News Koh Lanta le choc des héros

Betty Lise 1ère sportive éliminée du Koh Lanta des héros + ITW [MAJ 4/4]

TF1 diffusait ce vendredi 26 mars 2010 le premier épisode de Koh Lanta le choc des héros regroupant sportifs et anciens candidats. Une saison qui s'annonce exceptionnelle et passionnante au vu de l'excellentissime premier épisode rythmé par de très bons candidats, de l'humour, de bonnes ambiances, de belles épreuves, de beaux paysages, une belle compétition bref de quoi passer 9 tres bons vendredi en esperant que cela continue ainsi.
Les 12 candidats se sont affrontés comme chaque fois dans un jeu de confort et d'immunité, une victoire pour chacun mais ceux sont les sportifs qui ont perdu l'épreuve la plus importante et ont du passer au premier conseil. Des sportifs très droles et passionnants à suivre qui ont choisi d'évincer la plus faible et la moins adaptée pour l'épreuve BETTIE LISE Record de France de Triple-saut .
Frank récolte deux voix et est hélas passé tout juste de l'élimination alors qu'il est le plus drole puisque Bettie et Myriam ont voté pour lui, Frédérique une de Gwendal... et Betty trois
La semaine prochaine Mohammed de KH5 et Taig Kriss champion de roller integreront les équipes.


RESUME DE LEPISODE A VOIR ICI AVEC VIDEOS


ITW DE BETTY

Exclusif PLURIELLES.FR - Betty Lise : "La barre est très très haute"
Première concurrente à avoir quitté l'aventure Koh Lanta le Choc des Héros, Betty Lise a accepté de revenir sur l'expérience hors du commun qu'elle a vécue. Impressions d'une vraie championne.
Qu'est-ce qui vous a motivé à participer à Koh Lanta le Choc des Héros ?
Je suis une fan de la première heure de Koh Lanta ! Les valeurs de l'émission correspondent vraiment à mes valeurs : le partage, le dépassement de soi. C'est une expérience dans laquelle on se met continuellement à l'épreuve de la faim, de la fatigue, du manque d'hygiène. J'ai toujours eu envie de savoir jusqu'où je pouvais aller.

Dans votre carrière sportive, vous n'aviez pas l'impression d'être allée assez loin ?
J'ai raté les Jeux Olympiques trois fois, parce que je suis très grande et fragile physiquement. Le triple saut est une épreuve très physique, il faut être fort, rapide, et je me suis souvent mis trop de pression.

Koh Lanta était donc une manière pour vous de vous lancer un nouveau défi ?
Je n'ai pas été championne olympique, mais j'ai quand même fait une belle carrière dans ma discipline. Je crois au destin et Koh Lanta était pour moi une manière de repousser mes limites une dernière fois.

Avez-vous un tempérament d'aventurière ?
Au fond de moi non, c'est pour ça que je me fais violence parfois.

Connaissiez-vous les autres champions de l'équipe Malabou dans Koh Lanta ?
J'avais croisé Djamel Bouras, Frédérique Jossinet et Myriam Lamare une ou deux à l'INSEP, mais je ne les connaissais pas plus que ça. J'ai regretté qu'il y ait eu deux judokas et que l'équipe de sportifs ne soit pas plus diversifiée.

Vous êtes-vous trouvé des affinités avec quelques-uns de vos coéquipiers ?
Gwendal Peizerat est quelqu'un de très humain, très sensible, c'est un garçon adorable qui aime la fête, rire et danser, c'est quelqu'un comme moi. Je pense qu'il était lui aussi là pour l'aventure humaine. J'ai aussi fait une belle rencontre avec Frédérique Jossinet.

Lequel de vos coéquipiers vous a le plus impressionné dans les épreuves de Koh Lanta ?
Ils m'ont tous impressionnée sur différents aspects. Myriam Lamare était vraiment préparée à 300 %, c'était la plus guerrière de tous, Frédérique Jossinet c'est la petite bonne femme dynamique qui est toujours de bonne humeur et très élastique sur les épreuves, Gwendal Peizerat, ben c'est Gwendal !

Vous attendiez-vous à une aventure aussi difficile ?
Physiquement non. Sur les épreuves sportives, ils ont mis la barre très très très haute. La difficulté des épreuves classiques a été décuplée et au niveau cardio, au niveau musculaire, au bout de cinq minutes je n'en pouvais plus ! C'était très très dur !

Vous vous étiez préparée avant de partir ?
Pas du tout ! J'ai voulu vivre une aventure humaine, je m'étais préparée pour vivre sur le camp... J'ai tout donné pendant les épreuves physiques, mais ce qui m'intéressait surtout c'était la rencontre.

Pensez-vous que l'équipe des sportifs a un avantage sur l'équipe des anciens aventuriers ?
Je ne pense pas, je crois même que c'est l'inverse ! Ils savent à quoi s'attendre, ils ont l'expérience de la vie sur le camp et ils connaissent les difficultés. Grégoire qui réussit à faire le feu, j'ai trouvé ça exceptionnel. Ce sont de vrais aventuriers.

En avez-vous voulu à vos coéquipiers de vous avoir éliminée ?
Sur le coup forcément. Je savais que j'avais été la moins bonne sur les épreuves sportives, mais j'étais préparée psychologiquement. Mais ce sont des sportifs et je comprends parfaitement qu'ils aient choisi d'éliminer l'élément le plus faible.

Quel souvenir garderez-vous en particulier de Koh Lanta ?
Mon meilleur souvenir n'est pas personnel, il est lié à l'équipe. Quand on s'est rencontré, on a vécu de très belles choses, on a rigolé ensemble, on a appris à se connaître. C'est la rencontre qui reste le souvenir le plus marquant.

Que faites-vous depuis que vous avez mis un terme à votre carrière sportive ?
J'ai ouvert un centre de remise en forme qui fait spa et institut de beauté dans le 94. Je suis la gérante de ce centre et tout se passe pour le mieux pour le moment.
PLURIELLES.FR | par Amélie ERMENAULT


Betty en ITW à Télé loisirs
Etonnant coup de gueule de la part de Betty Lise : l'ancienne athlète, éliminée vendredi soir de Koh-Lanta, le choc des héros (lire : Koh-Lanta : Betty Lise est éliminée) a reproché le manque de diversité dans le casting de l'équipe de sportifs. Soulignant qu'elle était "la seule black", elle déplore également le fait qu'il y ait deux judokas (Frédérique Jossinet et Djamel Bourras)... Elle s'explique pour Tele-Loisirs.fr.

Tele-Loisirs.fr : Pourquoi avez-vous accepté de participer à Koh-Lanta, le choc des héros ?
Betty Lise : Je suis certainement la seule sportive à avoir envoyé sa candidature il y a un an et demi. J'avais été prise pour participer à une édition normale. Mais je connais Denis Brogniart depuis une dizaine d'années... et il n'avait pas le droit de connaître un participant ! Donc j'ai dû renoncer l'an passé...
Je suis fier de le dire : j'ai toujours adoré Koh-Lanta. Le concept, ce dépassement de soi-même... L'émission représentait un dernier challenge pour moi, avant de me poser en femme "normale". Quand on a été sportif de haut niveau, une fois à la retraite l'adrénaline nous manque dans la vie quotidienne.

L'aventure a-t-elle aussi difficile que vous pouviez le craindre ?
Betty Lise : Elle l'a été encore plus ! Les défis sportifs étaient très difficiles pour moi. J'ai arrêté ma carrière il y a quatre ans. Depuis j'ai ouvert un centre de remise en forme, mais je ne fais plus de port, à part quelques fois avec mes clients.

Vous n'étiez pas assez bien préparée physiquement ?
Betty Lise : Ah bah carrément ! En plus, je suis arrivée crevée, car je viens d'ouvrir ma boîte. Mais bon, ce n'est pas une excuse, j'assume tout à fait ce qui s'est passé.

Et la survie ?
Betty Lise : Non, je n'ai pas eu de mal. Malheureusement, je contrains mon corps à sauter des repas quelques fois, à cause de mon travail. Mon organisme est donc habitué à ce genre de privations alimentaires.

Vous êtes la première candidate éliminée de l'aventure. Comment expliquez-vous cette élimination si rapide ?
Betty Lise : Je ne pense que je vais tout dire tout de suite, et attendre un peu avant de dire ce que je ressens ! (rires)

On ne comprend pas bien...
Betty Lise : J'ai été la première éliminée, car j'étais la plus faible physiquement. Point barre.

Ça cache quelque chose... Vous pensez que les autres n'ont pas été honnêtes avec vous ?
Betty Lise : Non. Entre sportifs, nous avons été tout à fait honnêtes les uns avec les autres. Entre nous, il n'y a eu aucune manipulation.

Qu'est-ce qui vous gêne alors ?
Betty Lise : Le fait qu'il y ait deux judokas (Frédérique Jossinet et Djamel Bourras ndlr), je ne trouve pas ça très équitable pour une équipe de sportifs. Forcément, il y a des affinités au préalable... Il aurait fallu être beaucoup plus équitable, que l'équipe soit plus variée. Vous savez dans les sportifs de haut niveau, il y a beaucoup de blacks... Et là, j'étais la seule. Enfin, voilà, c'est mon ressenti.

Vous voulez dire qu'ils n'ont pas pris assez de blacks ?
Betty Lise : Vous connaissez le sport de haut niveau... Son image, son panel. Donc voilà, c'est dommage, j'aurais aimé qu'il y ait plus de diversité dans cette équipe de sportifs.

Donc, il y a un problème de casting pour vous au sein des sportifs...
Betty Lise : Oui, mais c'est peut-être moi le problème de casting en fait ! J'étais la moins titrée de tous, la moins forte physiquement...
Propos recueillis par Julien Thomas TELE LOISIRS

ITW “Bref mais intense…”(30/03/2010)
L’ex-championne du triple saut, première sportive éliminée du jeu, a pu mesurer à quel point la barre était haute
BRUXELLES Le ton est donné. Et il est élevé, d’après les images de la première (et excellente) émission de ce Koh-Lanta, Le Choc des Héros , qui a pour particularité de confronter certains candidats phares du patrimoine du jeu (Coumba, Linda, Grégoire, Freddy, Christina et, dès vendredi, le fort en gueule Mohamed) à une brochette de sportifs, ou plutôt d’ex-sportifs. Et contrairement à ce qu’on aurait pu croire, nos champions du sport sont très loin de survoler les débats ! La preuve : ils n’ont pas de feu, les estomacs vides et comptabilisent déjà une défaite à une épreuve d’immunité.
C’est l’ex-championne française de triple saut, la discrète Betty Lise, âgée de 37 ans, qui en a fait les frais. Même si le boulet n’est pas passé loin des oreilles de Franck Lebœuf…

Pas trop déçue de la courte durée de votre aventure ?
“Ce fut bref mais intense. L’avantage, c’est qu’en trois jours et deux nuits, je n’ai pas eu le temps de rentrer dans les guerres d’ego et les problèmes relationnels humains. Je crois qu’au plus l’aventure dure, au plus il y a de hauts… et de bas. Moi, en quelque sorte, je n’ai connu que les hauts. Mais pas longtemps !”

Avez-vous été surprise par la difficulté physique des épreuves ?
“Plutôt. Il faut dire que ma carrière est derrière moi. Depuis 2006, je m’entretiens, mais sans plus. J’ai ouvert un spa, un centre de remise en forme, qui me permet en quelque sorte de rester fit, mais c’est surtout dans la position de donneuse de conseils que j’y officie. Du coup, c’est un peu paradoxal, mais c’est sur l’aspect sportif que j’ai eu le plus de mal. Et pas mal de mes collègues toujours impliqués dans l’aventure vous diront la même chose…”

Une sportive pro, ça a le temps de regarder Koh-Lanta ?
“Ah, mais carrément ! Je n’ai jamais raté une saison. J’avais vraiment très envie de vivre cette aventure, et je n’ai pas été déçue. C’est surtout le côté survie qui m’attirait. Et j’ai pu vite me rendre compte que le pire ennemi de l’aventurier de Koh-Lanta, c’est la faim. De surcroît pour un sportif. Allez demander à un Djamel Bouras, qui a l’habitude de manger énormément pour récupérer, comment se porte son estomac…”

Des regrets ?
“Que TF1, qui filme pourtant toute la journée, n’ait décidé de montrer qu’une seule facette de moi. En coupant mon intervention au conseil, notamment… Mais surtout, je resterai assez déçue que les équipes n’aient pas été mélangées. Là, les sportifs, ça fait un peu trop genre gladiateurs, guerriers qui vont tout casser sur leur passage. Alors qu’on est nombreux à avoir raccroché ! Mais je comprends : en termes d’audiences, c’est plus vendeur…”

Qui peut gagner le jeu ?
“Grégoire, sans hésiter. Freddy, aussi. Christina, elle, a le mérite de ne rien lâcher, et moi j’adore ça. Mais ils ont l’inconvénient d’être trop forts. Et ceux qui sont trop forts ne gagnent jamais, sur Koh-Lanta…”
Interview > A.Ca. © La Dernière Heure 2010


Eliminée, Betty Lise se confie à TVMAG
Championne de France du triple saut et ancienne détentrice du record de France de la discipline, Betty Lise (38 ans) faisait partie de l'équipe des sportifs de Koh-Lanta : le choc des héros. Sortie du jeu après trois jours d'aventure, la Martiniquaise a répondu aux questions de TVMag.com... .

Betty Lise, vous étiez la première à quitter Koh-Lanta : le choc des héros. Quels souvenirs gardez-vous de votre aventure ?
C'était court, deux nuits et trois jours, mais ça s'est bien passé. Je suis rentrée depuis le mois de novembre. J'ai souvenir d'un gros sentiment de frustration forcément. Je suis une grande fan de Koh-Lanta, ça faisait longtemps que je voulais y participer. Ce jeu reflète des valeurs auxquelles je crois qui sont le partage et le dépassement de soi. C'était une façon de me mettre à l'épreuve.

Qu'est-ce qui a été le plus difficile ?
Les épreuves sportives étaient très difficiles. Ca peut paraître paradoxal mais je suis une sportive à la retraite. J'ai arrêté ma carrière en 2006 et derrière, je me suis entretenue. Je tiens un centre de remise en forme où je suis plus dans un rôle de conseil. Je démontre, j'explique, j'encourage et je corrige. Mais je ne fais plus ce qui concerne le renforcement musculaire. Arrivé là-bas, j'ai trouvé les épreuves physiques très difficiles. Tout le monde avait du mal mais j'étais celle qui avait le plus de mal.

Et les conditions de vie sur le campement...
Ce n'était pas un souci. C'était la partie que j'attendais, la partie de Koh-Lanta que j'avais hâte de vivre. C'était se mettre à l'épreuve sur la nourriture, dormir à même le sol en étant tous collés les uns aux autres parce qu'il faisait froid la nuit. Sincèrement, on ne sentait pas tous bons, certains ronflaient... Il fallait faire avec et la première nuit, je n'ai pas dormi. Je m'y attendais, j'étais prête pour ça.

Comment s'est passée la collaboration avec les autres sportifs ?
Très bien. Je suis quelqu'un de très discret, qui regarde et qui écoute beaucoup. Je sais qu'après mon départ, ça n'a pas dû être évident pour certains. Il y avait de gros égos sur cette émission. Quand on souffre de la faim et de la fatigue, tous les traits de caractère et les sentiments sont exacerbés. J'aurais aimé me mettre davantage à l'épreuve, avoir encore plus faim, être encore plus fatiguée et voir comment je réagis à certaines contraintes. Je ne suis pas restée assez longtemps, c'est dommage.

Vous attendiez-vous à être choisie avant le conseil ?
Oui, nous avons été assez honnêtes les uns envers les autres. Nous sommes des sportifs, nous avons cette qualité de compétitivité et nous savons très bien ce que c'est d'être le meilleur et ce que c'est de perdre. J'étais sûrement la moins préparée physiquement et donc la moins forte du groupe. Au départ, ce qui compte, c'est de gagner les épreuves. Je comprends très bien ce qui s'est passé.

Que faites-vous au niveau professionnel depuis votre retraite sportive ?
J'ai monté mon centre de remise en forme spa juste avant de partir (voir coordonnées du centre en bas de cette interview, ndlr) et je l'avais laissé à une personne que je pensais de confiance. Je me suis trompée. Donc, d'un certain côté, j'étais contente de rentrer de Nouvelle-Calédonie pour reprendre les choses en mains. Je m'occupe des gens de A à Z. C'est comme du coaching à la maison mais ce sont les gens qui viennent vers moi. Les gens sont motivés et bien conseillés.
TVMAG par Damien Mercereau

ITW TF1.FR


ITW FRANCE SOIR Koh-Lanta - Betty Lise : “J’espère qu’un sportif va gagner”
La championne de saut en longueur a été la première éliminée de ce Choc des héros. Bonne perdante, elle revient également sur l’« affaire » Frank Lebœuf.

France-Soir. Gardez-vous un bon souvenir de votre court passage dans Koh-Lanta ?
Betty Lise. Un très bon souvenir ! Je savais que je pouvais sortir dès le début. On s’imagine toutes les hypothèses quand on s’embarque dans cette aventure.

Avez-vous des regrets ?
Oui, le manque de diversité dans mon équipe. J’aurais préféré qu’il y ait une nageuse, un handballeur… Deux judokas, c’était pas top. Trois sportifs de combat, non plus. Beaucoup d’autres athlètes étaient motivés, mais ils ne correspondaient sans doute pas au casting idéal.

Quel est ce casting idéal ?
Il ne faut pas être dupes, ils cherchent des profils bien précis. Le leader, la facile à vivre, le mec qui a un ego surdimensionné…

Vous avez déclaré : « Chez les sportifs de haut niveau, il y a beaucoup de Blacks… Et là, j’étais la seule. »
Je dis juste qu’il y a plus de Blacks dans le sport français que la composition de l’équipe ne le montrait. Ça a été grossi dans un article pour créer une polémique.

En voulez-vous à vos ex-coéquipiers de vous avoir sortie dès le début ?
Non, on se soutient quoi qu’il arrive. J’ai été éliminée pour le bien de l’équipe. Les candidats en face sont super-motivés : c’est un défi de battre des champions, et le mental compte beaucoup à Koh-Lanta. Mais, à la fin, j’espère qu’un sportif va gagner.

Que pensez-vous de la phrase de Frank Lebœuf : « Jamais je pensais que j’allais gagner » ?
J’aurais pu la prononcer aussi ! Elle a été mal interprétée : ça signifie juste qu’en allant là-bas, il ne s’est pas convaincu qu’il en sortirait vainqueur. Ça ne veut pas dire du tout qu’il ait gagné…
Propos recueillis par Gaëlle Guitard FRANCE SOIR 3/4

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Par : Nico

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