News Artistes issus de la télé réalité

Son enfance
«Enfant, je m'étais créé une double Loana. Quand j'allais à l'école, je disais que tout allait bien. Papa buvait beaucoup. Le soir, avant que j'aille me coucher, il me faisait répéter : "Je serai une pute comme maman, plus tard. "Il me tapait le crâne contre le plafond, sur le carrelage.» Un soir, il va trop loin. L'ado s'enfuit en chemise de nuit et fait Grasse-Antibes en scooter pour se réfugier chez sa mère, qui l'abandonnera plus tard sans explications. «Je me suis retrouvée à 17 ans avec le loyer à payer. Du coup, j'ai travaillé comme go-go dancer à plein temps et j'ai dû arrêter les études. J'aurais bien aimé devenir vétérinaire dans un zoo. J'étais bonne à l'école. J'avais 16 en français, 18 en sciences nat, 15 en chimie. Mais j'étais nulle en anglais.»
Sa santé
Ils ont essayé un nouveau traitement qui venait des Etats-Unis contre la bipolarité et là j’ai pris plus de trente kilos en six mois. Un matin, j’ai eu le déclic. Je me suis dit : est-ce que c’est vraiment comme ça que tu veux finir ? J’ai tout jeté à la poubelle et je n’ai pas renouvelé mes ordonnances.
Elle a perdu 30 kilos depuis octobre, où sa balance affichait 120 kilos pour 1,73 mètre. Objectif: se délester encore de 20 kilos d'ici ses 40 ans, le 30 août prochain. «Je ne bois plus d'alcool. Je ne prends plus d'antidépresseurs ni de médicaments pour ma bipolarité. Je crois que je ne suis pas bipolaire, en fait, c'est ce traitement qui m'avait fait prendre 30 kilos en six
Son retour à la vie
Après de multiples TS - « Ce n'est pas une étoile que j'ai eue au-dessus de ma tête mais une Voie lactée» -, les mauvais garçons, les addictions, les séjours en hôpital psychiatrique, trois comas et deux arrêts cardiaques, la jeune femme voit l'avenir d'un oeil meilleur. Elle veut faire une psychothérapie pour casser le cercle infernal. Loana se réfugie dans les contes de fées et les Walt Disney. «J'aime ça
car ce n'est pas réel. Mon âme d'enfant me permet de m'évader, de partir au pays des nuages une heure ou deux.»
Il y a deux ans, sa vie était « un trou noir. Je voulais en finir. Là, je me sens sereine, heureuse, j'apprécie chaque jour, ma vie, la vie en général. Le bilan est plutôt positif. Je suis fière d'avoir pu arrêter toute seule ces addictions, d'avoir traversé ces épreuves qui ont fait de moi ce que je suis. »
L’étiquette “téléréalité” ?
Les médias, globalement, se sont bien comportés avec moi, je n’ai pas à me plaindre. Je publie régulièrement sur mon Facebook des couvertures que j’ai faites. A la sortie du Loft, c’était dingue, je n’arrêtais pas.
La scène dans la piscine du loft
On ne savait pas ce que c’était de faire le buzz à l’époque. C’était la première soirée, thème années seventies, tout le monde faisait la fête à l’intérieur, je me disais qu'on les filmait, eux. Avec Jean-Edouard, on s’est trouvés dans la piscine (elle se marre au souvenir, ndlr). Je l’ai fait parce qu’on en avait envie, ça a été un bon moment, on s’est embrassés. Moi, je l’aimais. On n’a pas fait l’amour dans la piscine. On s’est un petit peu bien chauffé et après on est partis dans la chambre noire. Les lumières étaient éteintes, il y avait les infrarouges, ils ont filmé et c’est passé sur internet. Ce n’était plus de l’érotisme à ce niveau-là, on était à poil en train de faire l’amour. Je l’ai vu à ma sortie, c’était horrible, ça m’a choquée. Je n’ai jamais su qui avait balancé le film. Mais je ne regrette pas. Ma mère m’a dit : “Tu as bien fait ! ”. J’ai passé un bon moment, c’était un bel homme, même s’il n’avait pas une belle mentalité.
L'amour
« Je ne ferme pas la porte. Tout ce que je veux, c'est quelqu'un de doux et de très gentil. Moi, je ne suis pas chiante, pas jalouse, pas possessive, financièrement autonome... J'aime être une femme au foyer, le ménage, la cuisine, tout ça, j'adore, et les enfants, j'aimerais en avoir ou pas... Celui qui tombera sur moi n'aura pas trop de soucis. »
ET AUSSI
La jeune femme dit avoir eu du mal à se remettre de sa mésaventure avec cet ex-petit copain dealer qui l'aurait séquestrée il y a sept ans, lui extorquant au passage quelque 100 000 euros. À son doigt, un saphir que le « mauvais garçon » lui avait offert « pour me rappeler ce qu'il m'a fait ».
Loana Petrucciani explique qu'elle a dû aussi vendre son appartement parisien afin de payer les impôts sur sa société LPI, Loana Production International, fermée depuis, qui gérait les produits dérivés.
Le site recheche des rédacteurs pour écrire des résumés des émissions françaises "The Voice, Koh Lanta, Nouvelle star, Garde à vous..." et des talent-shows étrangers... Si vous etes interressé laissez un commentaire ou envoyer un mail! Merci d'avance ! On a besoin de vous !!!
![]() |
Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |