News Pékin Express

Leur bilan
Mounir : c'est l'aventure d'une vie. Si c'était à refaire, je repartirais avec grand plaisir. Franchement, je suis passé par pas mal d'état d'émotions : le stress, l'envie de gagner, la colère, la joie. C'est plein de rebondissements. Il y a beaucoup de tension, d'énervement et de bonne humeur aussi ! Une chose est sûre malgré tout, on est toujours content de finir une étape.
L'étape de destin lié avec les Miss ?
Mounir : moi j'étais content. Je n'avais jamais trop parlé aux Miss mais j'aimais bien leur joie de vivre. On a bien démarré notre course à quatre et puis finalement, on s'est trompé de route au dernier moment... Mais on a vraiment adoré cette étape. On a ri !
Lydia : au début, j'étais contente de me retrouver avec des filles et puis je me disais que comme elles étaient super belles, elles allaient avoir des facilités à faire du stop. Et puis, je me suis rendue compte que c'était un handicap de tout faire à quatre. Déjà, qu'à deux c'était difficile ! Aujourd'hui, les Miss sont mes copines ! On se voit toujours depuis la fin du tournage.
Leur relation avec les autres
Mounir : On a créé des affinités parce qu'il faut savoir que nous avons un jour de repos tous les 3-5 cinq jours environ. Bien sûr qu'on se parle entre nous. Il y a des affinités qui se créent. Dans notre groupe, tout le monde s'entendait très bien. Il n'y a personne que je détestais, mise à part les soeurs avec qui j'ai eu une petite brouille.
Une aventure très compliquée pour votre couple...
Lydia : je pense que le plus dur dans Pékin Express était le manque de communication entre mon mari et moi. On a réalisé que c'était une grande faiblesse. Quand on se comprenait tout allait très bien mais dès qu'on se prenait la tête, on perdait les pédales. On s'énervait très vite quand on était confrontés à une difficulté, on est comme ça dans la vie. Pour moi, j'avais une pression parce que Mounir est sportif et que moi, à part rester à la maison, je ne sais rien faire. Pendant la course, je me suis mise une pression de dingue parce que je me disais que si mon mari était parti avec une autre personne que moi, il aurait fait un meilleur parcours.
Mounir : Si j'avais fait Pékin Express avec un ami il y aurait eu moins de disputes. Mais nous sommes deux tornades avec Lydia. La tension monte donc on commence à crier, on est comme ça mais ça nous empêche pas de nous réconcilier très vite.


Lydia était amère après cette défaite, car gagner Pékin Express était l'un de ses rêves. Elle explique à TELE LOISIRS : "Là vraiment, j'étais au bout de ma vie. Je l'ai eue mauvaise. Je n'en veux pas à Mounir, parce que je sais qu'il s'est donné à fond, mais j'en veux aux deux sœurs. Elles nous ont choisis pour le duel final alors qu'elles nous avaient déjà donné le drapeau noir pendant la course, ça faisait beaucoup. Le sort s'est acharné contre nous."
Mounir, lui, se veut plus philosophe. "Perdre deux duels finales de suite... Je me suis dit que je n'avais plus ma place à Pékin Express et qu'il était temps de rentrer. Je suis compétiteur, je ne lâche rien jusqu'au bout, mais là, quand on perd deux fois d'affilée, il faut rentrer à la maison".
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |