News Pékin Express

* Dans le quatrième épisode de Pékin Express 2018, les candidats ont dû participer à un jeu avec des pastèques. Mais l'utilisation des fruits a choqué certains internautes... Stéphane Rotenberg a alors répondu à un internaute qui lui demandait "J'espère que les pastèques sont périmées ou immangeables ?", lui a t'il demandé "Oui bien sûr ! Pastèques largement périmées. On le voit à leurs tâches et à leurs mollesses. Elles explosent très facilement" a répondu l'animateur.
* Mais que fait Stéphane Rotenberg pendant que les candidats de Pékin Express tentent d'arriver au bout de leur course infernale le plus vite possible ? En réalité l'animateur se dépêche d'arriver au point d'arrivée avant les candidats. "C’est le stress de chaque course. Après chaque lancement d'étape, à la fin de ses plateaux, il fonce avec une voiture (mise à disposition par la production) sur la fin de course. Il a souvent peu d’avance sur les candidats. On stresse qu’il se fasse rattraper par les candidats. S’il a une heure d’avance, on est content mais c’est rare..." confie à TELE LOISIRS Thomas Barnéoud, le directeur artistique de Pékin Express. Cependant les changements technologiques ont changé notre manière de vivre la course confie Thierry Guillaume, le producteur du jeu. Avant on communiquait par téléphone. Maintenant, on suit les binômes en temps réel sur une tablette. On sait parfaitement où ils sont à chaque minute. On n’avait pas cela il y a 4 ans".
* Les candidats ont le droit à un euro par jour et par personne mais on ne les voit jamais dépenser cet argent. Pourquoi ? Tout simplement parce que la production – qui a des centaines d'heures d'images par étape – a choisi de ne pas montrer ces séquences. Les candidats sont tellement pris dans leur course que, souvent, ils ne pensent pas à faire des achats. Et s'ils le font, ces moments de break ont été jugés peu intéressants précise TELE LOISIRS
* Les candidats ne sont pas obligés de rendre leur 1€ quotidien à la production s'ils ne s'en sont pas servis et peuvent ainsi cumuler les euros non utilisés.
* Avec quatre jours d’avance sur les candidats, c’est un belge de 61ans membre de la prod Geerts Mannaerts, qui construit et met en place les jeux d’immunité, très axés sur la culture locale cette saison. « On a pris contact avec la population pour connaître en amont les coutumes, activités et spécialités alimentaires du coin », Il a à sa disposition deux assistants et compte sur les habitants des villages traversés ou d’autres membres de la production pour tester ses épreuves jusqu’au dernier moment. (Le parisien)
* Le garde du corps 100 kg pour 1,89 m, chef de la sécurité de 48 ans est chargé de surveiller les candidats. La nuit, il reçoit une photo de l’endroit où sont logés les candidats (envoyée par l’équipe de la production qui les filme) et se rend sur place pour vérifier la sûreté des lieux précise Le parisien
* L’urgentiste de la prod, veille sur la santé des candidats, avec une attention particulière portée à Maurice, 80 ans, dont il mesure fréquemment le rythme cardiaque. « Mon quotidien, c’est surtout de la bobo-traumato, précise-t-il. On a des contusions, des coups de soleil, des déshydratations, des petites plaies, des ampoules ou des problèmes gastriques. » À bord de son van, un électrocardiogramme et deux défibrillateurs, mais aussi des anesthésiques et de la morphine. (Le parisien)

* Deux duos de secours étaient en permanence sur les lieux du tournage pour pouvoir remplacer, au pied levé, ceux qui abandonneraient révèle Télé loisirs
* Chaque tandem était suivi par un cadreur et un journaliste. Lors des trajets en auto-stop, il fallait donc trois places dans le véhicule, deux pour les participants et une pour leur cadreur. Le journaliste, lui, montait dans une voiture avec chauffeur, louée par la production.
* Dans le premier épisode, Vanessa et Audrey coulent lors d'une course en pirogue. Ce que vous n'avez pas vu, c'est que les collègues toulonnaises n'ont pas été les seules à prendre l'eau. Le cameraman et le journaliste qui les accompagnaient ont aussi bu la tasse. Résultat : une caméra noyée !
* Pendant la course et leur jour de repos, les candidats sont encadrés par quelqu'un qui veille à leur santé et leur bien-être (hydratation, nourriture, repos…). Cette personne n'est autre qu'Adrien, l'expert de Wild, la course de survie
* Lors du circuit en Malaisie, les pluies ont endommagé caméras, perches et micros. Afin de pouvoir les conserver en état de marche, la production devait dénicher, chaque soir, un hôtel avec des sèche-cheveux. L'équipe de tournage faisait ainsi souffler de l'air chaud sur les appareils une à deux heures par jour !
* Très strictes en matière de sécurité, les autorités japonaises ont exigé de connaître, au quart d'heure près, le circuit de chaque équipe. Résultat : certaines étapes ont du être aménagées, voire annulées.
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |