News Emissions d'aventures
Sa participation
Je n’ai pas d’histoire profonde à raconter ou de problème existentiel à régler (sourire). J’ai toujours aimé les émissions de survie. Quand j’ai vu la saison 1, j’étais offusquée par le fait qu’il n’y avait que des hommes. Alors je me suis dit que s’il y avait une saison avec des femmes, je voudrais y participer pour prouver qu’on peut aussi bien se débrouiller que les mecs.
Pas par rapport à l’expérience sur l’île, plutôt par rapport à la médiatisation, qui me faisait un petit peu peur. En ce qui concerne l’île, j’ai un défaut, c’est que j’ai parfois trop confiance en moi. Je m’étais préparée, j’avais passé deux mois à lire tout ce qu’il y avait à lire, à regarder des émissions… J’étais ultra-prête au niveau technique et il m’a fallu dix minutes dans l’aventure pour me rendre compte que ça ne servait à rien.
L’aspect survie…
Je connaissais tout. Le nom des bestioles, tous les trucs qui étaient comestibles, les différentes manières de cuisiner la coco… Mais, sur place, tout est différent de la théorie. Au bout de deux ou trois jours, on n’a plus de force et on essaye de mettre en œuvre tout ce que l’on a envisagé, or, ce que l’on n’avait pas pris en compte, c’est la frustration. J’ai essayé de pêcher, mais quand, au bout de trois ou quatre jours, on n’a rien attrapé, c’est difficile.
La vie sur l'ile
Physiquement, le plus dur ça a été la soif. On a eu très soif, c’était vraiment très compliqué. Psychologiquement, ça a été de tuer des animaux. Je l’ai mal vécu. Vous verrez les images, j’étais la chasseuse du groupe.
Savoir que l’on n’a pas d’obligation est un moteur incroyable. C’est la liberté au sens absolu du terme, on a une île, on est quinze, sur place pour un mois, et on nous dit «Faites ce que vous voulez». Donc il n’y a pas d’enjeu, il n’y a pas de stress à avoir à ce niveau-là.
« J’ai essayé de réfréner mon naturel, je ne voulais pas être leader, ou décider à la place des autres. Mais dès qu’on a été déposées sur l’île, j’ai essayé de faire avancer les choses : on est arrivées tard, au milieu de la mangrove, la marée montait… Il fallait trouver un endroit où passer la nuit. En tant que médecin, on a spontanément une position différente, les gens vous écoutent plus, mais globalement j’étais aussi perdue que les autres ! » Julieta a eu l’occasion de réaliser « quelques petites interventions » durant le tournage, mais c’est surtout le stress qu’elle a essayé de gérer. « Dans les conditions dans lesquelles on se trouvait, le moindre pépin devient très angoissant. Et moi aussi j’étais déshydratée, j’avais faim, j’étais très faible : j’avais d’autant plus peur qu’il arrive quelque chose à quelqu’un à cause de moi. »
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |