News Pékin Express
Après des mois de réflexions et de recherche, la production a enfin tranché et a bien choisi l'Amérique du Sud repbatisant l'émission,"Pékin Express, la route des Incas...", les dix duos de candidats en lice pour cette troixième saison pilotée par Stéphane Rotemberg se sont envolés le premier week end d'octobre, selon Le Parisien pour l'Amérique Latine où ils partiront du Brésil pour traverser ensuite le Pérou et la Bolivie afin de relier la côte Atlantique à la côte Pacifique. Un tournage pour lequel la sécurité des équipes a bien été renforcé en raison des tensions locales,voir la news précédente.
Les premières indiscrétions
C'est hier soir 17 decembre qu'avait lieu la soirée de présentation de la 3e saison de PEKIN EXPRESS qui devrait donc demarré bientot... Les candidats il y aura des parents, des collegues de treavail, de fausses jumelles mais vraies soeurs blondes, un cadet de 20ans et l'ainé, Loulou un ancien gendarme de 62ans, qui partiront de Rio de Janeiro (Bresil) pour rejoindre la capitale du Pérou Lima.
Selon Télé 2semaines, Ils traverseront des paysages impressionnants : les mines de Diamantina au Brésil, le marécage du Pantanal en Bolivie, le plus grand désert de sel en Bolivie, le lac Titicaca qui s'étend de la Bolivie au Pérou ou encore la cité du Machu Picchu au Pérou; et au au vu des premières images, la bonne humeur semblerait être au rendez-vous grâce à des candidats a priori plus sympathiques que l'année précédente. Etrange leur commentaire vu que l'an passé les candidats l'étaient deja beaucoup , bien plus que la premiere saison...
Ces derniers ont moins souffert de problèmes de compréhension avec les autochtones, puisque la langue latine se rapproche davantage de la nôtre. En revanche, le jeu qui s'est déroulé dans des hautes altitudes a posé quelques problèmes physiques.
De nombreuses épreuves seront encore prevues comme de la pêche au milieu des piranhas, rencontre avec des crocodiles dans les marécages, recherche de pierres précieuses ou course d’orientation au beau milieu du plus grand désert de sel du monde.
Voila le parcours dans le PARISIEN de ce 18dec.
Les coulisses de l'aventure par Télé Loisirs du 23 decembre
M6 diffuse déjà des bandes annonces pour le programme, en attendant nos confreres d'imedias vous propose de decouvrir les premieres images
Les bandes annonces et Interview
La date de programmation
C'est officiel depuis ce 28 décembre ! M6 diffusera cette 3ème saison de Pékin Express dès le mardi 22 janvier à 20h50 et ce à raison d'un épisode chaque mardi. L'émission est donc programmé pile deux mois plus tot que l'an passé mais à la même période que la première saison. Les 10 équipes partiront de Rio de Janeiro mais une seule pourra remporter jusqu'à 100 000€ en arrivant à Lima (capitale du Pérou).
Le casting complet
TERENCE ET OLIVIA Jeune couple Olivia, 28 ans | MAÏTÉ ET CYNTHIA Belle-mère et belle-fille Maïté, 54 ans Cynthia, 25 ans | ||
GÉRARD ET CÉDRIC Les niçois père et fils Gérard, 46 ans Cédric, 20 ans | MORTA ET LOULOU Gendre et beau-père Loulou, 62 ans Ancien gendarme Morta, 35 ans | ||
PAULINE ET AURÉLIE Les soeurs lilloises Aurélie, 28 ans Pauline, 22 ans | GUILLAUME ET KARINE Frère et soeur colocataires Guillaume, 25 ans Karine, 28 ans | ||
YASMIN ET HAROLD Les époux belges depuis 27ans Harold, 44 ans Yasmin, 45 ans | JEAN-PIERRE ET JOËL Ils ne se connaissent pas Jean Pierre, 61 ans Joël, 37 ans | ||
ÉRIC ET PIERRE Les copains rugbymen Pierre, 43 ans Éric, 39 ans | CHRISTILA ET DELPHINE Les amies infirmières et perpignanaises Christila, 28 ans Delphine, 26 ans |
Les candidats, des anecdotes etc dans Télé 2 semaines du 14/1
Scan steph
Cap sur l'Amerique Latine par TELE STAR du 14/01
Scan steph
Et voici les candidats par TELE LOISIRS du 14/01
Ca va etre le PEROU , par le JDD du 20/01
S. Rotemberg sur la route des incas par Tv mag du 19 janvier
Interview du presentateur par tvmag.com
Après la Russie et l'Asie, direction l'Amérique latine. Pour cette troisième édition de Pékin express, les dix équipes devront parcourir 8 000 kilomètres, traverser le Brésil, la Bolivie et le Pérou, et ce, avec 1 euro par personne et par jour. Un défi sur lequel revient Stéphane Rotenberg.
A priori, on pourrait penser que ce périple est plus facile puisque la barrière de la langue n'est pas la même qu'en Chine ou en Inde...
Stéphane Rotenberg: Cela a constitué une petite crainte au départ. La grande force de Pékin, c'est que les candidats se perdent. L'an dernier, ils ne pouvaient rien deviner des idéogrammes ou du sanscrit. Cette année, ils se dirigent mieux, mais, comme beaucoup de candidats parlent espagnol, les séquences chez l'habitant sont très fortes. Pour «compenser» cette facilité de langage, la course est plus dure physiquement.
Vous-même avez plus souffert que lors des précédentes éditions, notamment à cause de l'altitude...
Les trois quarts de la course se situent entre 3 000 et 4 000 mètres. L'altitude est vraiment le passager clandestin du programme. Cela joue sur le moral. Pour la combattre, il n'y a que les infusions de coca ou l'aspirine. Moi, je n'ai pas souffert de crises respiratoires, juste de saignements de nez.
Pour ce qui est de la sécurité, comment cela s'est-il passé?
Nous avons eu un peu peur au départ. Rio est classée parmi les villes les plus dangereuses. En fait, nous pouvions déplacer les candidats s'ils se trouvaient dans un quartier dangereux. Un responsable sécurité les suivait et nous prévenait quand ils arrivaient au mauvais endroit. Mais, franchement, je me suis senti bien plus mal à l'aise en Russie...
Est-ce que «Pékin express» a changé votre façon de voyager?
Cela a complètement changé ma notion de la promiscuité. Avant je n'étais pas à l'aise dans un lit pas tout à fait propre, avec une salle de bains épouvantable et des bestioles un peu partout. En bon Occidental, j'étais délicat. Aujourd'hui, je suis moins impressionnable.
Des épreuves physiques redoutables
Après la Russie et l'Asie, c'est au tour de l'Amérique latine d'accueillir la folle course de M6. « On change de continent et ça change tout. Les paysages sont incroyables », résume Stéphane Rotenberg. Si, cette année, la barrière de la langue est moins insurmontable qu'en Chine ou en Inde, la production n'a pas ménagé les participants pour ce qui est des épreuves physiques, avec treks et traversée du désert. Mais c'est surtout l'altitude qui a éprouvé chacun de nous. « Les trois quarts de la course se déroulent à 3 000 et 4 000 mètres. L'altitude est vraiment le passage clandestin du voyage. Certains souffrent de crises respiratoires. Personnellement, j'ai été pris de saignements de nez. » Autre épreuve : la traversée des marécages du Pantanal, où un membre de la production a été mordu par un anaconda ! À l'issue des 45 jours de course, seuls deux des dix tandems s'opposeront à Lima pour l'épreuve finale. Avec, à la clé, une coquette cagnotte de 100 000 E.
Par Stéphanie Raïo / Photos : © Stéphane Rotenberg et Anthony Boon / M6 TV MAG
Pékin express chez les incas par LA PROVENCE du 22 janvier
Découvez l'amerique du sud ; TVhebdo du 20 Janvier
De RIO à LIMA par le parisien du 22 Janvier
ITW du presentateur ds CLOSER du 20 Janvier
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Pékin Express revient
Propos recueillis par Ingrid Bernard, le mardi 22 janvier 2008 à 04:00
C’est reparti pour les nouvelles aventures de Pékin Express, avec un trajet un peu différent : 8.000 km à parcourir entre Rio de Janeiro et Lima. Stéphane Rotenberg nous fait découvrir ce voyage.
FRANCESOIR. Pourquoi avoir choisi l’Amérique latine pour cette nouvelle édition de Pékin Express ?
STÉPHANE ROTENBERG. On aurait pu faire la troisième saison en Asie, car il y avait encore beaucoup de choses à découvrir. Mais on a eu envie de changer d’univers, même si ça a posé des problèmes économiques et de sécurité. Je suis ravi qu’on ait changé d’endroit. L’ambiance et les gens sont totalement différents…
Les candidats étaient moins soumis à la barrière de la langue…
C’était un gros avantage de se faire comprendre plus facilement qu’en Chine. Mais la progression est beaucoup plus difficile. Cette année nous n’avons pas parcouru 10.000 km mais 8.000. L’altitude a été un gros handicap pour les candidats, on a passé plus de 30 jours entre 3.300 et 4.600 mètres d’altitude…
L’année dernière les femmes ont su prouver qu’elles étaient aussi fortes que les hommes, quel est leur principal atout ?
Elles sont beaucoup moins douillettes que les hommes ! Elles s’écoutent moins lorsqu’elles ont des pépins. Elles sont plus résistantes moralement, ce qui comble largement la puissance physique.
Dans cette nouvelle saison, il y a une équipe de rugbymen…
Les rugbymen ont un instinct de compétition. Et si leur force physique est un réel avantage dans ce programme, on se rend compte qu’il y a de la place pour tout le monde à Pékin Express. On peut vraiment y arriver à force de détermination.
Peut-on réussir à Pékin Express sans sens de l’orientation ?
(Rire) La première année, on s’était vraiment inquiété, parce qu’une équipe de filles était partie à contresens lors de l’étape qui reliait la Russie à l’Estonie. C’est sûr, ça creuse les écarts… Mais ce n’est pas ce qui les a fait perdre. Les femmes apprennent vite. On s’est beaucoup marré aussi parce que les mecs préparaient leur trajet avec la carte alors que les filles naviguaient le nez au vent. Mais, contrairement à ce que l’on peut penser, elles savent lire une carte.
Y aura-t-il des abandons cette année ?
Très vite, chaque année, les équipes sont à la limite de l’abandon. Mais cette année, le mot est moins revenu dans la bouche des candidats que d’habitude… Ce qui n’empêche que tout le monde va avoir son lot de difficultés et de problèmes de santé…
Vous faites partie du voyage, qu’est-ce qui vous a émerveillé cette année ?
Je me doutais que j’allais traverser des paysages merveilleux, je n’ai vraiment pas été déçu ! Je connaissais déjà Rio de Janeiro mais voir qu’il y a plus de 7.000 km de plages au Brésil, on s’en prend plein la vue… J’ai beaucoup aimé le désert de sel en Bolivie à plus de 3.500 mètres d’altitude. Là-bas, la luminosité est incroyable, on est aveuglé si l’on ne porte pas des lunettes de soleil. Je crois que cette année est la plus riche, visuellement parlant.
France Soir du mardi 22 janvier 2008 n°19701
De Rio à la Cordillere des Andes par NICE MATIN du 22 janvier
Jean Pierre le globetrotter toulonais par Nice Matin du 22 janvier
Photos . m6 / ID9
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Il y a : 0 Commentaires | Par : Nico |