News Hommage à Gregory Lemarchal

Grégory déjà 3ans : Karine Ferry se confie [MAJ 10/8]

Triste anniversaire ce jeudi 30 avril 2009 puisque cela fait Deux ans que Grégory est décédé, deux journaux en ont profité ces dernières semaines pour interroger son ex compagne l'animatrice de M6 : Karine Ferri qui se confie donc...

2009 ITW à Télé Star
Pour elle ce 30 avril 2009 il n'y a pas d'évenement particulier , "c'est un combat quotidien contre la maladie au sein de l'association. Je parlerais toujours d'elle . Je me sers de ma petite notoriété pour passer mon message, je connais bien la mucoviscidose, j'ai cotoyé cette maladie et il faut la combattre" dit elle ! Elle est ensuite interrogée sur l'éventualité qu'elle écrive un livre sur sa liaison avec lui, ce qu'elle dementira aussitot : " Mon histoire avec Greg n'appartient qu'à nous ! Elle n'a pas de prix et n'est pas à vendre" voilà qui est plus que clair donc !
La disparition de Greg a été dure pour elle "je ne serais plus jamais la même, on avance difficilement avec les souvenirs ; mais j'aurais trouvé ce que certaines personnes cherchent toute leur vie : l'Amour" avant de préciser qu'elle cherche à se reconstruire sentimentalement, pensant que Greg le souhaiterait aussi pour elle. Elle parle enfin de la presse people qui raconte n'importe quoi à son sujet depuis la disparition de Greg, dit elle et qu'elle prend de la distance par rapport à ça, sinon elle se laisserait bouffer...

2009 L'itw à PUBLIC
Le 30 avril 2007 disparaissait Gregory Lemarchal, qui a laissé derrière lui Karine Ferri remplie de chagrin . Deux ans plus tard, la présentatrice de M6 et W9 très occupée professionnellement se confie à Public sur sa manière de reconstruire sa vie... "Le vide est là. Chaque matin, il faut que je trouve la force d'avancer." Tels étaient les mots de Karine trois mois après le décès de Grégory, tragiquement emporté par la mucoviscidose.
Aujourd'hui, son discours a quelque peu évolué : "J'ai Greg dans mon coeur et au plus profond de mon âme. J'ai la chance de partager sa vie encore aujourd'hui mais sous une forme différente. Le lien est toujours là. Greg m'aimait de manière honnête, simple et romantique, comme un prince. Quand on a la chance de trouver quelqu'un qui vous correspond parfaitement, c'est tellement dur ! J'avais l'amour, j'avais tout... " Elle est restée très proche de la famille de Greg, à savoir Pierre et Laurence et se donne à fond pour l’association de Grégory Lemarchal pour laquelle elle fait partie des membres du conseil d’administration.


MAI 2009 ITW A GALA
Karine a accordé une nouvelle itw au magazine GALA cette fois, paru le 4 mai 2009, la voici :
Deux ans se sont écoulés depuis le décès de Grégory Lemarchal, emporté par la mucoviscidose, le 30 avril 2007. Deux ans que sa compagne, Karine Ferri, se bat contre l'absence, le manque, la peine. Tête haute, décidée à poursuivre le combat de celui qu'elle a tant aimé contre la maladie (elle est engagée auprès des parents de Grégory engagée dans l'association qu'ils ont créée), la jolie présentatrice du « Star Six Music » et de « Fan de », sur M6, fait le point. Et ne mâche pas ses « maux »...

Gala : Vos rendez-vous à la terrasse de cafés, en compagnie de charmants jeunes hommes, font régulièrement la une des magazines...
Karine Ferri : Hélas je me sens épiée. traquée. Il suffit que, je sois souriante aux côtés d'un collègue ou d'un ami pour que l'on en tire des conclusions hâtives. Les rumeurs infondées inondent la presse quasiment toutes les semaines, c'est ridi­cule. Et problématique : j'ai des copains qui délcine mes invitations à boire un verre parce qu'ils craignent de se retrouver dans un journal ! Si, un jour, je noue à nouveau une relation sérieuse, cela ne regardera que moi.

Gala : Vous sentez-vous libre de vivre une nouvelle histoire d'amour ?
K. F.: Aujourd'hui, ma priorité, c'est mon travail. mais je ne m'empêche pas d'y croire. Je prends la vie comme elle vient. Mais l'amour n'est pas encore au rendez-vous. Je ne sais pas de quoi demain sera fait. J'ai déjà eu la chance de vivre une histoire merveilleuse avec Grégory. Et si quelqu'un survient dans ma vie, j'espère d'abord que tout se passera bien et qu'il acceptera que Grégory soit à jamais présent dans mon cœur.

Gala : Est-il si difficile à remplacer ?
K. F.: Mais il n'est pas question de le rem­placer ! Jamais. Chercher à retrouver un homme qui lui ressemble, c'est perdu d'avance. Grégory était unique, exception­nel. Si. un jour, je rencontre quelqu'tui, je lamierai, mais différemment. Ce sera une autre histoire.

Gala : On a quand même l'impression que vous n'avez pas tourné la page...
K. F.: Grégory fait partie de mon histoire, je fais partie de la sienne. Le manque et la souffrance sont toujours là.Je les ai appri­voisés. Quand il est parti, j'aurais pu rester dans mon coin à me lamenter, entretenir la tristesse..J'ai choisi de me battre. De vivre. Quiconque a connu Grégory, été témoin de la façon dont il luttait dans l'adversité contre la maladie. ne ne pas baisser les bras. Quand j'ai le blues, j'aime écouter son interprétation de Show must go on. J'y puise l'énergie d'avancer. Mais je n'ai besoin ni d'objet. ni de, photo, ni de date pour me souvenir de lui. Il est, là à chaque instant.

Gala : Vous êtes très associée à lui, à son nom, son image. Cela vous pèse-t-il ?
K. F.: Non. Au contraire. Je pense que Karine Ferri et Grégory iront toujours de pair. Cela ne me pose aucun problème. Prenez France Gall : ou l'associe toujours à Michel Berger et elle continue à vivre, à parler de lui, à célébrer les trente ans de Starmania... Evidemment. notre histoire à nous est différente, mais la pas­sion ne se mesure pas an en nombre d'années partagées. Je suis fière de Greg, de son parcours, de l'homme qu'il était. Ce qui me pèse, ce sont toutes les méchancetés qui ont été dites et écrites sur notre, compte.

Gala : On vous a notamment reproché de profiter de sa disparition pour satisfaire vos ambitions professionnelles...
K. F.: Cela m'a fait beaucoup de mal.
Mais je connais la vérité. Grégory, sa famille et la mienne, aussi. C'est ce qui compte, et tant pis pour ceux qui pensent que j'ai pu exploiter la souffrance, de quelque manière que ce soit. Je ne veux pas perdre mon temps à répondre à ces calomnies. Mon énergie. je préfère la dépenser dans le combat contre la mucoviscidose.

Gala : Vous avez vingt-sept ans. Un âge où l'on songe à fonder une famille, avoir des enfants... Cela rentre-t-il clans vos projets ?
K. F.: Ce m'est clairement pas une priorité. Mais je ne fais pas de plan. Et j'espère que cela m'arrivera un jour parce que j'ai droit au bonheur. C'est ce que Grégory souhaiterait pour moi.
PROPOS RECUEILLIS PAR AMÉLIE DE MENOU

Photo : GALA


AOUT 2010 «Cette tristesse, je la mets dans mon boulot et dans l’association. Ça m’aide à avancer»
F.-S. Vous continuez à beaucoup vous investir dans l’Association Grégory Lemarchal. En quoi est-ce important ?
K. F. C’est le combat d’une vie… De ma vie. Et je continuerai tant qu’on n’aura pas vaincu la mucoviscidose, cette putain de maladie. Je me battrai jusqu’au bout ! Jusqu’au bout… Dès que mon emploi du temps me rend disponible, je pars tout de suite. Je ne réfléchis pas. L’association a de gros projets, notamment pour aider la recherche ou rénover certains hôpitaux. Pour y arriver, nous avons besoin d’argent. Cela coûte très cher.

F.-S. Comment pouvez-vous vous reconstruire depuis la mort de Grégory, qui était votre compagnon ?
K. F. Cela fait trois ans et je ne me reconstruis pas. Chaque jour qui passe me rappelle cette douleur. Mais comme disait Greg : « The show must go on. » Il faut continuer à avancer, à se battre. Alors cette tristesse, je la mets dans mon boulot et dans l’association. Ça m’aide à avancer.

F.-S. Ne vous interdisez-vous pas le bonheur ?
K. F. Bien sûr que je me l’interdis… Je suis en recherche de rien du tout, même si j’ai bien conscience que ce n’est pas ce qu’aurait souhaité Grégory. Il aurait voulu que je sois accompagnée et que je me donne l’occasion d’être heureuse à nouveau. Mais ce n’est pas ma priorité.

F.-S. C’est ce qui explique votre agenda bien rempli ?
K. F. Oui. Mon épanouissement, je le trouve dans le travail. D’ailleurs Grégory est toujours là. J’en suis persuadée et je sens qu’il m’aide. Je me dis qu’on ne peut pas venir et repartir comme ça. Les âmes demeurent. Alors plutôt que pleurer, je me réjouis de l’avoir connu et d’avoir été à ses côtés.
FRANCE SOIR 5 AOUT 2010

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Par : Nico

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