News Star Academy 1 à 5
Voici la présentation du téléfilm par le communiqué de France2, relayé par notre partenaire Tvnews
CASTING : Sofia Essaïdi (Aïcha), Amidou (Monsieur Bouamazza), Rabia Mokkedem (Madame Bouamazza), Farida Khelfa (Malika), Biyouna (Biyouna), Shemss Audat (Nedjma), Linda Bouhenni (Farida) et Priscilla Attal (Lisa).
L'HISTOIRE : A quelques kilomètres de Paris, de l'autre côté du périphérique nord, se dresse une cité ghetto, aux innombrables façades de barres d'immeubles vétustes sur lesquelles le béton éclate un peu partout, et le fer rouille. Une société multiraciale s'y est enracinée depuis longtemps, alors que la plupart des familles françaises de souche l'ont désertée. A la tour 216, vit la famille "modèle", d'origine algérienne, les "Bouamazza". Notre héroïne, Aïcha, 25 ans, leur fille aînée, est montrée en exemple par toute la cité. Mais Aïcha ne supporte plus le poids du groupe communautaire : elle veut voler de ses propres ailes, conquérir son indépendance, et franchir le Rubicon. De l'autre côté du périphérique, aller vivre dans la Ville Lumière. Y arrivera-t-elle ?
Crédit photo © Jacques Morell - France 2.
MAIS AUSSI
Sofia devrait revenir sur TF1 pour un téléfilm de 90 minutes selon Télé loisirs. Dans cette fiction intitulée Le temps est à l'orage, la jeune femme pourrait jouer aux côtés de Pierre Mondy et Alexandre Brasseur.
Interview et extrait
Sofia était invitée de l'émission médias de direct8 le lundi 27 avril pour faire la promotion de ce téléfilm, où un long extrait a été diffusé durant l'interview.
Interview Sofia Eïssadi
Avec Aïcha, Sofia Essaïdi décroche son premier grand rôle de fiction. Un personnage positif et attachant, en pleine quête d’indépendance, que la jeune comédienne a abordé avec justesse et naturel. Retour sur cette première expérience très prometteuse.
Lors des castings, vous avez auditionné pour le rôle de Nedjma. Et, au final, vous décrochez le rôle d’Aïcha…
C’est vrai que j’auditionnais au départ pour un second rôle, ce qui, au passage, me convenait tout à fait ! Comme j’ai démarré très vite dans la musique grâce à la Starac’, j’avais envie de prendre davantage mon temps avec le cinéma. Mais quelques jours après les essais, on m’a rappelée pour le rôle principal. La panique ! J’étais totalement terrifiée ! Après ce second casting, Yamina m’a proposé le rôle d’Aïcha… que j’ai d’abord refusé. Pour elle. Comme je n’avais jamais tourné, je ne voulais pas que mon manque d’expérience vienne tout gâcher. Mais Yamina a su me donner confiance, en me proposant notamment de travailler avec un coach, Julien Collet. Ce jeune homme formidable m’a enseigné les techniques de base, comme l’articulation, et m’a vraiment aidée à aborder plus sereinement cette nouvelle expérience.
Qu’est-ce qui vous a touchée dans cette histoire ?
Je suis très touchée par les combats que mène Yamina depuis des années. Et même si j’ai eu la chance de grandir au Maroc dans des conditions merveilleuses, vivre en France m’a fait prendre conscience des difficultés d’intégration des jeunes Maghrébins. Et puis, dans le film, le problème de la ghettoïsation est magnifiquement abordé, tendrement même, à travers les regards de plusieurs générations de femmes qui ont toutes une histoire. Aïcha est, pour moi, un vrai fi lm de femmes.
En endossant un tel rôle, on se sent une certaine responsabilité…
Oui et non. Car Aïcha reste une fiction. Il est vrai qu’un message est véhiculé à travers elle. Et qu’en participant à ce projet, j’en suis évidemment solidaire mais je ne suis qu’un tout petit maillon de la chaîne… Ma responsabilité était d’abord d’être la plus juste possible afin de transmettre au mieux le message de Yamina.
Que pensez-vous d’Aïcha ?
Je l’adore ! Cette fille est géniale : une vraie Amélie Poulain des cités ! Toujours prête à rendre service, à faire plaisir, et à faire passer l’intérêt des autres avant le sien. Et si Aïcha sait que son avenir est ailleurs, sa conquête d’indépendance n’est pas accompagnée d’une envie de chaos, de tout quitter. Elle veut s’en sortir, mais pas seule. Gagner de l’argent et sortir sa famille de la cité. Partir pour mieux revenir…
Dans le film, on peut mesurer tout le poids de la vie en communauté mais aussi sa richesse…
Le film montre bien qu’en vivant tous ensemble, on se sent toujours un peu surveillé. Mais, a contrario, il y a toujours quelqu’un… Comme j’ai vécu 18 ans au Maroc, je connais bien la vie communautaire. Mais je l’ai toujours envisagée comme une vraie présence familiale. Le rassemblement, se retrouver en famille, assis autour d’un bon repas chaleureux que l’on partage dans le même plat, fait partie de la culture. Au Maroc, tout comme en Algérie. Par moment, j’avais d’ailleurs l’impression d’être chez moi, en Afrique, alors qu’on était en plein tournage à Bobigny ! Un jour, on a carrément mangé un couscous tous ensemble. Il était pile l’heure du dîner et, comme on tournait la scène du mariage, nous avons fini par tous manger en tournant la séquence !
Qu’avez-vous été surprise de découvrir lors du tournage ?
J’avoue avoir été assez troublée par toutes ces journées passées dans la cité… Nous avons eu la chance de tourner au coeur des tours, de monter dans les appartements où nous avons rencontré pas mal d’habitants. Je les ai beaucoup écoutés. Leurs témoignages m’ont énormément touchée. Dans chaque lieu où l’on tournait, à Bobigny ou ailleurs, l’accueil était chaleureux, plein de sourires, de curiosité.
Votre expérience de la chanson vous a-t-elle aidée à appréhender la comédie ?
Il y a un lien, forcément. Car à chaque fois que je chante, que j’interprète une chanson, j’ai l’impression de jouer. Et puis, chanter et danser m’ont aidée à être à l’aise avec mon corps. Et quand on est en accord avec lui, les mouvements deviennent plus naturels, y compris au cinéma. Du coup, le besoin d’être dirigée, “physiquement” parlant, est apparemment amoindri. Aujourd’hui, j’ai envie de poursuivre cette expérience, de faire mes preuves, sans pour autant arrêter la musique.
Comment s’est passée votre collaboration avec Yamina Benguigui ?
Dans la vie, j’ai l’impression d’avoir eu deux anges gardiens : Kamel Ouali* et Yamina Benguigui. A ses côtés, j’ai vécu un tournage que je n’oublierai jamais. Elle sait vous emmener là où elle veut, sans vous donner l’impression de vous y conduire. Et toujours avec douceur et humour. Yamina est pleine de vie, de nouvelles idées. D’ailleurs, on se retrouvait bien souvent, le matin, à réapprendre un texte qui avait changé au cours de la nuit.
Pas trop déstabilisant ?
J’adore ça ! Improviser, sur scène, ou ailleurs, me donne l’impression de découvrir à chaque fois une nouvelle histoire. Avec Yamina, aucun jour ne ressemble à un autre. Elle a su nous emmener en voyage pendant un mois et demi. Et l’atterrissage a été dur. Très dur. J’ai eu beaucoup de mal à quitter Aïcha…
Propos recueillis par Céline Boidin-Lounis, France 2
Yamina Benguigui et Sofia Essaïdi à On est pas couché
Elles étaient les invitées de On est pas couché ce samedi 10 mai à 23h sur france2 pour faire la promo de la Fiction « Aïcha » de Yamina Benguigui diffusée le mercredi 13 mai 2009 à 20h35 sur France 2. Sofia a également parlé de la Comédie musicale « Cléopâtre, la dernière Reine d’Egypte » de Kamel Ouali.
Montage de ses itws
RUQUIER : Yamina Benguigui et Sofia Essaïdi 9/5/09 1.2
envoyé par 20thcenturyfox. - L'info video en direct.
La bande annonce :
ITW SOFIA : "J’étais Sofia, Aïcha et Cléopâtre dans la même journée"
La chanteuse Sofia Essaïdi tient le premier rôle d'Aïcha mercredi soir sur France 2
Pour son premier rôle à la télé, Sofia Essaïdi, la chanteuse qui tient le rôle de Cléopâtre dans la comédie musicale du même nom, est Aïcha dans le film de Yamina Benguigui. Elle y incarne une jeune fille des banlieues, qui, tenaillée entre les traditions et sa vie en France espère un jour réaliser son rêve : aller vivre de l’autre côté du périphérique. À voir.
Sofia Essaïdi, pourquoi avez-vous fait le choix de travailler avec Yamina Benguigui ?
J’ai passé le casting très innocemment. Au départ, je postulais pour un second rôle, celui de Nedjma, la cousine d’Aïcha. On m’a rappelé pour passer le casting du premier rôle. J’étais pétrifiée. Quand Yamina Benguigui m’a annoncé que j’étais Aïcha, je lui ai répondu : "non". Elle a su me donner confiance en moi. Je n’avais pas assez d’expérience. J’ai travaillé avec un coach pendant deux semaines.Et puis on est parti dans cette aventure que je n’oublierai jamais.
Comment avez-vous vécu ce premier rôle ?
Merveilleusement bien. Au bout d’un moment j’étais Aïcha à part entière. Pendant un mois et demi, c’était très bizarre. Ma mère s’énervait un jour parce que j’étais là en train de lui parler de mon autre "mère", celle du film (Rabia Mokkedem NDLR). Et elle m’a dit "mais c’est moi ta mère, ce n’est pas elle". C’était un tournage extraordinaire. Yamina Benguigui forcément est à la base de tous ça. Aucun des acteurs n’avaient envie que ce tournage se termine.
Est-ce qu’il y a eu des surprises pendant le tournage ?
Oui, ma mère dans le film est vraiment très drôle. Elle ne lit pas et on lui faisait apprendre à l’oreille tous ses textes. Et parfois, elle oubliait et elle partait dans des improvisations qui duraient longtemps et qui étaient vraiment très drôles. On rigolait tous beaucoup, même les gens derrière la caméra. C’était vraiment bien.
Vous avez grandi au Maroc, avez-vous aussi vécu cette double culture comme dans le film ?
Ma mère est française et mon père marocain. Donc je connais cette double culture, mais je n’ai jamais vécu comme Aïcha et les jeunes filles dans les cités. On ne m’a jamais rien imposé, ni une culture, ni une religion, ni un mode de vie. J’ai vraiment vu un autre monde en allant tourner dans les banlieues. Au Maroc, la communauté je l’ai vécue comme quelque chose de positif, comme une présence, une aide quotidienne alors que les jeunes filles du film, le vivent comme un poids.
Va-t-il y avoir une suite à Aïcha ?
La suite n’est pas encore tournée, elle est en fin d’écriture.
J’ai hâte que ce projet continue pour me replonger dans le rôle et travailler à nouveau avec Yamina Benguigui.
Comment vous êtes vous préparé loin de Cléopâtre ?
Ce fut compliqué. J’étais Sofia, Aïcha et Cléopâtre dans la même journée. Ça m’est arrivée de tourner la journée Aïcha et d’enregistrer le soir des chansons pour Cléopâtre.
Allez-vous continuer à être une actrice et une chanteuse en même temps ?
J’ai commencé ma carrière par la musique, mais ça aurait pu être le cinéma. Je me régale de ces deux mondes et je n’ai qu’une envie : jongler entre la musique et le cinéma.
Noémie Debot-Ducloyer METRO FRANCE 12 MAI
Reportage de C à Vous (France 5, le 15/06/2010) consacré aux coulisses d'Aïcha 2, Un job à tout prix
[Aïcha] Coulisses + ITW de Sofia Essaïdi et Yamina Benguigui
envoyé par RomainSW. - Regardez plus de films, séries et bandes annonces.
Bonne audience
Le téléfilm a réalisé une bonne audience sur france2 ce 13 mai dès 20h35, puisque selon le communiqué de la chaine le programme a réuni en moyenne 5,33 millions de téléspectateurs soit 22.3% selon Médiamétrie, plaçant France 2 en seconde place des audiences de la soirée.
EXTRAITS + CAPS DES PASSAGES DE SOFIA A VISIONNER ICI
Du téléfilm à la série...
La réalisatrice Yamina Benguigui a déclaré au festival de la télé à Monte Carlo en ce mois de juin 2009 être en train d'écrire une série à partir de son film, Aïcha. A Monaco, la réalisatrice à en effet déclaré écrire actuellement 6 épisodes de 52 min pour France 2. Elle voudrait prolonger son analyse des banlieues et de l’immigration.
Dans un entretien au journal LA LIBRE.BE, la réalisatrice nous apprends en ce mois de Juillet que sofia sera bien de la partie dans cette suite. ""C’est acté, c’est fait, on est sûr de faire la suite. Il y a plusieurs sujets prêts et c’est exactement ce que je voulais au départ. Ce sont des 90’ bouclés et il y aura chaque fois des nouveaux personnages qui entreront dans cet univers. Dans le prochain, on verra comment Aïcha remonte un plan pour atteindre Paris. On verra aussi les conditions de travail, de transport, etc. en banlieue."
Au programme un double téléfilm (2x90’) fin 2009 et 4 nouveaux épisodes en 2010. "Je n’ai pas peur de la dilution du propos parce que cela n’a jamais été pensé comme un unitaire. J’ai toujours travaillé sur 6 épisodes. Ils sont prêts, écrits et n’ont rien à voir avec le premier car chaque fois des thématiques différentes sont traitées."
Le tournage aura lieu avant fin 2009. "Il faut aller vite parce que ce qui s’est passé, c’est de la folie, je n’ai jamais eu cela, cet amour des personnages. On a reçu des centaines de mails signés Martine, Chantal, pas que Leïla. Des mails qui posent des questions et donnent des conseils, comme si Aïcha était réelle parce que, pour eux, elle l’est. Toutes les dates de tournage sont arrêtées avec Sofia Essaïdi et les autres comédiens; ils sont ravis. Je continue dans le côté drôle et acide mais ce qui compte c’est que le fond documentaire soit abordé."
EPISODE 2 Aïcha, job à tout prix
Voici Le pitch de l'épisode 2 tourné au printemps 2010 : "Aïcha, job à tout prix". Aïcha a décroché un job... à Bobigny, alors qu'elle rêvait de passer de l'autre côté du périphérique, pour vivre enfin dans la Ville-Lumière, et librement son histoire d'amour avec Patrick. Elle va tout miser sur le défi que lui lance sa grande patronne parisienne : réussir le lancement d'une gamme "ethnique" de produits capillaires révolutionnaires. Mais rien n'est jamais simple chez les Bouamaza : si Aïcha peut compter sur l'aide de sa tante Biyouna avec son salon de coiffure, elle aura du mal à maintenir la paix entre ses parents, veiller sur le bébé de sa cousine Malika, contenir les initiatives politiques de sa cousine Nedjma, parer les attaques de gloria, sa nouvelle rivale de bureau... tout en donnant un peu de temps à son histoire d'amour. Aïcha doit toujours se battre pour se construire, entre tradition et modernité.
Aïcha travaille maintenant comme stagiaire, à cinq cents mètres de chez elle, dans l’antenne locale d’un grand groupe parisien. Elle rêve de passer de l’autre côté du périphérique pour intégrer le siège, à Paris. Mais que peut-on vraiment espérer quand la journée se passe à classer des dossiers sans que personne ne vous remarque ? Or, un matin, la directrice de groupe lui confie la promotion d’un produit cosmétique dans sa ville. Aïcha se lance à corps perdu dans la réussite de cet événement inespéré pour toutes les femmes de la famille et de la cité car, depuis toujours, elles voient passer la caravane du travail, sans jamais s’arrêter. Mais c’est sans compter avec l’arrivée d’une voisine de bureau, Gloria, l’Espagnole, prête à tout pour prendre sa place et obtenir elle aussi le job au siège de Paris. Aïcha devra également calmer le vent de panique que sème sa cousine Nedjma dans la cité, à la tête de son association de musulmanes nouvellement converties, tout en continuant à gérer les péripéties tragi-comiques quotidiennes d’une famille ordinaire bien de "chez nous".
Avec : Sofia Essaïdi (Aïcha), Amidou (Monsieur Bouamazza), Rabia Mokkedem (Madame Bouamazza), Farida Khelfa (Malika), Biyouna (Biyouna), Shemss Audat (Nedjma), Linda Bouhenni (Farida), Priscilla Attal (Lisa) et Axel Kiener (Patrick), Cyrielle Clair (Albane Granger), Saïda Jawad (Gloria), Bibi Nacéri (Abdel), Isabelle Adjani (docteur Assoussa) et Bernard Montiel (dans son propre rôle).
Diffusion MERCREDI 2 MARS 2011 20H35
Interviews sur cet épisode à lire et voir ici
EPISODE 3 : La Grande Débrouille
Le tournage a eu lieu selon notre partenaire TVNEWS du 10 janvier au 7 février 2011 => DIFFUSION Mercredi 7 Septembre 2011
EPISODE 3 : Dans « La Grande Débrouille », nous retrouvons notre héroïne Aïcha Bouamaza, ses parents, ses tantes hautes en couleurs ainsi que la cité, sa famille élargie. Après avoir déjoué les pièges tendus par Gloria sa collègue pour prendre sa place, Aïcha est plus que jamais déterminée à réaliser son rêve : quitter la cité. Côté coeur, Patrick lui a posé un ultimatum : une rencontre entre sa mère et Mme Bouamaza Sa patronne Albane la charge de réaliser une enquête de satisfaction auprès de leurs consommatrices, en misant sur la méthode du porte-à-porte. Heureusement, Aïcha peut compter sur le savoir-faire de Ginette, spécialiste de la vente à domicile, seule capable de lui permettre de rencontrer des centaines de femmes…, mais à la réputation sulfureuse auprès de son père. De plus, la cité est au coeur d’un climat apocalyptique, avec la malédiction des pannes d’ascenseurs, et toutes ses conséquences… Inch’Allah, après tout, ….tout peut arriver !
Le casting : Sofia Essaïdi (Aïcha), Shemss Audat (Nedjma), Rabia Mokeddem (Madame Bouazama), Saïda Jawad (Gloria), Jean Benguigui (Docteur Accoca) ; Philippe Lavil (Mr Maurice) , Marc Andreoni (Ionesco) , Axel Kiener (Patrick) , Rabia Mokeddem (Madame Bouamaza) , Priscilla Attal (Liza) , Farida Khelfa (Malika) ,
Linda Bouhenni (Farida) , Bunny Godillot (Mme Maillard) , Cyrielle Clair (Albane Granger) ; Raphaël Mezrahi (Mr Vignault) ...
Le site recheche des rédacteurs pour écrire des résumés des émissions françaises "The Voice, Koh Lanta, Nouvelle star, Garde à vous..." et des talent-shows étrangers... Si vous etes interressé laissez un commentaire ou envoyer un mail! Merci d'avance ! On a besoin de vous !!!
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Il y a : 5 Commentaires | Par : Nico |
Les commentaires
Posté par : Coulie, le 28/04/2009 - 19:50:53 |
Contente aussi pour elle .
Posté par : valy, le 29/04/2009 - 12:39:17 |
Posté par : nana, le 13/05/2009 - 17:44:20 |
Posté par : Coulie, le 14/05/2009 - 15:28:53 |
Posté par : imane111, le 13/06/2009 - 10:12:02 |
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