays possible, ce qui implique aller le plus loin dans le jeu. Nos caractères opposés peuvent devenir une force si on les unit. La qualité que demande le jeu est la chance. Etre bien entraîné ou parler plusieurs langues ne suffit pas.
Quel est votre plus beau souvenir dans cette aventure ?
Le sourire de toutes les personnes que l’on a croisées m’a beaucoup touché. Je ne pensais pas recevoir un accueil si chaleureux.
Edition France Soir du vendredi 8 mai 2009 Propos recueillis par Lisa Gougué

Le 24 avril, débutera une nouvelle saison de « Pékin-Express » qui transportera le téléspectateur de M6 du Vietnam à l'Indonésie. Cette année, deux Toulousains, Jacques et Alexia, père et fille, ont participé à l'aventure. Jacques nous raconte son périple asiatique.
Pourquoi avoir participé à Pékin-Express ?
Ma fille Alexia, 23 ans, m'a inscrit et m'a dit : « Papa, c'est avec toi que je veux le faire ! La raison principale était de vivre une belle aventure avec ma fille ».
Comment avez-vous vécu cette aventure ?
Quand j'ai su que je partais en Asie, c'était l'occasion pour moi de retrouver de vraies valeurs, tels que le partage, la solidarité. Certains habitants m'ont ému aux larmes. Le peu de choses qu'ils avaient, ils nous l'ont offert. De telles rencontres apprennent l'humilité.
Comment se déroule en « off » une émission de télé-réalité ?
J'avais en tête que tout était trafiqué. J'étais loin de me douter des difficultés physiques de l'aventure. Les journées commençaient très tôt, se terminaient très tard. On avait souvent faim, on n'était jamais rassasié. L'hygiène était limite, il y avait la mousson. Bref, on s'est mis souvent minables et la production ne nous aidait pas ! Et puis, même si l'on est pas familier de la caméra, on l'oublie très vite. Nous étions entièrement dans le jeu, avec les populations. Le hic, c'est qu'on était nous-mêmes. On ne s'imagine pas alors le poids des images. N'ayant pas vu les émissions, c'est ma principale inquiétude : savoir à quelle sauce on va être mangés
Propos recueillis par Marie-Alix Saint-Paul pour La Dépêche
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |