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Le guest ce mercredi était pas mal également Mac Lesggy l'animateur tres sympa, a beaucoup énervé ses deux partenaires Joel et Cecilia, mais nous ça nous a bien fait rire de les voir péter un cable de la sorte.. L'étape était obligatoirement éliminatoire cette fois et pour la seconde fois de la saison, les candidats étaient qualifiés par étape, il fallait réaliser un parcours et un jeu pour gagner son passeport pour l'Australie.
Mais à ce jeu c'est Cécilia et Joel qui ont encore fini derniers et ont donc été éliminés, leur passager étant donc un boulet pour eux puisqu'il les a ralenti...
Résumé complet et videos à lire ici
LEURS ITWS A LA PRESSE PAPIER ET INTERNET
TELE 7 JOURS : Joël : "Entre Mac Lesggy et William Carnimolla, on a eu 2 chèvres"
Vous étiez parmi les favoris de ce Pékin Express, pas trop difficile à avaler cette élimination ?
Je suis un peu amer. Si on perd parce qu’on est mauvais, ok. Là, franchement, ce n’est pas le cas. Lors de la 7e étape, on a fait un course incroyable donc c’est frustrant ! Le boulet, il a servi… de boulet. Mac Lesggy nous a considérablement ralentis, il était à bout de souffle. On lui a pourtant expliqué qu’il y avait une différence entre le muscle et le mental, il n’a pas capté ça, c’est un peu regrettable pour un scientifique.
Il y a quand même mis du sien, non ?
Oui... Il y a mis du sien... mais pas tellement. Il ne s’est pas rendu compte en fait. C’était un peu Oui-Oui aux Philippines. Il disait "oui-oui" à chaque fois mais il n’appliquait pas nos conseils, il n’en faisait qu’à sa tête. Il n’avait pas l’habitude, je comprends qu’il ait été dépassé mais bon… Moi, je m’en tape de lui, ce que je voulais, c’était aller à Sydney. Mais bon, c’est la règle. Entre Mac Lesggy et William Carnimolla, on a eu 2 chèvres comme passagers mystères !
Parlez-nous de votre association avec la volcanique Cécilia…
Avec elle, on formait un vrai bon binôme. On ne se parlait même plus, on se complétait. On avait compris l’un et l’autre notre fonction, comme si on se connaissait depuis des années. Lors du stop, je disais à Cécilia : "montre tes seins, tapine pour moi !". Elle jouait le jeu et moi je commençais déjà à mettre les sacs dans la voiture. Le gars n'avait pas encore validé qu’on partait ! On était parfaitement rôdés.
Quand Cécilia a expliqué que grâce à vous, elle avait pu montrer une autre facette, ça vous a touché ?
Cécilia, je l’ai vite comprise. Quand on la regarde, on voit ses muscles, son côté agressif, mais elle a un côté touchant qu’elle n’assume pas. J’ai essayé de lui expliquer que sa sensibilité n’était pas une faiblesse mais une force. J’ai connu la louve, je laisse une biche. Aujourd’hui, elle assume sa sensibilité qu’elle fuyait et elle me dit merci.
Revenons un peu sur ce pipi dans le taxi, c’est devenu une séquence culte !
C’est un grand moment de solitude. Parfois dans Pékin Express, on oublie qu’on est filmé. Quand il me voit uriner, le caméraman pleure de rire. Il n’arrivait même plus à me filmer ! La gorge devenait jaune tellement j’avais envie de pisser. Il me fallait une solution, je n’entendais plus rien, juste ma vessie qui me disait : "vas-y". Cette histoire me suit ! A Marseille, on m’a fait don de 17 poubelles ! Au resto, quand je demande les toilettes, les gens me disent de ne pas faire dans la poubelle !
Et quid de cette dégustation du balut, la spécialité locale ?
Horrible. En plus, pendant la dégustation, Mac Lesggy me parle du photovoltaïque... Mais qu’est-ce que je m’en tape de ça ! Parle-moi de ce que tu veux, mais pas de ça ! Comme si la merde que je mangeais ne suffisait pas, je dois aussi lui taper la discut’ ! Et il parle de son truc à moi : un coiffeur. Un coiffeur, ça a le cerveau d’un bigoudi !
Quel a été le moment le plus dur dans ce Pékin Express ?
Le trek dans la montagne a été atroce. Quand je prends la bassine, je ne suis pas blanc, je suis gris. En fait, j’ai la chiasse. Mon pantalon, il a fallu que je le jette en Corée. Je ne pouvais quand même pas m‘arrêter pour aller faire popo. Normalement quand j’ai la gastro, je reste allongé, je bois du Coca et je prends de l’Ercéfuryl. Là, avec -20 degrés, je devais me taper 20 bornes avec des seaux d’eau. Sans compter Cécilia qui me gueule dessus. Il a fallu aller chercher très loin.
Que retiendrez-vous de cette édition ?
Le couple qui a gagné, c’est Cécilia et moi. L'argent, la victoire, bien sûr j’aurais voulu tout ça, mais la victoire de l’humain est nettement plus importante que le pognon. Lors de la saison 3, je n’ai rien partagé avec mon binôme. Jean-Pierre. Lui, son truc, c’était de passer à la télé ! Avec Cécilia, j’ai partagé tellement de belles choses. C’est une vraie rencontre, avec beaucoup d’émotions. J’ai eu tout ce que je n’ai pas eu lors de la première saison.
Prêt à repartir pour une 3e fois ?
Je suis d’accord mais pas si on me dit que je repars avec un people-boulet. Là, va mourir !
Quels sont vos favoris ?
Mon coup de coeur... les Poelvoorde ! Ils ont l’âme, l’amour et le respect de Pékin Express. J’aime tout chez eux chez Ludovic et Samuel. Quand je les ai vu à Séoul pour la première fois, ils m’ont dit qu’ils étaient fan de moi lors de la saison 3 et que je leur avais donné envie de faire Pékin Express. Ca tombe bien, moi aussi je suis fan d’eux ! Maintenant que je ne suis plus dans la course, je veux qu’ils gagnent.
Propos recueillis par Thibaut Lescuyer , T7J
ITW de Joel dans LA PROVENCE 13 Juin 2012
ITW M6
Respectivement vainqueur et demi-finaliste d'une saison précédente, comment vivez-vous cette élimination aux portes de l'Australie ?
Cécilia : Je suis extrêmement déçue d'avoir été éliminée à l'issue de cette 8ème étape. Je suis surtout écœurée de partir après tout le chemin que nous avons parcouru avec Joël. Aller en Australie, c'était un rêve… Là, c'est une immense déception.
Joël : Je vis cette élimination comme une injustice. Nous avons toujours été « au taquet » depuis le début du jeu. Le fait de ne pas être les seuls maîtres de notre destin était très frustrant. J'avais encore énormément d'énergie à donner. Aujourd'hui, je garde un goût d'inachevé.
Pourquoi avez-vous accepté de retenter l'aventure avec une personne que vous ne connaissiez pas ?
Cécilia : J'ai accepté l'expérience car Pékin Express c'est comme le gain du loto, ça ne se refuse pas ! La cohabitation avec une personne inconnue ne me faisait pas peur. C'est une aventure magnifique et inoubliable. Si l'on me conviait à participer à d'autres saisons, je repartirais volontiers.
Joël : J'avais déjà fait ma première saison avec une personne que je ne connaissais pas. Cela n'était donc pas un problème de retenter l'expérience. Par contre, vu mon caractère calme, je me doutais que l'on allait me mettre avec quelqu'un qui a du tempérament.
Quelle a été votre réaction à la découverte de votre partenaire ?
Cécilia : Ma première réaction face à Joël était mitigée. D'une part, je pensais au côté sportif et compétitif de l'aventure. Je me suis dit que nous n'allions pas être sur la même longueur d'onde…
D'autre part, j'étais très heureuse de retrouver cet étonnant personnage que j'avais découvert dans la saison 3.
Je savais que c'était quelqu'un de très gentil et cela m'a rassuré. Je n'étais pas déçue du tout, mais simplement surprise et étonnée par le duo inédit que nous allions former.
Joël : Je me suis dit que l'aventure allait être compliquée ! Je ne savais pas comment me positionner face à cette grande compétitrice, très sportive et mauvaise perdante.
Puis, j'ai pris du recul, et je me suis dit qu'il y avait toujours quelque chose de bon en chacun de nous.
Même si au début nous étions complètement opposés, l'aventure s'est divinement bien déroulée par la suite.
D'après-vous, quels étaient les points forts et les points faibles de votre équipe ?
Cécilia : Notre point faible était, évidemment, le fait de ne jamais avoir fait Pékin Express ensemble. Nous ne nous connaissions pas et avons dû apprendre très vite à cerner l'autre. Paradoxalement, notre force est née de notre complémentarité.
Nous nous sommes tout de suite compris et acceptés l'un et l'autre. Finalement, nous avons réussi à transformer notre point faible en point fort.
Joël : Nous étions profondément déterminés à aller le plus loin possible. Nous avions envie d'avancer ensemble, dans les rires et la bonne humeur.
Nous sommes tous les deux « barjo » et nous nous complétions bien. Nous avons surmonté le fait de ne pas se connaître pour vivre une jolie histoire. En y réfléchissant, je ne vois pas avec qui d'autre j'aurais pu faire Pékin Express.
Comment avez-vous vécu la compagnie des passagers mystères : de Sandrine Corman à Mac Lesggy, en passant par William Carnimolla?
Cécilia : L'aventure aux côtés de Sandrine a été très agréable. C'est une battante qui aime gagner les challenges. J'ai beaucoup apprécié son âme de compétitrice. Sa présence dans notre équipe nous a permis de nous reposer un peu.
Cependant, je n'ai pas forcément aimé faire équipe avec William et Mac. Ils sont très sympathiques et profondément gentils, mais ils nous ont menés à l'échec tous les deux. Quand je voyais que Joël se donnait à fond physiquement, je ne supportais pas de voir que notre passager mystère n'avançait pas, ou difficilement.
Joël : Je suis fan de Sandrine ! J'espérais l'avoir comme passager mystère. Elle a été un atout considérable et nous a vraiment impressionnés. William avait de la bonne volonté. Il était adorable, mais n'était pas prêt à surmonter cela.
Quant à Mac, il m'a fait me métamorphoser en Cécilia ! Cela a été très difficile. Il n'a pas compris l'enjeu de Pékin Express et était complètement dépassé physiquement. Malgré notre coaching, il n'a pas réussi à rentrer dans la course. Il était trop « dans les étoiles » et enchaînait erreur sur erreur.
Pourquoi avez-vous choisi d'attribuer le prochain passager mystère à Jean-Pierre et François ?
Cécilia : Ce n'était pas un choix stratégique. En amont, nous avons demandé aux autres équipes laquelle désirait avoir le passager mystère, mais à ce stade du jeu, personne ne souhaitaient s'en charger. François étant dans ma ligne de mire, et bien visible avec son t-shirt bleu fluo, je l'ai attribué à leur équipe.
Joël : Ils n'avaient jamais eu le passager mystère… Alors pourquoi ne pas les freiner un peu ? Malgré ce que dit Cécilia, nous avons quand même un petit côté stratège.
Quelles étaient vos relations avec les autres candidats ?
Cécilia : Nous avions d'excellentes relations avec les autres candidats. Certains, comme Frédéric et Jessica, étaient déjà des amis pendant ma saison. Nous apprécions beaucoup Gérard et Cédric. Ludovic et Samuel ont été un vrai coup de cœur. Marcelle et Nicole étaient aussi adorables. Ce fut une saison très amicale.
Joël : En coupant les cheveux à tout le monde, je leur ai laissé un petit souvenir de moi. Nous avions tous de très bons rapports. Nous nous aimons tous. Nous pouvons même parler de « Famille Pékin Express », nous pleurions et rions ensemble.
Qu'est-ce qui a été le plus difficile dans l'aventure « Pékin Express, le passager mystère » ?
Cécilia : Notre élimination est le seul moment que j'ai extrêmement mal vécu. C'est un échec très difficile à accepter. Surtout que cette défaite ne dépendait pas que de nous. L'élimination de Gérard et Cédric n'a pas été facile à vivre non plus.
Joël : Physiquement, j'ai eu beaucoup de mal à réaliser le trek en Corée du Sud. Mon corps ne pouvait plus avancer. Mais je me suis battu avec moi-même et j'en suis très fier ! Le manque d'hygiène était aussi difficile à vivre au quotidien. Pékin Express a un parfum particulier !
Videos, séries et émissions sur M6.fr : L'interview de Cécilia et Joël - Pékin Express, le passager mystère sur M6 http://pekin-express.m6.fr/photos-l_interview_de_cecilia_et_joel-46108/photo-655724#diaporama#ixzz1yCNiYRqc
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |