News La Ferme Célébrités
Interrogé par TELE STAR Michael Vandetta, le type dont la tete a éclaté par son égo crache sur les autres , ainsi sur les autres candidats et notamment Grégory Basso il déclare : "Les autres, c'est des ringards... Cette expérience va m'ouvrir plein de portes. Tout le contraire de Greg le Smicard, qui n'a pas arrêté, jusqu'ici, de m'insulter sur Internet. Avec lui, ça risque d'être la guerre !" Sur son côté prétentieux : "Brad Pitt et Tom Cruise ne m'arrivent pas à la cheville"
Sur les filles qui participent à la Ferme : "J'envisage de porter plainte contre Endemol pour ne m'avoir mis qu'avec des moches" Sur sa mission dans la Ferme : "Mon job, c'est foutre le bordel. Et croyez-moi, c'est ce que je vais faire ! (En même temps,) je ne veux pas faire peur au public... A la télé, je vais jouer un rôle... " dit il !
ADELINE BLONDIEAU comédienne : « Ce sont les autres qui me font peur »
Castée sur son premier mariage, Adeline Blondieau, ex-Mme Hallyday ? Réponse sèche : « Ça fait longtemps que je ne m’appelle plus comme ça. La jeune génération me connaît plutôt pour mon rôle dans la série Sous le soleil . » Dont acte. Ce soir, la comédienne de 38 ans va troquer les habits tropéziens pour la panoplie brousse, la savane, ses bêtes et ses… maladies.
« Je me suis vaccinée contre la rage. Si j’avais pu me vacciner contre tout je l’aurais fait. Mais ce qui me fait le plus peur, c’est l’humain. Je suis une solitaire. L’enfer, c’est les autres. » Justement. La raison pour laquelle elle a accepté, excepté l’aventure, c’est « le dépassement de soi ». Et le combat pour l’association Caméléon qui aide les jeunes Philippines victimes d’abus sexuels. « J’en suis très proche », souffle-t-elle.
L’exposition médiatique ? « Pas très important, jure-t-elle. J’ai surtout toujours rêvé d’aller en Afrique du Sud voir les animaux. » Elle est consciente des risques : « J’ai dit à mon fils de 10 ans de ne pas lire les commentaires sur le Net ou les médias. Il y a tellement de méchancetés. » Elle a tout prévu en cas de stress : « Mon matelas de méditation, mais aussi
LE PARISIEN 29/1
Christophe Guillarmé : “J’ai hésité avant de partir”
Le grand public ne le connaît pas encore. Pourtant, ce styliste de 33 ans évolue dans le milieu feutré de la mode depuis près de douze ans. A 21 ans, il se forme chez Castelbajac et Stella Cadente avant de lancer sa première collection en tant que jeune créateur. Un an plus tard, il crée sa ligne de prêt-à-porter de luxe. Ses créations sont aujourd’hui distribuées aux Etats-Unis, au Moyen-Orient, en Europe, au Japon et même en Russie… Côté people, il habille régulièrement la chorégraphe Mia Frye, les comédiennes Nora Arnezeder et Phoebe Price, ou encore Victoria Silvstedt, la partenaire de Christophe Dechavanne dans La Roue de la fortune. Rencontre.
FRANCE-SOIR. Avez-vous accepté facilement de participer à La Ferme ?
CHRISTOPHE GUILLARMÉ. J’ai été contacté il y a trois mois et je n’ai pas cessé d’hésiter. J’avais notamment pour objectif de présenter ma prochaine collection le 3 mars. Et puis j’avais un peu peur de me retrouver avec des people un peu grillés dans le métier. Mais Endemol m’a vendu La Ferme comme quelque chose de glamour. Le fait de quitter Visan pour Zulu Nyala et de pouvoir rencontrer des autochtones a fait pencher la balance. Peut-être que des choses créatives pourront être entreprises là-bas.
Pourquoi défendre Sidaction?
Je soutiens Sidaction, car il y a dans mon entourage plusieurs personnes séropositives.
Ne craignez-vous pas d’écorner votre image ?
Je ne me leurre pas. C’est sûr que cette aventure risque de me fermer certaines portes. Mais je crois qu’elle en ouvrira d’autres. Advienne que pourra. Je ne vais pas en Afrique pour jouer un personnage.
Edition France Soir du samedi 30 janvier 2010
Surya Bonaly : « Pas peur de La Ferme »
Elle aussi a craqué. Trois fois vice-championne du monde, cinq fois championne d'Europe et 9 fois championne de France, Surya Bonaly n'a jamais pu obtenir le titre mondial en patinage artistique. Sera-t-elle la meilleure fermière de TF1 ?
Surya Bonaly, vous avez décidé de troquer vos patins pour des bottes en caoutchouc...
(rires) Je les amène avec moi. On ne sait jamais...
Qu'est-ce qui vous pousse à jouer les fermières ?
J'aime l'aventure. Je crois que cela va en être une. Et puis, je n'avais rien d'autre de prévu. Les galas des fêtes de Noël sont finis et j'attends ceux qui vont suivre les Jeux olympiques... Je prends ça comme des vacances. Quand je suis en tournée, je n'ai jamais le temps de visiter le pays où je me produis. C'est l'occasion rêvée de le faire.
Que pensez-vous trouver dans La Ferme ?
Des animaux sauvages ! Je n'ai jamais eu l'occasion de les approcher de près, ça m'amuse.
La vie en collectivité ne vous fait pas peur ?
Je ne pense pas qu'il y ait une grande différence avec ce que je vis en tournée depuis 15 ans. Là, il n'y aura même pas la barrière des langues : tout le monde s'exprime en français.
Mais vous allez rencontrer des rivalités...
Pas de problème. Je me sens très forte. En tournée, tous les soirs je dois me surpasser pour produire le meilleur spectacle. Je n'ai pas peur.
Pensez-vous que cette émission va vous mettre en valeur ?
Je n'en sais rien et ça m'est égal. Pour moi, c'est un job comme un autre. Le plus, c'est qu'il me permet de voir du pays. C'est tout bénef.
Quelle association allez-vous défendre ?
L'AMADE (Association mondiale des amis de l'enfance présidée par la princesse Caroline de Monaco, NDLR). Mon but est d'aller le plus loin possible pour révolter le maximum d'argent.
Vous n'avez pas peur d'être tournée en ridicule ?
Franchement non. Je vais faire ne sorte d'en profiter un maximum. Pour le reste...
Les mauvaises langues disent qu'il n'y a que des « has-been » dans La Ferme...
Ce n'est pas mon cas. Je suis toujours en activité, je me produis en spectacle. Ce n'est pas parce qu'on ne vous voit pas à la télé pendant deux ans que vous êtes « has-been » Et puis, après tout, ils peuvent penser ce qu'ils veulent, ça ne me touche pas. Je trouve ce qualificatif complètement ridicule.
Propos recueillis par Patrick Cabannes TV MAG 29/1
Greg Basso: «La cohabitation, je connais»
L'ex-millionnaire de TF1 participe à La ferme célébrités en Afrique
Les seize fermiers de TF1 entrent en action : pendant dix semaines, leur vie sera rythmée par le son des tam-tam, les soins aux animaux sauvages et un safari dans la brousse. Parmi eux, Greg, l'ancien «millionnaire» de la Une. Il est déjà en Afrique du Sud. Prêt à en découdre.
Grégory Basso, pourquoi participer à la Ferme Célébrités en Afrique ?
Je souhaite aider l'association Naevi (qui vient en aide aux personnes atteintes de naevus géant, tache pigmentée de la peau socialement très invalidante, NDLR). Et j'ai envie d'une aventure extraordinaire. Je suis très excité à l'idée de vivre au milieu des animaux sauvage, en pleine brousse. J'ai toujours rêvé de faire un safari.
Et promouvoir votre nouvel album...
Pourquoi je me gênerais ? Je suis déjà sur place et j'ai enregistré un duo avec des artistes africains qui cartonnent ici. Ce morceau sera sur mon album.
L'Afrique du Sud n'est pas une destination très sûre. Avez-vous été témoin de violence ?
Pas du tout. J'ai visité des ghettos, le musée de l'Apartheid... C'est hallucinant tout ce que ces gens ont vécu. Il y a une vraie histoire, une vraie douleur qui les lient tous. Les gens sont adorables. Ils n'ont rien et ne se plaignent pas.
Vivre en cohabitation ne vous pose pas de problèmes ?
La cohabitation, je connais. J'ai vécu deux ans et demi avec des gens pas très sains.
Vous faites allusion à votre séjour en prison ?
Exactement. Après cette expérience, ce que je vais vivre ici s'apparente au paradis.
Dans Greg le millionnaire, vous étiez comme un coq dans une basse-cour. Le serez-vous dans La ferme ?
Pas du tout. J'ai quelqu'un dans ma vie. Je n'y vais pas pour draguer. Le plus dur sera d'être séparé de ma copine. Elle me manque déjà.
Et si ça se passe mal avec les autres fermiers ?
Je n'ai pas envie de me mêler des histoires. Si on vient me soûler, j'agirai en conséquence. Je ne suis plus un gamin. Je n'aime pas l'injustice, alors ils auront à faire à moi.
Certains vous considèrent comme un has been, voire un «never been»...
Ces gens-là, je les em...! Ils sont jaloux et aimeraient être à notre place. Qu'ils fassent quelque chose de leur vie et on en reparlera. Je suis un artiste et j'essaie de vivre de ce qui me plaît.
Propos recueillis par Patrick Cabannes TVMAG
Hermine de Clermont-Tonnerre : “Quinze jours pour sauver un enfant”
Avant de prendre l’avion pour Zulu-Nyala, cette célébrité nous livre ses impressions.
« On va beaucoup rigoler. » La princesse est tout excitée par l’aventure unique qui l’attend et affiche d’emblée la couleur. A quelques minutes d’embarquer pour l’Afrique, Hermine de Clermont-Tonnerre se confie à France-Soir et savoure déjà sa première victoire : « J’ai réussi à boucler ma valise ! » Ouf.
FRANCE-SOIR. Quelle association avez-vous décidé de défendre ?
HERMINE DE CLERMONT-TONNERRE. Celle du professeur Francine Leca, Mécénat Chirurgie cardiaque, qui opère des enfants atteints de malformations du cœur. Depuis sa création en 1996, l’association a pu guérir 1.080 bambins. Mais cela coût cher : 12.000 euros à chaque fois. Il faut donc que je reste quinze jours pour sauver un enfant.
Pourquoi avoir accepté de participer ?
Je n’étais pas très motivée au départ. Et puis Endemol m’a présenté les choses de manière sympathique, en misant sur le côté Daktari et sur le fait qu’il faudrait s’occuper des animaux… En oubliant de me dire que nous allions cuisiner nous-mêmes et s’occuper du potager. Si on ne mange que des racines, on va vite en avoir ras-le-bol (rire). Enfin, je suis prête pour labourer le potager, mais uniquement s’il y a une vache pour tirer la charrue.
Avez-vous eu des craintes avant de dire « oui » à Endemol ?
Absolument pas. Je n’ai même pas vu les précédentes éditions de La Ferme. Je suis incapable d’ouvrir Internet pour lire les rumeurs. Personnellement, je m’en moque ! Je pars à l’aventure sans a priori. Rencontrer une autre culture c’est très enrichissant et quitter mon confort ne me dérange pas le moins du monde.
Vous ne semblez pas trop effrayée par les animaux…
J’adore cela. Je me suis d’ailleurs préparée à affronter les crocodiles. S’ils ne m’obéissent pas, je brandirais ma paire de sandales en croco et je leur dirai : « Fais ce que je te demande si tu ne veux pas finir en chaussures » (rire).
Vous êtes une princesse au caractère bien trempé. Souhaitez-vous vous imposer tout de suite ?
Pas du tout. J’aime la joie, la bonne humeur, la gentillesse et la politesse. Je ne suis pas là pour faire la morale aux gens. Peut-être qu’à certains moments mon sang sicilien prendra le dessus. C’est sûr que j’ai du tempérament, mais je ne suis pas quelqu’un de méchant. Je déteste par-dessus tout les gens mal élevés.
Vous dites ne pas prêter attention aux commérages. N’est-ce pas un atout quand on vit en communauté ?
Je ne sais pas. J’ai été critiquée très tôt, car j’étais une enfant déjà très originale. On ne peut pas empêcher les gens de parler, d’être aigris ou de faire des remarques antipathiques et gratuites. Je n’ai pas la prétention de changer quiconque.
Que pensez-vous pouvoir apporter ?
On me dit toujours que je pourrais réveiller un mort et faire parler un mur. Donc si un fermier a besoin de se confier, il trouvera auprès de moi une oreille attentive.
Qu’est-ce qui sera le plus difficile ?
Quitter mes enfants (Allegra, 6 ans et Calixte, 4 ans). Cela ne m’est jamais arrivé d’en être séparée aussi longtemps, cela peut durer deux mois et demi. Sinon, j’ai peur des serpents, des scorpions et de ce qui pique…
Quels sont les deux livres que vous avez glissés dans votre valise ?
Le mien, Politesse oblige. Si quelqu’un est impoli je lui dirais de le lire (rire). Et puis j’ai pris un livre de prières bouddhistes et de pensées positives. Je vous en délivre une : « Il faut aimer son prochain, sans préjugés. »
Princesse et reine de la jet-setConnue pour son franc-parler et pour être terriblement moderne, la princesse Hermine de Clermont-Tonnerre est un savant mélange de la baronne de Rothschild et d’Emmanuel de Brantes. Styliste chez Dior à 22 ans, reine de la jet-set, elle est aussi l’auteur des livres Politesse oblige ou Mon prince est venu et c’est là que les ennuis commencent. Sportive accomplie, elle a participé six fois au Rallye des princesses, qui traverse la France (de Paris à Monaco) au volant de voitures de collection. Elle fêtera ses 44 ans le 3 février prochain, dans la Ferme.
Edition France Soir du vendredi 29 janvier 2010 Loïc Torino-Gilles
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |