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Les jurés & producteur d'X Factor m6 se confient en ITW : Willem

Christophe Willem, Veronic Dicaire, Henry Padovani et Olivier Schultheis les 4 nouveaux jurés de X-Factor sur M6 ont commencé à s'exprimer dès l'automne 2010 sur leur role de juré.... Voici toutes leurs interviews avant l'émission

Christophe Willem, confidences d'un juré à TVMAG
Christophe Willem, pourquoi avoir accepté d'être membre du jury de X Factor ?
Je suis fan de ce concept, que j'ai eu l'occasion de voir à plusieurs reprises en Angleterre. Ce qui me plaisait, c'est de ne pas être simplement dans un jury pour dire « oui » ou « non », mais de pouvoir m'investir pleinement auprès des candidats, de les aider à aller le plus loin possible.

Vous êtes issu d'un autre télé-crochet, Nouvelle Star. Quel regard posez-vous sur ce genre de tremplin ?
J'ai toujours assumé à 120% d'où je venais. Je ne renie pas mon parcours. Certains m'ont dit que je ne serais peut-être pas à ma place dans une telle émission. Mais je ne me suis pas posé la question, car j'y participe avec sincérité. Le public m'a donné ma chance il y a cinq ans. D'une certaine manière, je le représente aujourd'hui. C'est à mon tour de mettre d'autres artistes en lumière.

Connaissiez-vous les autres membres du jury ?
Pour être franc avec vous, avant de donner mon accord, je voulais savoir avec qui je serais. Je ne connaissais qu'Olivier Schultheis, avec lequel j'avais déjà travaillé sur un album. Je trouve que nos personnalités sont fortes, différentes, mais que malgré tout il se dégage une bonne cohésion dans ce jury.

Cela n'empêche pas parfois des petits clashs, notamment entre Olivier et vous ?
Évidemment ! À partir du moment où l'on est intègre dans ce que l'on fait, on est tous prêts à défendre jusqu'au bout nos idées. D'ailleurs, on se moque de la présence des caméras; on discute d'humain à humain. Pour preuve, lors de ce clash avec Olivier, on a continué à en discuter deux heures après l'émission, dans les loges.

Qu'attendez-vous des candidats dont vous avez la charge (les plus de 25 ans, ndlr) ?
Les trois ont une vraie personnalité et un talent de dingue, votez pour eux ! Je ne veux surtout pas les formater, juste les coacher pour qu'on avance main dans la main vers la victoire.
TVMAG
Henri Padovani à Closer avril 2011



ITW Véronic à PUBLIC Mars et avril 2011



ITW du producteur 13 avril sur la radio VIBRATION



ITW Christophe Willem au 6 9 de NRJ le 12 avril 2011



ITW de la présentatrice Sandrine Corman


ITW à Télépoche de C WILLEM Mars 2011



Christophe Willem : le programme, sa décision d'accepter, l'image que cela va lui donner etc...
Interrogé par le site médias PUREMEDIAS.COM, Christophe Willem révele quil avait déjà été contacté pour etre juge sur w9, mais pour cette seconde édition il a hésité durant un week end car il prepare son album à venir pour le mois de septembre "j'ai pris un petit week-end de réflexion et je me suis dit... Pourquoi pas ? Avant de faire Nouvelle Star j'ai donné pas mal de cours de chant, donc c'est un truc qui me plait vachement. Je ne me sens pas mal à l'aise de juger des gens. Je juge sur des prestations qui vont se faire sur les primes, mais en même temps je fais tout pour que le groupe dont je vais m'occuper aille le plus loin possible. Donc il y a ce côté pédagogue derrière. Et moi, venant de ce chemin-là, je trouvais ça sympa que je puisse amener ce que j'ai vécu au tout début, quelles sont les difficultés qu'on peut avoir à se faire plus ou moins respecter en tant qu'artiste et pas forcément avoir toujours une image que des fois on veut péjorative et qui ne l'est pas à la base."

ITW de Henri par TELE LOISIRS


Puis décrit le programme : "Il y a peut-être un côté plus populaire oui, d'abord parce qu'il n'y a pas de limite d'âge. Et puis le concept même est différent : le prime, même si on juge les performances des candidats, ça reste un vrai show. Il y a des artistes qui viennent chanter. On est à mi-chemin entre le télé-crochet et une émission de divertissement avec des gros moyens. Les critiques auxquelles Nouvelle Star a fait face, je pense, reflètent vachement ce qui se passe dans la musique. Que ce soit Star Academy, Nouvelle Star, ça répondait aux attentes du public et c'est vrai que Nouvelle Star est devenu un peu plus bobo. Mais je ne trouve pas ça péjoratif. Je trouvais ça bien, à un moment, de représenter cette musique-là qui est parfois mise de côté, pas diffusée sur les grands réseaux...
Mais X-Factor a un côté un peu plus populaire. Ca revient un peu à ce qu'était Nouvelle Star au début. Ce qui est intéressant aussi c'est que les gens qu'on aura seront dirigés dans une démarche artistique qui correspond au juré qu'ils auront. Donc moi, je vais évidemment pas mettre tout le monde à la sauce pop électro, c'est pas le délire. Mais ce qui va m'intéresser c'est d'aller chercher dans chaque candidat ce que j'avais vu lors des auditions. Il y a des gens lors des castings qu'on a défendus parce qu'ils avaient un petit quelque chose, et il faut le faire sortir. Donc c'est aussi pour ça que j'ai accepté, sachant que mon album est déjà assez avancé vu que j'y ai bossé d'août à novembre, je vais avoir le temps de vraiment m'investir. Mes candidats auront mon numéro de portable, s'il y a un problème je débarque... C'est presque un rôle de manager, de directeur artistique.

Interrogé sur la difficulté de dire non à des gens il répond : "Le fait d'avoir donné des cours à la base, ça permet d'argumenter précisément. Après, il y a des gens, tu leur dis non, tu sais que tu brises l'illusion en deux secondes. Mais c'est aussi comme ça que ça fonctionne dans ce métier-là. Mais parfois il vaut mieux que ce soit rapide, pour eux comme pour moi, et que ce soit direct." dit il avant de parler de son image qui peut en etre modifié avec ce programme : "C'est évident. Mais je pense qu'il faut être soi-même. Ce n'est pas dans ma nature de casser gratuitement les gens. Même les grosses casseroles qui sont venues, je ne vais pas en faire une joke qui dure trois heures et qui fait le grand moment de l'émission."


ITW Véronic Dicaire à Télé loisirs


ITW de la directrice des pgs de M6 au Figaro, mars 2011


ITW Olivier


ITW VERONIC


ITW HENRI
Notre jury nous donne ses impressions sur les auditions d' X-Factor


Séance photo
Ils étaient réunis pour la première fois mi novembre 2010 pour une grande séance photo destinée à la presse . Dans cette toute première interview chaque membre revient sur son rôle et ce qu'il attend :



Véronic Dicaire Future jurée à X-Factor
Qu’est-ce qui vous a poussée à accepter cette émission ?
“Si j’ai dit oui, c’est pour le défi. Ce que j’apprécie particulièrement, c’est que les juges doivent aussi coacher certains candidats. Quand je rencontre des jeunes, ça me fait toujours plaisir de partager mon bagage avec eux.”

Quel genre de juge vous serez : protectrice ou plutôt sévère ?
“Le verbe incisif, ce n’est pas mon style. Je préfère donner des conseils, être constructive. Bien sûr, on est dans un jeu. Donc, les candidats doivent s’attendre à recevoi des critiques, comme dans n’importe quelle audition. Mais je ne suis pas dure pour autant.”

Vous avez déjà vu les candidats ?
“Non, pour les juges, les castings commencent seulement dans deux semaines.”

On demande souvent aux candidats d’avoir leur propre personnalité, de ne pas juste imiter des chanteurs. Ce n’est pas paradoxal du coup d’avoir une imitatrice comme jurée ?
“Non. Au contraire, je crois que je serai la meilleure personne pour aider ces candidats. C’est normal qu’au début, quand on est jeune, on imite les chanteurs qu’on aime. Mais je serai là pour leur dire de faire attention pour que leur voix ne finisse pas à ressembler à tel ou tel artiste. Il faut aussi rappeler que j’ai plusieurs années de cours de chant et que j’ai aussi ma propre voix, que je connais très bien.”

Dans le jury, il y aura Christophe Willem, Vous n’avez jamais essayé de l’imiter ?
“Ah, vous verrez, je lui prépare une petite surprise…”
F.S. © La Dernière Heure 2010 (23/11/2010)

Christophe Willem: «J'adore X-Factor !»
Christophe Willem, l'émission n'a même pas commencé et vous voilà déjà en train de « twitter » tous les jours à propos d'X-Factor...
Je fais en sorte que tout le monde soit bien au courant. Comme, dans ce télé-crochet, le public est présent dès les premières auditions, je twitte pour leur dire : « N'oubliez pas, si vous voulez nous rejoindre, du 3 au 6 janvier à Paris, inscrivez-vous* ! ». J'adore le concept d'X-Factor.

Il n'est pourtant pas foncièrement différent des autres télé-crochets, non ?
Le fait qu'il n'y ait pas de limite d'âge me paraît très intéressant. J'aime aussi que le jury soit actif. On est clairement là pour donner notre avis, mais aussi pour que le groupe dont on s'occupe aille le plus loin possible.

C'est-à-dire ?
À l'issue des sélections, la production nous affecte un groupe [les personnes de moins de 25 ans ; celles de plus de 26 ans]. Le juré est là pour les guider, pour mettre son expérience au profit de leur prestation.

Généralement, les chanteurs qui acceptent d'être jurés dans des télé-crochets sont des artistes confirmés qui ont besoin de donner un coup d'accélérateur à leur carrière. Est-ce votre cas ? Pour votre deuxième album, le très electro-pop Caféine, vous dites être peut-être allé trop loin, ce qui aurait décontenancé votre public...
Je ne parlais pas de l'album, qui s'est vendu à plus de 300 000 exemplaires, mais de la communication faite autour. Je n'ai pas réfléchi au fait qu'X-Factor pourrait me relier à quelque chose de populaire. Au tout début, j'étais plus inquiet de savoir comment allait être perçu le fait que je sois juré. On verra... Moi, j'assume. Si certains journalistes disent : « Il fait cette émission pour refaire parler de lui », évidemment qu'on va parler de moi puisque je suis dans une émission télé, mais, en même temps, on ne parlera pas de mon actualité musicale.

Quel type de juré serez-vous ? On vous imagine mal être méchant...
Méchant, non, objectif, oui ! Je suis perfectionniste et je pars du principe qu'on doit toujours essayer d'apporter aux gens quelque chose de qualité. Ça commence par prendre au sérieux ce qu'on est en train de faire. Donc je n'ai pas du tout de peur de dire : « Je n'aime pas parce que ce n'est pas juste ou pas en rythme ». Après, forcément, certains diront : « Pour qui il se prend à juger ? », mais je l'accepte, car c'est en partie ce qu'on me demande. En même temps, je me prends pour quelqu'un qui a été élu y a cinq ans par six millions de personnes qui avaient regardé la finale de Nouvelle Star. J'ai ma crédibilité en tant qu'artiste par rapport aux ventes que j'ai pu faire. Dans X-Factor, je me retrouve d'une certaine façon porte-parole de ce public.

Vous avez perdu le procès intenté à 19 Management pour dénoncer le contrat signé à l'issue de Nouvelle Star. N'est-ce pas incohérent d'être juré dans un télé-crochet qui propose probablement le même type de contrat au vainqueur ?
Non, non et non, j'ai vérifié ! X-Factor propose juste un contrat d'artiste. Sinon, je n'aurais pas accepté d'en être le juré. Personnellement, je n'ai aucun problème avec M6, Fremantle ou Sony Music. Juste avec 19 Management. Ce qui était gênant à Nouvelle Star, c'était de gagner un contrat avec une maison de disques qui vous liait à un manager pour cinq albums, sans le choisir, alors que c'est la personne qui va vous représenter. Aujourd'hui, le problème est réglé.

Un mot sur l'arrêt de Nouvelle Star. Certains trouvaient l'émission trop « bobo », et vous ?
Non. Elle est juste le reflet de ce qui se passe en musique. Après, il est vrai qu'il y avait une petite standardisation. Notre année, avec Miss Dominique, était plus disco-funky. Par la suite, c'était plus ciblé pop-rock, nouvelle scène française. Mais, franchement, lorsque j'entends Lussi interpréter un titre de Portishead à une heure de grande écoute, je trouve ça énorme. L'arrivée de X-Factor permet de faire un break. Quand Nouvelle Star reviendra, ça n'en sera que plus fort.

Qu'avez-vous pensé de vos successeurs ?
Je trouve Julien Doré hyperintéressant. Amandine Bourgeois, on ne l'entend pas beaucoup, pourtant je trouve qu'elle a un vrai truc. Le plus dur n'est pas de faire l'album, mais d'en faire la promo.

Et Soan ?
Je n'ai jamais écouté pour être honnête. Quant à Luce, j'ai voté pour elle. Elle possède une vraie personnalité. Je suis très pressé d'entendre ce qu'elle va faire.
Propos recueillis par Stéphanie Raïo TVMAG DECEMBRE 2010


LE PRODUCTEUR à 20 Minutes
M6 diffusera cette année X-Factor, télé-crochet musical britannique dont une première saison avait déjà été adaptée sur W9...
«C’est un X-Factor avec une autre saveur», prévient d’emblée Matthieu Grélier, producteur du programme chez Fremantle. «Il n’a rien à voir avec celui de W9». Et si les montants dépensés pour l’adaptation du programme ne sont pas dévoilés, il est évident que le décorum et les conditions dans lesquelles évoluent les candidats ont sensiblement changé. «Les candidats chantent face à un public dès les premiers épisodes, confirme Marie Genest, directrice du divertissement chez Fremantle, et ce n’est plus a capella, ils posent leur voix sur la musique et ils ont un micro, cela change la donne».

Assis dans le public, on réalise que le rendu n’a effectivement rien à voir. Quand les premiers candidats tremblotants montent sur scène, on a véritablement l’impression d’assister à un concert. Un concert parfois très mauvais (ce que le jury ne manque pas de faire observer par des réflexions comme «Vous avez déjà entendu parler de massacre à la tronçonneuse?»), parfois très bon, comme lorsque Medhi vient chanter du Britney avec brio, ou lorsque les Twèm, des jumeaux déjà vus dans le X-Factor britannique, présentent une chorégraphie sur Crazy. Alors l’assistance se lève, applaudissant, chantant avec le candidat.
Selon Matthieu Grélier, c’est aussi «un programme plus ouvert». De trois catégories sur W9, M6 est passé à quatre (et 25.000 candidats se sont inscrits). «Nous voulions vraiment avoir des catégories laissant place à tous les candidats. Et c’est ce qui s’est passé puisque la doyenne avait quand même 88 ans».

Un régal pour les présentateurs, Jérôme Anthony et Sandrine Corman, qui recueilleront et retraceront l’histoire de leur parcours. «Ils ont plein de choses à raconter et ils sont plus motivés que jamais», prévient Jérôme Anthony. Pour Anne-Sophie Larry, directrice de l’unité des programmes pour les productions externes de flux, mettre le paquet pour cette émission était bien naturel. «On appréciait vraiment la Nouvelle Star, mais la ligne éditoriale de M6 consiste à lancer de nouveaux programmes. Quand on a la chance d'avoir le programme le plus puissant du monde, on n'hésite pas une seconde, on fonce».
Charlotte Pudlowski 20MINUTES 20 janvier

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Par : Nico

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