News Nouvelle Star 2010








François, comment te sens-tu à l’approche de la finale de la « Nouvelle Star » ?
J’ai très peur. Les enjeux sont très importants, que je gagne ou que je perde. Je me suis donné un an pour réussir dans le milieu de la musique. Si je perds, c’est peut-être un retour à la case départ. Si je gagne, je pourrai monter à tous ce que je vaux, mes morceaux, ma musique.

J’ai tout donné lors de la demi-finale mercredi. Je voulais partir sur une bonne note, je pensais vraiment partir ce soir-là. Je ne m’étais pas préparé à rester. Jeudi et vendredi, j’étais épuisé et aphone… J’ai pris du retard dans les répétitions. Après le prime de ce soir, je vais hiberner pendant un mois au moins (rires) !
Penses-tu avoir une chance face à Luce ?
Luce est annoncée favorite depuis le début de l’aventure. Je sais pertinemment que cela sera dur d’affronter ma « petite sœur de cœur » avec qui je m’entends à merveille. Mais je le ferai en prenant mon pied. Je veux finir l’aventure en ayant tout donné, sans avoir de regrets.
Tu as une image de beau brun ténébreux qui commence à te coller à la peau… Comment gères-tu cette nouvelle notoriété ?
J’ai énormément de mal à me dire que je suis connu. Je considère cette notoriété comme étant éphémère. Je n’ai encore rien montré de ma musique, des morceaux que j’ai composés. Je prends le temps de lire tous les mails que l’on m’envoie, même si je n’ai pas toujours le temps d’y répondre ! Ils me procurent beaucoup d’énergie.
Vas-tu faire sortir la « chanteuse » qui est en toi ?
J’assume complètement mon côté féminin ! Pour moi c’est naturel de pleurer, ce n’est pas réservé qu’aux femmes ! Hé les filles, vous n’avez pas le monopole des larmes (rires) ! Marco (N.D.L.R. : Marco Prince, membre du jury de la Nouvelle Star) voulait que je chante du Michel Polnareff…
Cette possibilité n’a pas été retenue ?
Non. Je ne voulais pas trahir mon art. Je n’ai rien cédé à la production, on s’est battus pour chacun des trois morceaux. On a mis sept heures !
Quels sont ces morceaux ?
Je n’ai pas le droit de dévoiler leurs noms. Tout ce que je peux vous dire c’est que je vais interpréter une chanson française primée aux Victoires de la musique cette année, une magnifique ballade rock et un morceau d’un groupe de rock anglo-saxon. Je serai accompagné par seize violons. Vous n’allez pas vous ennuyer, promis !
Ouest-France 14 JUIN 2010


A 16 ans, le Strasbourgeois n’est pas qu’un zébulon.
France-Soir : Vous aviez déjà chanté devant un public avant Nouvelle Star ?
Benjamin : La première fois, c’était au collège. Pendant deux ans, j’ai tenu le rôle principal d’une comédie musicale. L’an dernier j’ai donné un concert avec un copain bassiste, devant 300 personnes, pour une association.
Votre âge est-il un handicap face à des candidats plus expérimentés comme Lussi ?
L’expérience des autres m’intimide. Mais les quatre bleus que j’ai récoltés sur les premiers primes ont boosté mon ambition. Au casting de Strasbourg, les sept filles avant moi pleuraient parce qu’on leur avait dit qu’elles étaient « trop jeunes ». J’ai hésité à donner mon âge… J’avais la pression ! Mais le jury a accroché. Ce n’est pas parce qu’on est jeune, qu’on a moins de talent.
Il paraît que beaucoup de filles attendent Ramon devant l’hôtel… Pas trop jaloux ?
Il y a des fans pour tout le monde. Séduire les filles, ce n’est pas mon but. Pour l’instant, elles n’en ont pas après moi et tant mieux.
Les boucles rousses, ça vous donne un côté angelot… Vous seriez prêt à les couper pour faire plus vieux ?
Non, je ne changerai rien. J’adore mes boucles !
FRANCE SOIR 4 MAI 2010

Envie d'en savoir un peu plus sur Annabelle, candidate de la Nouvelle Star 2010 ? Lisez sans tarder son interview...

Mercredi soir, Annabelle sera de nouveau sur la scène de Baltard pour tenter de convaincre le jury et le public de la Nouvelle Star 2010. Pour le moment, elle ne fait pas l’unanimité auprès du premier, mais le second la soutient avec ferveur. Comment le vit la principale intéressée ? Quelles sont ses motivations, ses objectifs ? Voici quelques éléments de réponse dans son interview ci-dessous…
Cela fait deux primes que tu cumules les rouges de la part du jury. N’est-ce pas trop déstabilisant ?
La première fois, c’est vrai, je l’ai mal vécu. J’ai trouvé ça très violent. Mais les trois rouges de la semaine dernière m’ont moins affectée. J’ai l’impression que le jury s’acharne contre moi, qu’il ne m’écoute pas. J’ai essayé de proposer quelque chose de différent lors du dernier prime, quelque chose qui n’était pas dans mon registre et j’ai l’impression qu’ils ne l’ont pas vu. Certaines critiques qu’ils ont émises, je ne les ai pas trouvé valables. Quand Philippe Manoeuvre a notamment dit que j’avais chanté faux du début à la fin et que je lui avais donné mal à la tête, je ne suis pas d’accord. J’ai revu ma prestation et je n’ai pas trouvé que j’avais chanté faux.
Peux-tu nous expliquer ce qui t’a poussé à passer le casting de la Nouvelle Star ? Devenir chanteuse, est-ce vraiment ton rêve ?
Je chante depuis que je suis toute petite. Chez moi, c’étaient mes sœurs aînées qui chantaient et je voulais les copier. C’est comme ça que j’ai commencé. Actuellement, je suis vendeuse dans un magasin de vêtements mais je chante dès que j’en ai l’occasion. Je compose et j’ai mon logiciel à la maison. Je rêverais de ne vivre que de la musique et que Baltard me permette peut-être de faire un album.
Ta famille et tes proches ont l’air d’être particulièrement unis derrière toi. C’est important pour toi d’avoir leurs soutiens ?
Mes parents m’ont toujours soutenue et encouragée. Ils ne se sont jamais opposés à ma passion. Même quand j’ai arrêté mes études pour la musique, ils étaient là, avec moi. Mes amis m’entourent également beaucoup. Ils me disent de ne pas me laisser abattre par les remarques négatives du jury.
Et as-tu également un chéri qui te pousse à donner le meilleur de toi-même ?
Oui. C’est d’ailleurs lui et ma meilleure amie qui m’ont poussée à participer à la Nouvelle Star. Cela fait un an que nous sommes ensemble.
Tu as beaucoup été critiquée par le jury, mais sur le net certains commentaires à ton égard ne sont pas tendres non plus. Les as-tu lus ?
J’évite de les regarder. Un jour j’ai eu le malheur de lire ce qui était écrit sur moi et je me faisais bien descendre. Je ne veux pas que cela m’influence, que cela me touche et que cela me démoralise pour le reste de l’aventure, alors, maintenant et jusqu’à la fin de ma participation, je ne regarderai plus.
A l’inverse as-tu des remarques positives qui t’ont flattée, marquée ?
Récemment, j’ai croisé une dame qui a crié mon nom et m’a dit à quel point elle avait adoré ce que j’avais fait et me remerciait. J’étais un peu choquée. C’était assez gênant.
Pour finir, as-tu un message que tu souhaiterais faire passer à ceux qui t’apprécient et qui liront ton interview…
Je voudrais dire un grand merci à tous ceux qui m’ont soutenue, me soutiennent et me permettent de continuer la Nouvelle Star.
Par A-L Lecointre TELE 7 JOURS

Elle s’appelle Luce et fait le show dans cette promotion 2010. Ce petit bout de femme, qui s’était présentée au casting avec sa moustache pour blaguer, a fini par prendre le concours très au sérieux. Entretien
Chaque année, on attend le petit miracle. Malgré les excellentes prestations d’Amandine Bourgeois et la rebelle attitude de Soan l’an passé, on court toujours après l’esprit Nouvelle Star, celui qu’avaient su insuffler Christophe Willem puis Julien Doré. Luce, 20 ans, originaire de Perpignan, a de la présence sur scène et le don, si précieux, de savoir détourner les chansons. Mais aussi du charme, de la fraîcheur et un grain de folie. A tel point que le juré André Manoukian lui a collé le statut, un peu lourd à porter, de favorite dès le premier prime… Qui se cache derrière cette candidate déjantée ?
France-Soir : Vous avez cartonné aux deux premiers primes. Dans quel état d’esprit abordez-vous le troisième ?
Luce : J’envisage chaque prime comme le dernier. Même si j’adore être sur scène, je garde mon stress. C’est affreux, il ne part pas ! Mais c’est du bon stress.
La chanson Dream a little dream of me, de The mamas and the papas, la semaine passée, c’est plus votre registre que M ?
Le répertoire de M, je le connais par cœur, ce qui n’est pas le cas de The mamas and the papas. Du coup, c’était plus facile de me détacher de la version originale de Dream a little dream of me. Comme j’ai du mal avec les chansons d’amour, j’y ai mis ma touche personnelle : un mélange d’humour et de sensualité. Chaque chanson est un challenge, sur celle-là c’était le fait qu’elle soit trop statique.
André Manoukian a parlé de miracle après votre première prestation. Il vous a comparée à Julien Doré et Christophe Willem. Un sacré compliment !
Oui, ça me fait très plaisir, car c’est sincère. J’ai eu beaucoup de chance. L’essentiel est que je me donne à fond, peu importe le résultat. Je veux partir sans regrets.
Le juré Marco Prince vous a soupçonnée de fausse modestie… Pour lui, vous êtes consciente de votre talent.
Dans la vie, je suis une vraie modeste. Je prends beaucoup de recul sur tout ce que je fais. Et je n’ai jamais pris de cours de chant. Je n’ai aucune technique vocale.
On a du mal à croire que vous n’ayez jamais chanté sur une scène avant Baltard…
Même si j’ai fait quatre ans de théâtre, je n’ai aucune expérience de la scène musicale. Mon premier public, c’est le jury ! J’ai découvert que je pouvais et que je savais chanter. Depuis, je prends du plaisir.
Qui redoutez-vous parmi vos concurrents ?
Je n’ai pas l’esprit de compétition et je suis là pour apprendre. Mais si vous voulez vraiment savoir : Annabelle est la chanteuse à voix du groupe. C’est une diva ! Je m’imprègne de ce qu’elle fait, j’essaie de choper son énergie. Quant à François, il a beaucoup d’humour et une voix puissante.
Quels sont vos points faibles ?
Je ne sais pas gérer ma voix. Elle est cassée… je fume trop ! Mais je sens déjà que j’ai progressé. A part ça, j’ai un fort caractère, je suis franche.
Quelle chanson ne vous verriez-vous pas chanter ?
Du Patrick Sébastien. Heureusement, ce n’est pas le genre de l’émission.
Qu’aimeriez-vous chanter au contraire ?
Du Iggy Pop, du Serge Gainsbourg. Ou du Catherine Ringer, mais ça m’étonnerait qu’on nous le propose car on a déjà chanté C’est comme ça au théâtre.
Si on vous compare à Beth Ditto, la chanteuse de Gossip, ça vous flatte ?
C’est une femme qui envoie du bois ! Mais je n’ai pas sa voix. Et les comparaisons ça ne me branche pas.
A-t-on une chance de revoir la moustache que vous portiez au premier casting ?
Elle me trotte dans la tête. Je suis pour le port de la moustache au féminin. Maintenant, je ne suis plus là pour rigoler et en plus, c’est impossible.
On vous imagine déjà en finale face à Benjamin…
Benjamin oui, mais sans moi ! C’est juste impossible. Beaucoup de gens m’envoient de gentils messages d’encouragement. Parfois, je pleure, tellement tout ça est démesuré. Il n’y a pas si longtemps, j’étais anonyme…
Si vous êtes éliminée ce soir, que faites-vous ?
Je reprends mes études d’infirmière. Je suis en première année. Devenir chanteuse, ce n’est pas dans les projets. Et je sais qu’enlever l’étiquette Nouvelle Star prend du temps. Mais je ne ferme pas les portes, je la laisse entrouverte.
FRANCE SOIR Propos recueillis par Gaëlle Guitard 28 AVRIL 2010

La seule rescapée du casting de Marseille a bluffé le jury et le public. Mais elle ne s'imagine pas aller au bout de l'aventure...

C'est l'incontestable révélation de la Nouvelle Star 2010. Luce, cette étudiante infirmière à Montpellier qui s'était présentée au casting de Marseille pour apparaître dans le "best of des casseroles", fait aujourd'hui partie des favorites de cette huitième saison du télé-crochet de M6. Terminé les déguisements pour la rouquine de 20 ans un brin loufoque, qui avoue sans complexe "fantasmer sur les barbes et les moustaches". La jeune Catalane aborde sans artifice la suite de l'aventure, même si elle reconnaît être dépassée par cette soudaine notoriété.
- Racontez-nous ce pari fou qui vous a conduite du délire entre amis à la scène de Baltard.
Luce : Lorsqu'on a connu les dates des castings avec ma copine Odette, on a simplement voulu passer un week-end à Marseille pour faire la fête. On voulait profiter des auditions pour faire une blague à des amies et à nos familles. La moustache et le badge "J'aime les poils", c'était pour être certaine de passer dans la séquence des "immanquables". Au final, la blague n'a pas marché, encore aujourd'hui je ne comprends ni comment ni pourquoi je suis là.
- Vous voulez dire que vous ne vous étiez jamais rendue compte avant que vous saviez chanter ?
Luce : Je n'ai jamais chanté de ma vie si ce n'est sous la douche. Je n'ai jamais pris de cours, je n'ai d'ailleurs aucune technique vocale. Je ne sais pas du tout placer ma voix, c'est d'ailleurs pour ça que je fatigue si vite. J'apprends à le faire avec la coach vocale de l'émission, Nathalie Dupuis. Je prends tout ce que je peux prendre...
- On vous sent tout de même particulièrement à l'aise sur scène...
Luce : J'ai fait du théâtre, ça m'a sûrement aidée. En ce qui concerne le chant, j'ai eu le déclic lors de l'épreuve du trio, au théâtre. Depuis, je suis comme "hapée" par mes chansons. J'y trouve un moyen de me montrer telle que je suis. Au théâtre, je pouvais me cacher derrière un personnage. Avec la musique, je ne joue pas, je suis moi-même. Après, il y a la scène, le public, et toutes les sensations sont multipliées. Je suis joueuse, j'essaye de m'amuser.
- Ce look très coloré, ce n'est donc pas pour entretenir l'image que vous avez donnée au casting ?
Luce : Pas du tout, je m'habille toujours comme ça. Après, oui, les moustaches c'était pour être repérée. C'est d'ailleurs pour ça que je les ai enlevées au théâtre. Je voulais que la blague se termine et que l'on me voit telle que je suis. J'ai tout à fait conscience de ne pas rentrer dans les "standards" : je suis ronde, excentrique. Mais je suis contente d'être décalée.
- Dès le premier prime, vous avez reçu une pluie de louanges de la part de jury, qui vous a comparée à Christophe Willem et Julien Doré...
Luce : Tout ça m'a beaucoup touchée. C'est génial de recevoir l'approbation de professionnels, de voir que le public vote pour moi... Mais ça ne change rien à ce que je donne. Ce qui compte, c'est mon intention. Je cherche avant tout à me faire plaisir et je continuerai, que je reçoive du bleu ou du rouge.
- Vous avez répondu à la demande en mariage en direct de Marco Prince ?
Luce : Bien sûr que je suis d'accord pour l'épouser ! D'ailleurs, je réponds oui à toutes les demandes en mariage. Je suis très ouverte (rires).
- Sérieusement, comment-vivez vous cet emballement médiatique autour de vous ?
Luce : C'est impressionnant ! Hallucinant même. Je n'ai pas l'impression de mériter tout cet engouement. J'ai eu la chance de faire quelques bonnes prestations, mais je n'ai encore rien prouvé. Je dois continuer à travailler sérieusement.
- Quelles sont vos références musicales ?
Luce : Je touche un peu à tout. Sur la scène française, j'écoute beaucoup M, Tété, Gainsbourg ou encore Cali, qui est de chez moi (ils sont tous les deux nés à Perpignan, ndlr). En anglais, je suis très Rolling Stones, les Beatles, Queen...
- Quels candidats vous ont bluffée dans les précédentes éditions de la Nouvelle Star ?
Luce : Avant tout Julien Doré. C'est un artiste très complet. C'est lui qui a changé la Nouvelle Star. Il a rendu l'émission crédible grâce à sa personnalité et sa liberté d'interprétation. J'apprécie aussi Soan. Lui aussi a su amener sa touche personnelle, avec son caractère affirmé. Il a su arracher l'étiquette qu'on voulait lui coller.
- Comme eux, vous allez chercher à vous démarquer des autres pour séduire les téléspectateurs ?
Luce : Je ne cherche pas à surprendre le public. Je cherche simplement à m'améliorer et à amener les gens avec moi.
- Vous avez montré votre fragilité après les épreuves du théâtre et du premier prime. Vous sentez-vous la force d'aller au bout de l'aventure ?
Luce : Pour le moment, je ne gère pas bien mes émotions. Toute cette pression qui me tombe dessus est énorme. Je suis une fille très sensible. Il suffit que je manque un peu de sommeil et je n'existe plus. Donc, devenir la Nouvelle Star, je n'y pense pas. J'essaye de garder du recul par rapport au contexte pour ne pas prendre la grosse tête. Je ne veux pas tomber de trop haut.
- Quels sont vos plus sérieux adversaires ?
Luce : Je n'envisage pas l'aventure comme une compétition. Pour l'instant, l'ambiance entre nous est géniale. Je vis de très bons moments avec Annabelle avec qui je partage la chambre, mais également avec Lussi et Stéphanie, mes partenaires du trio. Même si on nous a prévenus que des tensions risquaient d'apparaitre au fil des semaines, pour l'instant je profite. Et puis, il y a tellement de bons chanteurs dans ce groupe...
- Camélia Jordana, la révélation de la dernière édition, nous a déclaré qu'elle vous voyait déjà en finale contre Benjamin...
Luce : (surprise) Ouah... Venant de sa part, c'est émouvant. Elle était à ma place il y a un an. C'est gentil, mais je pense qu'elle se trompe...
Recueilli par Anthony Jammot Publié le mercredi 21 avril 2010 dans LA PROVENCE

Marine, repêchée de justesse par le jury de la Nouvelle Star , se produira mercredi soir pour la seconde fois sur la scène de Baltard. Comment aborde-t-elle l'enjeu ? Qu'elles sont ses buts, ses motivations ? Réponses...
Tu as été repêchée sur le fil par le jury lors du premier prime. Comment te sens-tu maintenant à l’approche du second prime ?
On a tous des hauts et des bas. J’ai repris confiance. J’ai la chance d’être encore là. Je vais plutôt bien.

J’étais stressée, j’avais beaucoup de pression, pourtant, j’ai assumé la chanson. C’est une partie de ma personnalité que j’ai choisi de montrer. Moi, j’ai trouvé que j’étais moi, que c’était sympathique. J’aurais pu faire mieux, j’aurais pu faire pire. Mais j’ai reçu le message et je prépare quelque chose de complètement différent pour le prochain prime. C’est important d’être attentif aux remarques du jury.
Justement dans ce jury, il y en a qui croit beaucoup en toi, c’est André Manoukian . Comment l’expliques-tu ?
Je pense que c’est plus une question d’univers jazzy… J’ai eu son soutien, mais ce n’est pas acquis. Je sais que je lui dois beaucoup pour mon repêchage lors du prime. Je pourrais peut-être lui offrir un dîner pour le remercier !
Pour le prochain prime, tu viens de nous dire que tu envisageais quelque chose de complètement différent. Doit-on en comprendre que tu ne comptes plus jouer la carte de la séduction ?
Le côté séduction c’est 5 % de moi. Mon univers, ce n’est pas ça. C’est beaucoup plus glauque, beaucoup plus torturé mais je ne pouvais pas interpréter ce titre de manière glauque. Cela ne s’y prêtait pas. Je ne vais pas dire non plus que je n’aime pas séduire, mais ce n’est pas ma force, ce n’est pas mon registre. Ce second prime sera une chance de montrer qui je suis.
Pourquoi as-tu décidé de participer à la Nouvelle Star ? Ton but ultime est-il la victoire ?
J’essaie de vivre l’aventure au jour le jour. Je vis d’un mercredi sur l’autre et c’est difficile pour moi. C’est un vrai challenge car j’aime savoir où je vais. Aller au bout de l’aventure n’est pas mon but. J’attends de cette aventure qu’elle me permette de rencontrer les bonnes personnes. Je ne vais pas le cacher. Le but c’est de se faire connaître. La télé est un incroyable accélérateur.
Comment se passe la cohabitation avec les autres candidats ?
Je dois dire que je l’appréhendais beaucoup. Je suis quelqu’un d’assez timide. Pendant les castings, je me suis tenue en retrait. J’étais concentrée. Je ne suis pas allée vers les autres. Mais, tous les 10, on s’entend vraiment bien. Il n’y a pas de clan, pas de concurrence. On a chacun des univers différents. Cela joue beaucoup sur le moral. On est 24 heures sur 24 ensemble. C’est un peu une ambiance colonie de vacances ! Moi qui ai travaillé avant au Club Med, c’est un peu pareil. Au-delà de l’aventure musicale, la Nouvelle Star c’est aussi une incroyable aventure humaine.
Par A-L Lecointre - Première.fr


Stéphanie, notre seule compatriote à La Nouvelle Star , compte bien mettre le feu à Baltard, ce soir...
BRUXELLES Elle fusionne look d’enfer avec sympathie comme si Kurt Cobain ou Chris Cornell, son idole, partageaient un duo avec Zazie. Stéphanie, notre Blondie herstalloise de 29 printemps, sa longue crinière dreadlockée , ses tatouages, ses piercings, mais surtout son sourire et son énergie folle, débarquera, dès ce soir, à Baltard, pour le premier prime de cette saison de La Nouvelle Star . Après avoir tapé dans l’œil de PhilMan (“Mon chouchou, évidemment” ) & Co, notre compatriote ne manque pas d’atouts. Découverte…

“Je suis fière ! On ne va pas se mentir : j’allais là pour ça. Ce n’est pas quelqu’un qui m’a inscrite, mais moi qui me suis présentée aux castings, avec Baltard en ligne de mire. Mais il y a tellement de voix, tellement de personnalités et d’univers différents que je ne peux qu’être fière d’être encore présente à ce stade de l’aventure.”
Stressée ?
“Oui, il y a du stress. Mais il est surtout lié au fait qu’un tiers des candidats va partir. Et voir 5 d’entre nous qui s’en vont, ça va faire bizarre. Entre la fin des sélections et Baltard, je suis restée en contact avec pas mal de candidats. Dont Lussy, surtout, que j’avais croisée une ou deux fois sur l’un ou l’autre festival avant l’émission. Faut dire que le milieu du metal n’est pas ce qu’il y a de plus féminin... On se repère donc relativement vite, entre nanas. Je vous assure que je ne bluffe pas quand je dis qu’on a tissé de vrais liens, très vite, entre candidats. La Nouvelle Star, c’est un accélérateur de sentiments.”
La Nouvelle Star, c’est toi ?
“Je ne me projette pas si loin. Je vais prendre prime par prime, en tentant d’aller le plus loin possible. De toute manière, c’est le public qui a les cartes en main. Même si je n’étais pas une mordue de l’émission, je sais que ce n’est pas forcément le meilleur chanteur qui gagne. Mais aussi celui qui a l’univers, l’humour, la personnalité qui charmera le plus le public… Si je devais être rattachée à un gagnant de l’émission ? On me compare beaucoup à Soan. Mais je préfère Christophe Willem : c’est lui qui a vendu le plus !” (Rires)
Quels candidats crains-tu ?
“Je respecte tout le monde, mais je ne crains personne. Je ne suis ni quelqu’un qui se repose sur ses acquis, ni qui se fait du mouron inutilement…”
As-tu peur d’être enfermée dans les clichés que pourrait véhiculer ton image ?
“Je pensais que ces stéréotypes étaient morts depuis longtemps. Je constate que non. Pourtant, on peut faire du rock sans être déprimée et droguée. Et c’est pas parce qu’on est percée et tatouée qu’on est chauffeur routier et qu’on n’a ni amis, ni proches, ni joie de vivre…”
La Nouvelle Star, c’était ton premier casting solo ?
“Oui. Je chante depuis 15 ans, mais j’ai pratiquement toujours fait de la musique en groupe. Je sais donc à quel point les portes des maisons de disques sont fermées depuis dix ans. À l’audition, je me suis dit : Steph, vas-y à fond. Voilà pourquoi j’ai envoyé le bois sur Jacques Brel. Après coup, j’aurais peut-être dû y mettre plus de retenue. Mais c’est passé ! Là, depuis peu, on a formé un nouveau groupe, qui s’appelle Nolia. Ce qu’on fait ? Du rock un peu couillu, on va dire… bien que j’aime tous les genres, excepté, peut-être, le raï et la country. Mais même si on me colle du Cheryl Cole ou du Faudel, je serai ravie de relever le défi !”
Interview > Alexis Carantonis © La Dernière Heure 2010


J’ai 19 ans et j’habite dans les environs de Bruxelles. Je suis en secondaire dans une école néerlandophone. Je suis donc bilingue. J’ai commencé la chanson parce que des proches m’ont affirmé que j’étais douée. Je me suis dit “ pourquoi pas moi ? “. J’ai passé le casting de “ La Nouvelle Star “ pour la deuxième fois, cette année (la première était en 2008 NDLR). La première année, j’ai été jusqu’à l’étape du théâtre. Je suis donc ravie de retourner à Paris.
Les auditions de Bruxelles se sont bien déroulées ?
J’ai eu des commentaires très positifs. Je suis flattée qu’André Manoukian, dont j’admire l’univers musical (Adeline admire Amy Winehouse, Alicia Keys ou encore Edith Piaf mais se dit ouverte à tous les styles musicaux, y compris...le country), ait été conquis. Marco Prince a affirmé que j’étais ce qu’il cherchait chez une chanteuse. Seule Lio a dit non. Et encore, c’est parce qu’elle estimait que je n’avais pas encore assez confiance en moi !
C’est vrai ?
Oui, elle a raison. Je suis encore jeune et “ simplette “. Je n’ai pas encore vraiment de personnalité, encore moins musicale. Je cherche et ne me décourage pas. J’ai le temps. J’apprends petit à petit. Par exemple, La Nouvelle Star m’a fait comprendre que, pour réussir dans le milieu du spectacle, le talent ne suffit pas. Il faut un petit quelque chose en plus, dans la personnalité ou le physique, dans la manière de s’habiller. C’est comme ça qu’on se fait repérer, pas en chantant juste.
Que pensez-vous de Soan, le grand gagnant de l’année passée ?
Honnêtement ? Je n’ai pas compris. Je n’aime ni son univers musical, ni sa personnalité. D’ailleurs, je n’ai pas adhéré au casting de l’année passée. Je ne sais pas ce qui est passé par la tête du jury, mais, à, part Camélia Jordanna, j’ai trouvé que le niveau n’était pas digne de “ La Nouvelle Star “. J’étais vraiment déçue. J’adore les autres anciens gagnants : Julien Doré, Amandine Bourgeois et surtout Christophe Willem. Je les trouve géniaux. Mais l’année passée... Non décidément, ce n’était un bon cru. Espérons que, cette année, il soit meilleur.... Mais je n’en doute pas !
LESOIR.BE Interview. Letizia Virone © Photos Dominique Duchesnes
Le site recheche des rédacteurs pour écrire des résumés des émissions françaises "The Voice, Koh Lanta, Nouvelle star, Garde à vous..." et des talent-shows étrangers... Si vous etes interressé laissez un commentaire ou envoyer un mail! Merci d'avance ! On a besoin de vous !!!
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |