News Qui veut épouser mon fils

Les interviews presse des candidats de Qui veut épouser mon fils ? => Guissepe [MAJ 7/4]

Retrouvez ici toutes les interviews des candidats de "Qui veut épouser mon fils ?" , que ce soit les fils, mères ou prétendantes...

ITW de Florent sur MFM RADIO 6 Avril 2011
L'ancien candidat a beaucoup critiqué Giuseppe, "Je trouve ça con, en ayant fait une émission de télé ensemble, qu’il commence à nous critiquer, qu’il se croie supérieur à tout le monde. Il dit à tout le monde : "Florent il n’a pas réussi, moi j'ai réussi, je refais une nouvelle émission." Le mec, il a fait Carré Viiip, au bout de deux semaines, ça a été arrêté ! Là, je viens d'apprendre qu'il sort un single, faut arrêter, à quarante ans... Je trouve que c'est une personne inintéressante et je me demande comment on fait pour le suivre encore. C'est une personne irrespectueuse envers les gens, envers les filles, sa mère, tout le monde. Je dirais juste un truc : Giuseppe, c'est un gros con. Ça je peux le dire haut et fort et je l'assume." dit il mais souhaite le revoir : "J'aimerais bien, parce que c'est bien beau de critiquer les gens à travers les médias mais après il faut avoir le courage de le dire en face, je pense qu’à quarante ans il est assez grand. Il sait où j'habite, donc il s'il se sent un peu vaillant (…), s'il a des couilles dans son pantalon et que c'est un grand garçon, qu'il vienne tout me dire en face. Pour moi, c'est un gros con, une personne inutile et je ne comprends pas pourquoi on le médiatise" a t'il dit ...


Giuseppe à TELEGRAMME , février 2011. Un macho qui assume sa célébrité
Une interview réalisée dans une de ses sorties promo en boite de nuit, oui lui aussi fait ce genre de show...

Vous incarnez à la télé le rôle d'un macho que sa mère cherche à marier. Mais qui êtes-vous en réalité ?
Je suis la même personne ! J'ai hérité du tempérament de la région d'où mon père est originaire, la Calabre (Italie). Avant cette émission, je travaillais dans le négoce de voitures. Un jour, je suis allé sur un site Internet de rencontres. J'ai vu une annonce pour faire de la téléréalité : "Recherche homme célibataire entre 27 et 40 ans". J'ai répondu. On m'a demandé une photo de ma mère, je me suis rendu à un entretien. Deux jours plus tard, j'étais pris !

Être macho au XXIe siècle, c'est un peu anachronique, vous ne trouvez pas ?
Pour moi, chacun doit être dans son rôle. Être macho, cela ne veut pas dire être méchant avec les filles. C'est vrai, je ne suis pas du genre à faire la vaisselle ou à repasser mes chemises. Mais quand je vais au restaurant, c'est moi qui paye. Je me comporte en gentleman. Les femmes que j'aime, je les mets sur un piédestal. Aujourd'hui, je trouve aussi qu'il y a des filles qui veulent le beurre et l'argent du beurre : elles ne veulent pas d'un macho à la maison, mais elles demandent quand même à l'homme de payer l'addition.

Par rapport à de précédentes émissions de téléréalité, «Qui veut épouser mon fils ?» semble plus scénarisée, moins spontanée...
Pour moi, ce n'était pas scénarisé. Après, s'agissant des autres, je ne peux pas parler pour eux. J'ai toujours été naturel. Si ça a marché pour moi, c'est parce que je n'ai pas fait attention à mon image. Maintenant, dans la vie de tous les jours, je ne peux plus "endormir" les filles comme je le faisais avant, car elles savent qui je suis ! (rires)

Votre notoriété soudaine vous paraît-elle justifiée ?
Je n'ai pas fait cette émission pour devenir célèbre. Je suis souvent étonné de l'effet que ça peut produire. Quand on est médiatisé comme ça, il y a certaines filles qui font n'importe quoi pour attirer l'attention et je ne donnerai pas de détails. Mais ces filles-là ne m'intéressent pas. Ce que je sais, c'est qu'aujourd'hui, j'existe médiatiquement. Demain, je n'existerai plus. Alors, j'en profite.
LE TELEGRAMME 6 FEVRIER 2011



Alexandre à TELE LOISIRS



Giuseppe: “Je suis victime de ma notoriété” à METRO

C’est le macho le plus célèbre du PAF. Star de l’émission “Qui veut épouser mon fils ?”, Giuseppe a répondu à toutes nos questions sans exception. Sous le regard attentif de sa maman chérie !
Comment vis-tu ta soudaine notoriété ?
Je le vis très bien même si je ne m’y attendais pas du tout. Je ne peux plus faire dix mètres sans me faire prendre trente fois en photo. Et je n’exagère pas !

Tu as vraiment fait cette émission pour trouver l’amour ?
Oui, vraiment. Ça fait trente-neuf ans que je le cherche. Et vu ma mentalité et mes exigences, je me suis dit que TF1, qui a la main longue, allait peut-être pouvoir me trouver la femme idéale. Je ne suis pas un gros macho, je suis juste. Je pense qu’une femme a son rôle et qu’un homme a le sien. C’est pas péjoratif, mais je ne me vois pas faire la vaisselle !

On ne peut pas s’empêcher de penser que tu exagères devant les caméras... 
Mais je suis comme ça dans la vie ! J’ai baigné dans cette culture macho. Ma vision de la femme et de la famille, c’est normal. Peut-être que toi ça peut te choquer, mais moi j’assume. Je ne joue pas de rôle. Quand j’ai un truc à dire, je le dit. Je n’ai pas peur de choquer.

Cela dit tu n’as pas toujours été très galant avec tes prétendantes. La semaine dernière, sur le plateau de “Morandini !” tu as même insulté Audrey...
Je tiens à m’excuser auprès des télépectateurs si je les ai choqués. Mais il faut savoir que j’ai été piégé par Jean-Marc Morandini. Il ne m’a prévenu de la présence d’Audrey et de Marie que deux minutes avant le début de l’émission. Je lui en veux. Audrey a dit que je l’avais menacée. Mais c’est faux ! Je n’aurai pas dû m’emporter, je le regrette. Mais je tiens à dire que je n’ai jamais menacé personne, comme le prétendent toutes les anciennes candidates. La vérité c’est qu’elle se servent de moi pour faire parler d’elles. Je les ai toutes attaquées au tribunal. Elles veulent jouer avec moi, eh bien elles vont perdre

Mais tu as déjà été condamné pour violence, non ?
Ce qui s’est passé il y a onze ans avec mon ex, c’est une autre histoire. Je lui ai cassé sa voiture et je lui ai payé des dommages et intérêts. Elle parle de violence, mais elle n’a même pas eu un jour d’ITT. Tout ça a été monté en épingle. Je suis victime de ma notoriété.

Tu a fait l’émission pour trouver la femme idéale. Mais Clara, une de tes prétendantes, a fait du porno. Pas vraiment idéal tout ça non ?
C’est pas la femme idéale, loin de là. Mais Clara c’est un fantasme pour beaucoup d’hommes, moi compris. Je me ferai bien une fille comme elle. Mais de là à la présenter à mon père...

Pourrais-tu tomber amoureux d’une fille qui ne corresponde pas à ton idéal ?
Ca pourrait m’arriver, mais ça ne durera pas longtemps car mon naturel reviendrait vite au galop !

Il paraît que tu était en couple pendant l’émission. C’est vrai ?
Encore une rumeur ! Le tournage de l’émission a duré un mois et demi. Et il y avait des pauses durant lesquelles j’ai rencontré d’autres filles. C’est normal, je n’allais quand même pas m’enfermer chez moi. Mais il n’y a jamais rien eu de sérieux.

Tu as deux enfants mais tu n’en parles jamais dans l’émission. Pourquoi ?
C’est la faute à pas de chance. Moi je n’ai jamais caché mes enfants. J’en ai parlé durant l’émission. Mais ça a été coupé au montage.

Où en sont tes rapports avec ton chargé d'affaires, le paparazzo Jean-Claude Elfassi ?
Il s’occupe de vendre mes photos et mes interviews. C’est tout. Lui il aime créer le buzz. Moi non. Il faut arrêter de me faire passer pour ce que je ne suis pas. Il faut montrer le vrai Giuseppe. Je suis un mec macho mais pas méchant. Je suis quelqu’un de gentil. Mais avec les personnes qui le méritent ! Avec les autres, je ne fais aucun effort. La fille, si elle le mérite, elle a un restaurant quatre étoile. Si elle ne vaut rien, elle n’aura qu’une simple crêpe. Moi je suis franc. Une fille avec moi elle sait où elle va. Elle sait tout de suite si j’ai de l’estime pour elle ou si je ne la prends que pour un soir.

Que vas-tu faire une fois l’émission terminée ?
J’attends toutes les propositions. A moi de faire le bon choix. Si on me propose une émission de téléréalité, je dirais oui sans hésiter. Mais ce que j’aimerais, c’est jouer dans un feuilleton, style “Sous le soleil”. Je suis un acteur né !

Tu ne regrettes absolument pas d’avoir participé à l’émission, alors ?
Pas du tout ! Je suis arrivé avec rien et aujourd’hui on ne parle que de moi. Je suis un homme heureux. Regardez la fin de l’émission et vous comprendrez pourquoi...
METRO 2/12/2010


Giuseppe au MELTY SHOW



L'interview d'Alysson
Entrevue.fr : Que s'est-il réellement passé avec Marie-France, la mère de Giuseppe?
Alysson : Elle m’a éliminée lors de la première émission. Au début, je ne me suis pas rendue compte qu’elle ne pouvait pas me blairer ! C’est seulement lorsque je suis revenue dans le jeu que ça a été clair. Elle ne m’aimait pas du tout. Ensuite, chez moi, à Milan, j’ai regardé l’émission sur Internet et je n’ai pas aimé la façon dont elle m’a critiquée. Pour moi c’est un manque de respect ! Je pense qu’elle doit être jalouse, moi j’ai pris ça comme une humiliation.

Giuseppe a-t-il fait le bon choix en t’éliminant ?
Oui, il a fait le bon choix parce que de toute façon s’il ne l’avait pas fait, je serais partie de moi-même ! Il n’était pas fait pour moi. D’ailleurs je lui ai dit qu’il ne me méritait pas. Un mec de 39 ans qui se laisse guider par sa mère, pour moi, ce n’est pas un homme.

A-t-il été violent avec toi ?
Non, en revanche, un jour, il s’est mis à gueuler sur moi sans aucune raison. Mais malheureusement, cette scène a été coupée au montage.

Que penses-tu de l’image que tu as donné de toi au cours du jeu ?
Contrairement à l’image que j’ai véhiculée à l’écran, je suis très impulsive. J’étais un peu idiote, mais c’était volontaire, je l’ai fait exprès. Il avait l’air tellement ridicule que ça ne valait même pas la peine de s’énerver ou de faire la racaille. C’est quand même dommage qu’ils n’aient pas diffusé cette séquence qui était assez drôle.

Comment as-tu réagi en regardant l’émission chez toi en Italie ?
J’étais vraiment très mal. Je ne veux pas critiquer les autres filles, mais je pense que moi, j’ai vraiment été correcte… Marie-France devait être complexée parce qu’au final, elle a choisi Karine qui est toute refaite et qui lui ressemble !

Parle nous de tes rapports avec les autres prétendantes.
Au début ça n’a pas été simple et le fait d’avoir été éliminée puis reprise n’a pas arrangé la situation. Avec Clara, ça s’est très bien passé, nous sommes d’ailleurs restées en contact mais avec Karine pas du tout. Karine, c’est une potiche. Elle ne parle pas, elle ne dit rien. C’était la femme parfaite pour Giuseppe parce qu’il n’aime pas les femmes qui ont du caractère.
ENTREVUE.FR 23/11/2010


Giuseppe : l'interview vérité à METRO



Benjamin sur HOTMIX RADIO où il bave sur Guissepe



Alexandre (Qui veut épouser mon fils?) : "La prod nous a caricaturés"
Candidat le plus discret de Qui veut épouser mon fils ?, Alexandre s'est confié à Tele-Loisirs.fr. Il fait le point sur son aventure, sa recherche de l'amour, et les rumeurs qui ont couru sur sa personne.
Tele-Loisirs.fr : Il paraît que vous n'êtes plus célibataire. C'est vrai ?
Alexandre : Oui, c'est vrai. Ça fonctionne bien, mais je ne peux pas en dire plus pour l'instant.

Depuis combien de temps étiez-vous célibataire ?
A peu près six ou huit mois. Mais j'ai déjà eu deux grandes histoires d'amour. La première date de presque dix ans et l'autre, qui a beaucoup compté aussi, date de quatre ans.

Cela ne vous avez jamais donné envie de partir de chez votre mère ?
Ben... C'est peut-être un peu idiot mais moi, à la base, je comptais quitter la maison une fois que j'aurais trouvé la bonne personne.

Et là, vous vivez toujours chez votre maman ?
Non, je me suis installé chez moi.

Vous avez trouvé la bonne alors !
Ben... C'était prévu de longue date, et à la base, je devais emménager tout seul.

La rumeur a circulé que vous étiez toujours vierge. Cela vous a blessé ?
Oh, vous savez, les rumeurs idiotes... Je ne suis plus puceau depuis mon adolescence. On peut être timide et ne plus être puceau. Ça m'a un peu vexé que l'on me juge, et puis je trouve ça un peu idiot quand même...

Qu'avez-vous pensé de l'attitude de Charlotte, votre prétendante ? La trouviez-vous sincère ?
Non, d'ailleurs, j'ai fait des confidences à ma mère comme quoi, Charlotte, je ne la sentais pas. Elle était là pour se faire remarquer. Mais j'étais quand même bien tenté de voir ce que ça pouvait donner.

Elle vous faisait de l'effet tout de même...
Oui, j'étais quand même attiré. Parce qu'on s'entendait bien, on a eu une complicité, mais je n'étais pas dupe. Et puis j'avais l'impression qu'elle voulait casser mon histoire avec Sarah. A un moment donné d'ailleurs, j'ai voulu l'éliminer pour protéger mon histoire. Finalement, je l'ai gardée, elle m'a convaincu.

Sarah semblait la fille parfaite pour vous, la plus sincère..
Oui, les autres filles étaient plus caricaturales. Mais Sarah n'a pas très bien vécu la présence de Charlotte. Elle est très jalouse, et ça s'est bien vu quand j'ai été sous la douche avec Charlotte. En même temps, il fallait bien que je fasse mon choix, que j'apprenne à toutes les connaître ! Je ne pouvais pas garder que Sarah dès le début.

Que pensez vous du montage de l'émission ?
Je trouve qu'ils ont cherché à tous nous caricaturer. Bon, moi, globalement, je n'ai pas trop à me plaindre. J'ai été sincère dans l'émission, je n'ai pas cherché à jouer un rôle.

Que pensez-vous des diverses polémiques autour de l'émission ?
C'est juste pour faire le buzz. Les filles qui portent plainte, elles cherchent à faire parler d'elles, moi je n'irais pas en parler à la presse.

Alban et Giuseppe aussi cherchent à faire du buzz, non ?
D'après ce que j'ai pu lire dans la presse, il y a en a un qui veut faire du buzz et l'autre qui veut vendre son CD. Mais je ne les ai vu qu'une seule fois, le jour de la finale. Et j'ai rapidement lié contact avec Florent, c'est tout.

Et vous, vous cherchez à faire du buzz ?
Du tout. Je ne compte pas profiter de l'émission, ce n'était pas mon but.
Propos recueillis par Mathilde Saez - TELE LOISIRS


Alban au 6/9 DE NRJ le 19nov 2010



Benjamin : "On cherche tous l'amour"
Pourquoi avoir participé à cette émission ?
C'est la première fois qu'on montre ce genre d'émission avec des homosexuels. Je suis content d'être le premier et de pouvoir donner aux gens une autre image du milieu gay en général.

Avec votre physique, on a du mal à croire que vous ayez besoin d'un coup de pouce pour trouver l'âme sœur...
C'est vrai que je n’ai pas à me plaindre de ce côté-là. (Rires.) J’étais célibataire au moment du casting. J’ai surtout fait ça pour le fun. Je trouvais sympa d’avoir une horde de prétendants autour de moi !

Qu’avez-vous pensé de vos prétendants ?
Le choix était assez large. Certains correspondaient bien à ce que je cherchais, d’autres nettement moins. On se dit que dix prétendants, c’est beaucoup, mais finalement, on n’a pas tant d’options que ça. J’aurais aimé en avoir quelques-uns de plus à me mettre sous la dent. (Rires.)

Vu votre relation fusionnelle avec votre mère, cela a-t-il été simple de faire votre coming out ?
Je lui ai annoncé mon homosexualité vers l’âge de 15-16 ans. J’ai attendu d’être officiellement en couple pour la lui révéler. Ma sœur m’avait un peu mis la pression en me disant que notre mère avait trouvé une lettre dans ma chambre dans laquelle j’expliquais mon homosexualité. J’ai pris mon courage à deux mains et ça s’est super bien passé. Je me suis senti soulagé d’un énorme poids !

N’est-ce pas gênant d’être accompagné de sa mère pour se " choisir " un garçon ?
Pas du tout. C’était génial ! Surtout qu’avec maman, j’avais l’avis d’une femme. J’espère sincèrement que la relation que j’ai avec elle pourra ouvrir l’esprit à certaines personnes.

Et votre papa, comment a-t-il pris votre participation à cette émission ?
Je pense qu’au départ, il était un peu inquiet de l’image que je pouvais donner. Mes parents sont des commerçants qui ont pignon sur rue. Tout le monde va savoir que je suis homo. Mais mon père est fier de ce que je suis. Ça ne lui pose aucun problème.

Il paraîtrait que certaines candidates hétéros ont essayé de vous convertir. Info ou intox ?
C’est vrai ! (Rires.) J’ai l’impression, par moments, que je plais plus aux filles qu’aux garçons. Les filles aiment bien les homos. Notre sensibilité fait qu’on arrive facilement à les charmer. Chaque gay a une amie qui est un peu amoureuse de lui.

Que tirez-vous de cette expérience ?
Que, finalement, le milieu gay n’est pas très différent du milieu hétéro. On cherche tous la même chose : l’amour.
Propos recueillis par Maxime Quentin CINE TELE REVUE 25 Novembre 2010



ITW du fils FLORENT ET ALBAN à T7J


"Qui veut épouser mon fils ?" : "J'ai joué le jeu, mais je le regrette" (Odile)
Odile l'admet : sa relation avec Benjamin est fusionnelle. Et elle a notamment décidé de participer à "Qui veut épouser mon fils ?" (sur TF1) pour tenter de le laisser s'évader du nid. Si elle dit s'être amusée, elle déplore qu'on la fasse passer pour une "emmerdeuse" et son fils pour un "idiot".

- Pourquoi avez-vous participé à cette émission ?
Odile : Benjamin me l'a demandé et j'avais envie de lui faire plaisir. Nous sommes très proches, très complices. Peut-être un peu trop... J'ai senti que cette expérience était très importante pour lui. C'était une manière de se faire connaître dans son métier (il est styliste, ndlr).

- Cette subite notoriété lui sert-elle ?
Odile : Nous ne sommes qu'au début de l'aventure... Il travaille toujours à la maison, mais il est souvent sollicité pour des photos.

- Donc, il n'est pas encore casé ?
Odile : (Rires.) Bien tenté, mais vous ne saurez rien ! Il faut suivre l'émission jusqu'au bout pour en connaître le dénouement.

- Êtes-vous contente de connaître votre quart d'heure de célébrité ?
Odile : Je m'en fiche ! Je n'ai pas besoin de la télé pour m'éclater.

- Êtes-vous aussi castratrice dans la vraie vie ?
Odile : Pas du tout. C'est la production qui me fait passer pour une emmerdeuse. Dommage. Sur Internet, c'est ma fête, et celle de Benjamin, qui passe pour un idiot. Ça gâche un peu le plaisir.

Vous êtes sans cesse à le surveiller...
Odile : On me l'a demandé! À la maison, Benjamin fait ce qu'il veut, ce n'est plus un gamin. Je crois que, pour l'émission, il était important de me montrer inquiète. J'ai joué le jeu, mais je le regrette aujourd'hui.

- Et quand vous partagez le même lit ?
Odile : Mais je ne couche pas avec mon fils ! Pour le tournage, nous n'avions droit qu'à une chambre par couple de participants, la crise sans doute ... (Rires.)

- Que votre fils soit dans l'émission pour représenter la communauté gay ne vous gêne pas ?
Odile : Si cela peut faire avancer les choses... Chez nous, la porte est toujours ouverte et nous recevons les amis de Benjamin. Tout le monde se sent bien. J'espère que les gens comprendront que les homos ne sont pas des personnes à part. Il faut être ouvert d'esprit."
Propos recueillis par Patrick Cabannes LA PROVENCE


Karyn se lache
Dans Ici Paris Karyn, prétendante du macho Giuseppe bave pas mal sur le fils en question : " Tout ce qui me déplaît : vulgaire, trop sûr de lui, narcissique, horriblement macho. [...] D'entrée, il avait tout faux. Je me suis promis que si j'allais jusqu'au bout, je lui en collerai une ! Il sautait vraiment sur tout ce qui bougeait. Même un mouton à cinq pattes lui aurait convenu et bien qu'il ait osé être violent avec [les candidates], certaines filles pensaient toucher le gros lot en acceptant tout "
Mais aussi les autres jeunes femmes : "Je n'aime pas les rapports de jalousie ni parler cul, fric ou chiffon. J'étais sidérée ! Des écervelées, des bimbos, il y avait de tout, y compris stripteaseuses et gogo danseuses ! Je ne dis pas que c'était toutes des idiotes mais je n'avais rien en commun avec ces nanas. Il y a d'ailleurs eu des clashes [...] C'est dur de passer autant de temps avec des gens qu'on n'aime pas. Elles étaient toutes là à se jeter sur les mecs comme sur des morceaux de viande. Et avec une vénalité ahurissante."
Elle explique ensuite qu'elle a fait le programme car : "Je suis comédienne et sentais que leur reality show serait bien plus du show que de la réalité, j'ai joué le jeu".



Alban : "Cindy a un très beau corps, mais…"
L’un de nos cinq fils à maman en quête de l’âme sœur s’explique après avoir traité Cindy, une de ses prétendantes, de « travelo ».
Le premier épisode, la semaine dernière, a rassemblé 3,7 millions de curieux. Il faut dire qu’entre Giuseppe le macho, Florent le beau gosse sûr de lui, Benjamin l’homo assumé, Alexandre le coincé, la nouvelle télé-réalité de TF1, qui vise à marier des garçons au profil de « Tanguy », ne manque pas de spécimen. Ce n’est pas Alban, le charmeur invétéré, qui dira le contraire. Le jeune homme revient avec sa maman sur son aventure.

France-Soir - Pourquoi avoir décidé de participer à cette aventure ?
Alban - J’ai trouvé l’idée plutôt sympa, sachant que j’étais célibataire. Mais sachez que je ne suis en aucun cas désespéré. A 29 ans, je n’ai pas l’horloge biologique qui tourne comme les femmes.

F.-S. On a même l’impression que vous êtes un séducteur dans l’âme…
A. J’aime draguer et séduire. Mais aujourd’hui j’aimerais me poser. Je rencontre pas mal de personnes dans le milieu de la nuit. Malheureusement, rien de sérieux. C’est de plus en plus rare de trouver des personnes qui veulent construire quelque chose.

F.-S. Chantal, Alban, quelle relation entretenez-vous au quotidien ?
Chantal - Nous nous entendons très bien. Mais il y a des limites à notre fusion. J’essaIe de ne pas trop m’immiscer dans sa vie privée. Même s’il m’arrive de lui faire part de mon ressenti quant à ses petites copines.
A. Et il s’est révélé qu’elle avait toujours raison.

F.-S. Alban, votre maman vous apporte encore votre jus d’orange au lit le matin. Prendre votre indépendance, ce n’est pas votre priorité ?
A. Malgré ce détail, je suis plutôt autonome comme garçon (rire). Je me suis aménagé un petit studio dans la maison de mes parents. J’y accède par une autre entrée. Je fais le lavage, le repassage… Je ne suis pas un vrai « Tanguy ».
C. Le verre de jus d’orange, c’est une habitude depuis qu’il est petit. Je veux être sûr qu’il ne part pas sans rien dans le ventre le matin. Je ne lui apporte pas toujours au lit, parfois c’est sous la douche ou dans l’escalier.

F.-S. Alban, dans le premier épisode, vous choisissez de garder Cindy malgré la volonté de votre maman. Etait-ce de la provocation ?
A. Absolument pas. Je suis plutôt indécis dans la vie. Et puis je suis d’un naturel curieux. Je me posais des questions sur elle, j’ai voulu en savoir plus.

F.-S. Revirement de situation : votre maman apprécie Cindy. De votre côté, vous la traitez de « travelo »…
A. Je ne suis pas étonné que ma mère l’apprécie. Elle a beaucoup de qualités. C’est un personnage. Quant au côté travelo, j’ai effectivement eu des doutes très tôt. Elle a un très beau corps mais quelque chose de masculin. Toutes ces interventions chirurgicales m’ont semblé bizarres. J’ai essayé de lui poser discrètement la question, mais finalement j’ai joué franc jeu.

F.-S. Avez-vous des doutes, encore aujourd’hui, sur son identité ?
A. Joker !

F.-S. Pourtant, ces deux premiers épisodes tournent autour de Cindy. Les autres jeunes femmes ne vous ont-elles donc pas intéressé ?
A. C’est le montage qui veut ça. J’ai beaucoup discuté avec les autres filles. Il faut savoir que je suis plutôt tactile et que j’ai le compliment facile, mais Cindy est loin d’être celle qui me plaisait le plus… Quand je l’ai vue arriver, je me suis même demandé si la production ne m’avait pas joué un mauvais tour.
FRANCE SOIR Ingrid Bernard 05/11/10

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Par : Nico

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