News Les Ch'tis / Les Marseillais


- L’arrivée des Belges dans l’aventure : "Quand on est arrivé, on a vu trois drapeaux devant la maison. Je me suis dit : « C’est une blague ?! » Et là, bim, on voit cinq Belges et on se dit : « Bon bah voilà, c’est la fête ! ». On se rapproche au niveau de la mentalité, et ce n’est pas comme si on n’en connaissait aucun avant le début de la saison. La moitié de mes potes sont belges. Ça reste assez similaire. C’est moins le Nord vs le Sud. On s’est quand même bien pris la tête avec pratiquement tout le monde en fait, mais à différents degrés. J’ai eu des gros coups de cœur au début et quatre jours après, c’était fini. Untel a vu un truc qu’il a répété, et ça a fait effet boule de neige, avec des problèmes entre tout le monde."
- Les premiers pas des Belges devant la caméra : "C’était leur première télé-réalité, et ils ne s’en rendaient pas compte, mais ils attendaient que les caméras s’arrêtent pour parler entre eux. Je n’aime pas ça, mais en même temps, c’est compréhensible. Ils avaient un peu peur des caméras. Du coup, j’entendais des conversations le soir qui auraient dû se passer devant la caméra. Des gens qui n’assumaient pas... Ça m’a énervé. Nous, on oublie les caméras."
- Ses impressions sur la jet set : "C’était bizarre ! Quand on nous a dit : « Bon écoutez, vous allez devoir apprendre les bonnes manières. On s’est dit : « Heu, c’est une blague ?! ». Et non, on voit arriver Monsieur Emmanuel de Brantes, qui jouait dans le film Jet set. Il a débarqué pour nous apprendre les bonnes manières. Mais là, il fallait compter les couverts, avoir tel truc à telle place... Tu te lèves, il faut demander. C’est pas mon dada !"
- Des dérapages : "On n’était pas toujours dans le vrai, et même complètement à côté de la plaque parfois ! Vincent qui fait une vague sur les canapés en boîte de nuit, c’est pas Jet set ! Une bagarre entre deux filles ou deux garçons sur le dance floor, ça ne fait pas trop Jet set non plus (rires). D’ailleurs on s’est fait jeter de la boîte et on est sorti avec les talons à la main."
- Son couple avec Jordan : "Ça n’a pas été facile de vivre notre première aventure en étant en couple. On a un peu vécu dans cette saison ce que Vincent et Hillary ont vécu à Hollywood. Il fallait apprendre à connaître les autres, continuer ma relation avec mes amis Ch’tis, et gérer le couple. Ça a explosé plusieurs fois avec Jordan. Il y a des jobs que j’aurais pu faire, mais que je ne pouvais pas me permettre par rapport à lui. On n’a pas été d’accord du tout. C’est un des éléments déclencheurs de nos disputes, mais pas le seul !"
- Son après-Ch’tis : "J’aimerais vraiment présenter quelque chose, ou avoir une chronique. Ça me plait vraiment de faire de la télé. La télé-réalité c’est bien, mais pas toute une vie. Ou alors il faut changer le concept, mélanger Les Ch’tis avec un Pékin Express par exemple ! Je suis partante tant qu’on nous laisse ensemble, entre Ch’tis. On habite à un quart d’heure les uns des autres. On est « H24 » avec nos téléphones en train de s’envoyer des messages. Ce qu’on vit ensemble, ça nous marquera toute notre vie."


- Le métier de danseuse dans la jet-set : "Il faut du sexy et de la classe, pas du vulgaire. Je ne suis pas vulgaire donc ça va ! Il ne faut pas trop d’énergie, plus de l’attitude donc un peu plus scénique. Il y a beaucoup de visuel, il faut que ça brille, il faut des paillettes. Même si j’ai eu du mal, j’ai réussi à faire mon nid. J’ai encore dû adapter ma danse à un endroit. Par exemple, à Hollywood, il fallait que je sois plus déshabillée et à Marrakech, tout le contraire."
- Des difficultés avec Jordan : "C’était très difficile parce que j’avais d’un côté une relation de couple à gérer et de l’autre, mes potes Ch’tis. Ensuite, j’ai appris à connaitre les nouveaux et ce n'est pas comme s’ils étaient deux, ils sont cinq ! Donc c’est-à-dire qu’il y a plein de choses qui se passent en même temps. Peut-être que parfois, on prend moins de temps pour son copain ou on consacre un moment à quelqu’un et cela dérange votre petit-ami. Ça n'a pas été forcément évident pour nous deux tous les jours, on s'est battus…"
- Un futur mariage comme Hillary et Vincent ? : "J'aimerais bien un bébé vers 35 ans [...] par contre le mariage c'est non. Peut-être que si je suis in love un truc de malade, si je rencontre le prince de ma vie et qu'on a des enfants, là, peut-être, mais je pense que c'est de l'argent jeté par la fenêtre."
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |