News Jenifer : son actu

Jenifer son 3e album : Chansons, Vidéos, ITW... [MAJ 07/05]

C'est le LUNDI 5 NOVEMBRE 2007 que le nouvel album de Jenifer, intitulé "Lunatic" est sorti en vente et il promet d'être surprenant , mettant en avant les talents de la chanteuse. Son premier single intitulé "Tourner la page" est sur les ondes depuis debut septembre. La sortie de cet album etait au depart envisagé le 12 ou le 19 novembre.
Un retour sur le devant de la scène musicale qui va donner lieu évidemment à une grosse campagne de promo avec normalement le Jeudi 20 septembre, la parution de Paris Match sur l'enregistrement de son album. Son clip "tourner
ma page" qui sera tourné cette 1ere semaine de septembre lui sera diffusé la 2ème semaine d'octobre. Concernant les passages à la télé on en connait déjà un auquel on pouvait s'attendre vu la date de sortie de l'album, ce sera le Vendredi 9 novembre sur le plateau de la star academy 7.

On peut depuis ce mardi 4/09 écouter en exclusivité son nouveau single "Tourner la page" composée par elle meme, qui passe déja en radio sur son myspace, une chanson aux airs un peu reggae avec pas mals de cuivres ou meme ci dessous; puis depuis le 10 septembre on a un autre nouveau titre que l'on peut écouter "Touche moi",

[Donnez des maintenant votre avis dans les commentaires ci dessous]

JENIFER : " Je me sens désormais dans mon élément "
Après trois ans d'éclipse, la jeune chanteuse qui avait gagné la « Star Ac » en 2002, enregistre un nouveau disque très différent des précédents. Elle a reçus le journal LE PARISIEN, dans le studio, où travaille, à ses côtés, son compagnon, Maxim Nucci. Interview exclusive parue le lundi 9 Juillet 2007.

Un discret immeuble du côté du Marais à Paris. Passée la porte en verre fumé, on découvre un studio d'enregistrement. C'est là où Jenifer, 24 ans, travaille sur son nouvel album qui sortira le 12 novembre (le 5 finalement).
Au rez-de-chaussée, des consoles et un immense écran de contrôle. Aux murs, des photos de Jimi Hendrix et de John Lennon. « Maxim (NDLR : son compagnon et le père de son fils Aaron) et un copain à lui ont monté ce studio, précise-t-elle. C'est un ancien magasin de fringues. » Dans un coin, des guitares sur un râtelier. En sous-sol, on trouve la cabine de prises de son éclairée par des lampes marocaines diffusant une lumière rouge orangé : « C'est la bulle dans laquelle je me suis enfermée », confie l'intéressée.

Quand vous êtes-vous remise au travail ?
Jenifer. Il y a un an et demi. J'ai commencé à enregistrer chez moi, avec un micro et un peu de matériel. Je ne suis pas une super musicienne mais je connais deux ou trois accords qui m'ont suffi à composer. Et puis j'ai la chance d'avoir un compagnon musicien et qui m'a donné un vrai coup de main. Il a eu la patience de m'apprendre. On a essayé de garder les meilleurs textes et les meilleures compositions.

Votre précédent album est sorti il y a trois ans. N'est-ce pas dangereux de disparaître aussi longtemps ?
Je me suis complètement coupée de tout ça. D'ailleurs, je ne sais pas si le public de mes deux premiers albums va me suivre. En plus je ne regarde pas trop la télé, si ce n'est Euronews, LCI ou des DVD. Ce n'est pas parce que j'ai participé à une émission surmédiatisée que j'en suis cliente. Je zyeute de temps en temps, comme tout le monde mais c'est tout. J'avais juste envie de faire de la musique. En plus, je n'ai pas du tout l'esprit de compétition.

« Je préfère me planter et rester naturelle »
Vous n'avez pas pris goût à cette exposition médiatique ?
C'est bizarre. A la suite de la « Star Academy », je n'ai plus eu de vie normale. Au début, c'était rigolo. Puis je me suis sentie suivie, encore aujourd'hui. Comme si on devait tout savoir de moi. Bien sûr, il y a pire dans la vie. Mais c'est dur. Je me suis un peu renfermée sur moi-même. J'ai ressenti comme un sentiment de culpabilité vis-à-vis de gens qui ont beaucoup plus de talent que moi et qui galèrent. Est-ce que je mérite tout ce qui m'est arrivé ? Je ne sais pas.

Vous en doutez encore ?
Ce n'était pas mon but de devenir célèbre. En même temps, je suis allée au casting et je suis sortie gagnante. J'ai ensuite gagné de l'argent alors que j'ai toujours vécu très modestement. J'ai eu le droit d'enregistrer un album et de faire une tournée. Tout ça à 19 balais. Il y a de quoi douter. Après je rencontre mon mec, j'ai un enfant et je commence à mener une vie de jeune femme normale. Je vais au marché, j'emmène mon fils à l'école... Aujourd'hui, heureusement, je suis plus à l'aise avec tout ça. Je me sens désormais dans mon élément. Même si, de nature, je reste angoissée.

Comment dépensez-vous votre argent ?
J'ai toujours l'impression de passer pour une naze quand je raconte ça... J'essaie de partager, comme j'ai toujours fait. Je suis devenue marraine d'une association qui s'appelle Chantal Mauduit. C'est une alpiniste qui est morte en 1998. Le but consiste à créer des écoles et des internats au Népal. Là-bas, plus de 70 % des enfants sont illettrés. Voilà, j'y suis allée... Je me fais aussi plaisir en courant les friperies. J'aime bien le shopping. Mais pas chez Chanel tous les jours, je ne suis pas le genre à péter les plombs.

Vous avez participé à l'hommage à Grégory Lemarchal sur TF 1. Vous ne le regrettez pas ?
C'était à la demande des parents. Au début je ne voulais pas y aller. C'était quand même vachement glauque d'aller dans ce château trois jours après sa mort avec des photos de Grégory accrochée partout... Mais bon, je le répète, c'était à la demande des parents et dans le but de récolter des fonds pour l'association contre la mucoviscidose. Donc, je l'ai fait et je ne le regrette pas. Après, la sortie de l'album posthume, les pubs à la télé, à la radio... Sans compter toutes les couvertures en presse. J'ai trouvé ça démesuré et de mauvais goût. Tout ça part d'une bonne intention mais peut-être que les parents sont eux-mêmes un peu dépassés par les événements.

Au final, avez-vous appris à vous protéger ?
J'ai surtout appris à dire non. J'ai envie que mon image me ressemble et pas d'être une poupée que l'on balade comme ça. On me conseille parfois même de me faire coacher pour apprendre à répondre aux interviews. Je ne sais pas, je crains de m'y perdre. En fait, je préfère me planter et rester naturelle. De toute façon, je ne suis pas une méchante. Mais attention : je peux mordre !

photo presse : le parisien gala...
Le Parisien 9 Juillet



Chaque semaine dès le mois de Septembre, un mini reportage sera diffusé sur internet par Universal, sur la sortie de son album, en attendant un teaser circule deja , le voici...


Sa 3e tournée débutera le 28 janvier 2008 au Havre. 3 zeniths sont prévus sur Paris les 10,11 et 12 avril 2008 et les places sont déjà en vente. Voici l'affiche de sa tournée :


Nouvelle video en ce 27/09, la premiere interview video portant sur les coulisses de ce 3e album



Nouvelle vidéo enfin, du travail d'enregistrement de l'album en studio avec David Verlan, auteur de presque tous les textes de l'album ! Il a pensé à des ajustements... Au milieu de tout ça, l'enregistrement des basses/batteries a commencé !


La Tracklisting de Lunatique :
Tourner ma page
Touche-moi
Comme un hic
Nos futurs
Le parfum
Attention douleur fraîche
Si c'est une île
Quitte à se quitter
Ca se point
Le bonheur me va au teint
Lunatique
Elle a également accordé une longue interview de 15min à nos confreres d'IMEDIAS à visionner des maintenant ! Photo : imedias

VIDEO 2 : "Banlieue parisienne... l'album est loin d'être terminé et il faut faire une première session photo pour une pré-affiche de concert. André D. propose de shooter chez ARPEGE (fournisseur en lumière pour les concerts). Acrobatique !"


VIDEO 3 : Paris en studio... Des heures et des heures à essayer et ré-essayer certaines options... Des jours avec et des jours sans... et un passage des pervanches...


VIDEO 4 : Londres, le grand jour ! Nous rejoignons Simon Halle aux Studios Angels pour l'enregristrement de l'orchestre de cordes. BLUFFANT !




Jenifer tourne la page
Sébastien Catroux lundi 05 novembre 2007 | Le Parisien (photo DIDIER BAVEREL.)
A bientôt 25 ans, la chanteuse sort « Lunatique », son troisième album. La première gagnante de la « Star Academy », au succès commercial déjà établi, s'émancipe un peu plus avec ce disque réussi qui explore de nouveaux univers.
LES A PRIORI ont la vie dure. Surtout ceux qui consistent à penser que la téléréalité produit seulement des artistes à la fois jetables, inconsistants et sans avenir. Snobisme finalement mal placé que celui-ci à l'écoute de « Lunatique », le nouvel album de Jenifer.

Lauréate de la première édition de la « Star Academy », cette jeune femme pourrait bien être à l'aube de se forger une place à part, située quelque part entre une Vanessa Paradis dégagée de ses fripes hollywoodiennes et l'efficacité variétés-pop d'une Britannique telle Lilly Allen. « Je me fous complètement de l'image qu'on me colle, assure-t-elle. J'aimerais juste ne pas être connue seulement pour mon image, mais aussi pour ma musique. » Un credo certes partagé par tous les artistes issus de ce type de jeux, mais qui sied parfaitement à Jenifer Bartoli, 25 ans le 15 novembre prochain.
Dans son genre, cette Niçoise d'origine corse est une pionnière. La première, en fait, à s'être frottée à cette surmédiatisation façon TF 1, personnalité carbonisée sous les projecteurs des caméras à longueurs de « prime », de quotidiennes, de château et de curiosités en tout genre dues à son statut. « Ça fait sept ans, soupire-t-elle. J'assume tout et même plus. Mais je pense que le public a su comme moi aller au-delà de tout ça. »

« En grandissant, je me suis trouvée »
Il n'empêche : le cas Jenifer ne lasse pas d'intriguer et sa musique de séduire le très grand public. Avec l'inaugural « Au soleil » en 2002, aux contours pop sucrés, puis l'un peu plus rugueux « Ma révolution », deux ans plus tard, sa variété vendue par centaines de milliers d'exemplaires a su se faire enjôleuse et même parfois lumineuse. Même si elle avoue n'avoir eu, jusqu'ici, qu'un contrôle - volontairement - limité sur son travail : « J'ai passé mon adolescence à chanter des reprises dans les bals, les bars, les restaurants. Je ne savais pas trop ce que je voulais faire même si, je le répète, j'assume tout. Je ne suis pas musicienne et je ne savais pas ce qui me correspondait. En grandissant, je me suis trouvée. » Pour cet album, elle y a été aidée par son compagnon, Maxim Nucci, père de son fils Aaron et musicien toujours en devenir. « Avant même que l'on soit un couple, je l'admirais en tant qu'artiste. Je lui ai demandé de me faire un album parce que je suis fan de son travail. En fait, ça m'amusait d'être sa muse. »

Passé l'écueil à la fois quelque peu nunuche et éminemment people de cette collaboration, le résultat est là, raisonnablement formaté et tout à fait au niveau des bonnes productions pop du moment. Par la même occasion, la photogénique Jenifer se détache quelque peu, grâce à ce CD, des attentes de son public supposé (gamins et gamines scotchés à la télévision...). Quitte à surprendre : « C'est vrai que je propose autre chose et que ça peut être une surprise désagréable pour certains. Je ne calcule pas les risques. J'ai juste envie de me sentir à l'aise avec la musique que je défends. De toute manière, je m'attends toujours au pire pour mieux retomber sur mes pattes. »

LE PARISIEN 5/11

VIDEO 5 : OXFORD, Arrivée chez Simon Hale. C'est dans son home studio à Oxford, que l'on va enregistrer les sections de cuivre... country side ! La vidéo se termine par un petit boeuf avec Maxime


VIDEO 6 : Association Chantal Mauduit
Un petit break au milieu d'une journée de studio pour une interview TV pour parler des enfants du Népal et de l'association Chantal Mauduit (je vous en avais déjà parlé dans un autre billet) dont je suis marraine.


VIDEO 7 : Voilà notre arrivée à Los Angeles pour les mixes ! Le temps était couvert... Nous allons directement à la rencontre de Bob Clearmountain où nous attend Trambert pour démarrer le premier mix ! Jen


Plus funky, Jenifer rêve de grandir avec son public
Gros son et influences funk-soul... Epaulée par son musicien de compagnon, Jenifer sort un nouvel album à la musique plus adulte. Elle propose ainsi d'autres perspectives à un public qui, comme elle, a mûri.
« Ancienne élève de la Star Academy cherche amoureux (bon) musicien pour réussir sa carrière de chanteuse. » Non, bien sûr, Jenifer n'a pas passé une annonce de ce genre pour rencontrer Maxim Nucci, son chéri de musicien. N'empêche que les deux candidates du télé-crochet de TF1 qui réussissent le mieux sont Jenifer et Olivia Ruiz et que cette dernière est l'amoureuse de Mathias Malzieu, chanteur de Dionysos. Olivia Ruiz a aussi connu le bonheur d'être « parrainée », pour ses deux premiers albums, par des pointures comme Juliette ou Christian Olivier des Têtes Raides. Comme quoi, il n'est pas inutile d'être bien épaulée quand la télé vous rend célèbre avant même d'avoir enregistré la moindre chanson.
« Quand je suis sortie de la Star'Ac, confie Jenifer Bartoli, et que j'ai eu le droit (sic) d'enregistrer un album, je ne savais pas trop ce dont j'avais envie. Mon répertoire était uniquement composé de reprises. Je ne connaissais pas de musiciens. J'ai eu la chance que mon premier album me corresponde bien, d'être à l'aise avec des chansons comme J'attends l'amour ou Au soleil. » De la variété FM qui touche le (très) jeune public de la Star'Ac. Première lauréate de l'émission à succès, Jenifer bénéficie d'une forte médiatisation. Son premier album atteint des sommets (plus d'un million d'exemplaires).

« Clin d'oeil à mes origines »
Plus pop, son deuxième disque (Le passage) bénéficie du coup de main fraternel de Calogero et de Kyo. « Je m'y suis plus investi. J'ai mis mon grain de sel. Maxim n'est pas trop intervenu car il y avait un calendrier à respecter et j'avais déjà commencé avec une équipe. » Bien lancé par le single Ma révolution, le disque se vend bien (600 000 exemplaires). Car le principal souci de la plupart des artistes, surtout ceux de la télé-réalité, c'est de durer. Pas simple quand on est acheté par le public le plus volatil qui soit, celui des fillettes et des jeunes ados. « Pour ma première tournée, raconte Jenifer, cela démarrait à 5 ans, jusqu'à 12 ans. Pour mon deuxième disque, de 12 à 15 ans je dirais, avec également des ados jusqu'à 18 ans. »
Elles sont nombreuses les chanteuses à s'être brûlé les ailes pour ne pas avoir su grandir avec leur public, sans réussir à toucher les petites soeurs avides de se différencier de leurs aînées. C'est le cas d'Alizée, qui risque gros avec un troisième album pop-rock à sortir en décembre. Lorie, 25 ans comme Jenifer, va également tenter de rester au top avec un nouveau disque très « dance » à sortir fin novembre.
Pour ce troisième album, Jenifer assure ne pas avoir calculé : « J'avais simplement envie de changement, de sonorités différentes. En grandissant, on évolue aussi musicalement. » Elle connaît les goûts de son compagnon, particulièrement branché musique noire américaine. « J'admire le musicien qu'il est, multi-instrumentiste. J'avais envie que ce soit lui qui compose cet album, qui le réalise. D'autant que j'étais persuadée qu'il allait trouver ce que je voulais. »

« Vivre des trucs jolis »
Musicalement, Maxim Nucci transforme Jenifer. Funk, soul, reggae. Et un excellent ska gorgé de violons orientaux (Le parfum), avec un côté Niagara (l'ex-duo rennais). « Un clin d'oeil à mes origines. Mon père est pied noir algérois et ma mère corse, moitié espagnole. » Ou encore un rock bien nerveux (Si c'est une île). Cela donne un album plus groove, plus rythmé, avec quelques ballades classiques : « J'aime les vrais slows, à l'ancienne. » Elle explique que tout a été composé spontanément en studio, par Maxim et ses potes, « lors de boeufs ». Même l'incontournable Matthieu Chédid est venu poser sa guitare sur deux morceaux.
Ce nouveau son lui va bien, au point que sa voix s'en trouve changée, plus femme, plus sensuelle. Certes, les textes signés par un nouveau venu (David Verlant, un ancien photographe) sont plutôt convenus, tournant le plus souvent autour du sentiment amoureux : « Mais l'amour fait partie de la vie de tout le monde et particulièrement de la mienne. Je reçois beaucoup d'amour. J'ai la chance de vivre des trucs jolis, agréables. J'avais envie de le chanter. »

Des textes qui ont le mérite de bien sonner. « Je voulais d'abord travailler avec Julie d'Aimé, une plume féminine que j'aime beaucoup. Mais elle avait son album à faire. Et j'ai reçu deux textes de David. J'ai voulu le rencontrer. Il a ressenti des choses sur moi. Il a deviné des sentiments personnels. On s'est donc appuyé sur ses textes. Il proposait. On discutait. Un travail d'équipe.
Jenifer a bien grandi. Cela s'entend. Et si son public la suit, elle en sera évidemment ravie: « J'aimerais grandir en même temps que lui. Au fond de moi, c'est ce que j'espère. Ce serait un rêve qui se réaliserait. »

Michel TROADEC. pour OUEST FRANCE
Lunatique. Mercury/Universal. 39 mn, 11 titres.
En concert à Nantes le 26 mars 2008, Caen le 28, Rennes le 23 mai, Brest le 24, Le Mans le 27.

VIDEO 8 : Los Angeles : dernière prise de voix
Los Angeles : retour en studio pour poser la toute dernière voix de l'album !


Article sur son 3e album dans MIDI LIBRE du 2 mars


3e Single
"Si c'est une île" est le troixieme extrait de l'album Lunatique destiné à le relancer niveau ventes ! Depuis le debut du mois de mai les radios ont commencé à diffuser ce 3e single au titre tres estival...

---

Le site recheche des rédacteurs pour écrire des résumés des émissions françaises "The Voice, Koh Lanta, Nouvelle star, Garde à vous..." et des talent-shows étrangers... Si vous etes interressé laissez un commentaire ou envoyer un mail! Merci d'avance ! On a besoin de vous !!!

Il y a : 1 Commentaires

Par : Nico

Ajouter un commentaire :

Pseudo :
Mail :
Message :   Code à entrer :